Monsieur le Recteur,
On s’est rencontré à Paris à plusieurs reprises, je suis le père du Caporal/chef Abel Chennouf, assassiné par un des vôtres, ce NAZISLAMISTE Mohamed Merah.
Jusqu’à ce jour, j’ai cru en votre ouverture d’esprit mais aujourd’hui je déchante.
Vous êtes le même NAZISLAMISTE et un ennemi de mon pays, la France.
Vous disiez aujourd’hui au Bourget, «Celui qui ne défend pas la dignité du Prophète n’a aucune dignité».
Quelle Dignité? Celle qui consiste à tuer des enfants parce que juifs?
Celle qui consiste à tuer des soldats parce qu’ils représentent la République française?
Celle qui consiste à tuer des innocents parce que non musulmans?
Aviez-vous seulement une dignité?
Et bien votre dignité n’a d’égal que celle de ceux qui assassinent de jeunes étudiants après avoir dissocié le musulman du chrétien.
Vous êtes un NAZI, un traître à la maison, la nation française.
Vous ne serez jamais chez vous en France.
Non, je ne respecte pas votre prophète, cet assassin, cet obscurantiste qui tue encore 8 siècles après sa mort.
Dégagez, rentrez en Arabie Saoudite ou au Qatar, les pays les plus grands producteurs de terroristes au monde.
Dégagez et on en a marre de votre double discours.
La France arrivera à bout des NAZISLAMISTES que vous représentez, c’est une question de temps.
Aviez-vous de la dignité?
Le lendemain de la mort de 150 étudiants chrétiens au Kenya, vous faites cette déclaration, sans oublier que la veille, vous aviez demandé le doublement des constructions de mosquées en France. Jamais.
Vive la République.
Vive le peuple de France judéo-chrétien.
Vive la France.
By
L islam est un cancer ,une idéologie perverse .
Le terme « judéo-chrétien » excusez, mais ça me fait sourire, car le terme nazi est plus d’origine chrétienne que musulmane !
Que les musulmans revendiquent les mêmes causes que les nazis est une chose, mais de là à dire « judéo-chrétien », il y a un monde et c’est bien le problème !
Respect.
Albert Chennouf, de père berbère et de mère alsacienne, poursuit son combat juste, auprès de tous ceux qui voudraient nous faire prendre des vessies pour des lanternes.
Reçu par le maire de Toulouse le 16 mars dernier, il disait :
«Étant catholique, j’ai toujours placé les règles de la constitution française au-dessus des préceptes de la bible».
On ne peut pas en dire autant du Recteur de la mosquée parisienne, Dalil Boubakeur, dont on pourrait rappeler sa posture victimaire au moment de l’attentat de Charlie Hebdo («un coup porté à l’ensemble des musulmans») alors qu’il s’était auparavant scandalisé (en septembre 2012) de l »irresponsabilité pathologique » de ce journal au moment de la publication de nouvelles caricatures, qu’il avait qualifiée d' »initiative extrêmement dangereuse et même totalement irresponsable », s’asseyant ainsi sur un principe intangible de République qui ne reconnaît pas le délit de blasphème.
Boubakeur a dit lors de cette conférence de l’UOIF : « On n’a pas le droit d’insulter le Prophète ». Cela veut dire qu’il comprend ceux qui tués les dessinateurs de Charlie Hebdo. Il dit autre chose quand il est avec Hollande qui l’accueille trop souvent.
C’est le double langage de TOUS les dignitaires, dirigeants et autorités musulmans et les hommes politiques français les reçoivent à bras ouverts. C’EST UNE HONTE.
Cet homme a de l’honneur, contrairement à Boubakeur. Lequel est une belle illustration du double discours musulman habituel.