« Cela ne vous a pas suffi que l’on tue trois flics ? ! ? ! Nous sommes très nombreux et nous avons des Kalachnikov ! Le sang va encore couler ! » […]
Alors qu’il stationnait sa voiture à proximité de la Caisse d’allocations familiales (CAF), située à deux pas du commissariat, un policier lui a demandé de déplacer son véhicule parce qu’il n’avait pas le droit de se garer. L’automobiliste est alors sorti et a lancé au fonctionnaire : « Je ne bougerai pas connard ! ». Le ton est monté entre les deux hommes et le conducteur a menacé de mort le gardien de la paix en faisant l’apologie du terrorisme. […]
L’homme, qui a proféré ces menaces, est bien connu des services de police et de la justice pour avoir trempé dans des trafics de stupéfiants, mais aussi pour être suspecté d’appartenir à une filière jihadiste à destination de la Syrie. Début novembre, dans le cadre d’investigations menées par le pôle antiterroriste de Paris, ce converti à l’Islam a été appréhendé par les policiers de la direction générale de la Sécurité intérieure (DGSI) et les agents du Raid (Recherches-Assistance-Intervention-Dissuasion) à son domicile de Saint-Pierre-lès-Elbeuf. […]
Il est reparti libre bien sûr, comme son pote mbala-mbala !
Pourriture islamiste. Ce parasite était garé devant la CAF, il y’a gros à parier qu’il ne travaille pas et qu’il vit des allocations et du RSA, sans compter la CMU. Il faut tout lui supprimer et le foutre aux travaux d’intérêt public. Et lui péter la gueule en plus pour ses insultes.
Le Maire de Rotterdam a tres Bien fait Passer le message vous vous adapter Ok vous voulez pas vous faute vos Bagages et vous degagez d ici a vous de Choisire mais Ceci dit ils sont et seront toujours les VICTIMES de la Societer c est pas les autres EUX les Musulmant et les lslamiste les PAUVRES uls sont vraiment a Plaindre ses Malheureux ils les Pleurer a EUX pas ceux quils ont assassiner de sans froid…?????????????????????????????/???????
En fait c est facile de reperer ces loosers, le fichier de la caf doit pulluler de djyhadistes.
Ce genre d’abrutis, il faudrait les mettre à l’ombre, les fers aux pieds, au pain sec et à l’eau, autant de temps que nécessaire, jusqu’à ce qu’ils recouvrent la raison, si c’est encore possible.