De jeunes Britanniques sont partis d’eux-mêmes en Syrie pour combattre les jihadistes de l’Etat islamique, armes à la main.
Alors que l’Europe fait face à la menace terroriste, deux jeunes Anglais ont été immédiatement interpellés et interrogés par les services de renseignements britanniques lorsqu’ils sont revenus de Syrie. Mais Jamie Read et James Hughes n’ont rien à voir avec de jeunes islamistes radicalisés partis faire le jihad au Moyen-Orient. Ce sont en fait d’anciens soldats partis combattre l’Etat islamique de leur propre chef, armes à la main.
« Est-ce qu’on peut rester ici, assis à rien faire? »
Comme ils l’expliquent à l’équipe de France 2 qui les a rencontrés, les deux jeunes hommes ont voulu mettre leur expérience militaire au service de la luttre contre l’organisation Etat islamique. « Ce qui nous a le plus marqué, ce sont les décapitations [d’otages], explique Jamie Read. Est-ce qu’on peut rester ici, assis à rien faire ? Moi je ne pouvais pas. »
Ces deux anciens soldats de l’armée britannique sont alors partis pour appuyer et former des soldats kurdes qui combattent l’EI, et ont ramené des images de leur séjour sur ce terrain de guerre. Ils nient pour autant être des mercenaires, affirmant avoir risqué leur vie bénévolement pour lutter contre les djihadistes.
Bravo à ces jeunes Anglais et honte aux Français qui continuent à sucer le cul des arabes
J’ai vraiment honte de vivre dans ce pays qui n’est plus démocratique mais islamique
Vivement la guerre civile qu’on se débarrasse de toute cette merde de ratons
Je suis charlie mais je suis aussi ces deux britanniques, ces deux yvelinois ainsi que tous ceux qui sont partis combattre la tyrannie et l’ignominie. Quelle démonstration de courage !!! La haine opposée à la haine n’est jamais une bonne solution, mais je crois que nous sommes arrivés à un point tel où la guerre est inévitable. En tout cas, les personnes que nous voyons dans cette vidéo montrent ce que l’homme a de meilleur en lui : la capacité à agir en accord avec ses principes, quoiqu’il lui en coûte.