Le groupe fascislamiste Hamas cherche à exploiter les actes de violence terroristes commis contre les Israéliens, tant en Judée et Samarie, qu’à Tel Aviv ou Jérusalem, mais il se retrouve gêné par les mesures de sécurité très strictes imposées par Israël et par ailleurs, de manière ambivalente, par « l’Autorité palestinienne » qui joue aussi sa survie.
C’est ainsi que le Hamas a soutenu ouvertement les dernières violences au cours desquelles de nombreux soldats et civils israéliens ont été poignardés ou écrasés délibérément par des véhicules.
L’organisation fascislamiste argue, pour justifier ses crimes, que « ces actions constituent une réponse normale aux actes de profanation, aux attaques contre les fidèles et au déplacement des habitants de Jérusalem, et a appelé les arabes-palestiniens de Jérusalem et de Judée et Samarie à multiplier ces actions. » Rien d’original que ne dise pas et n’encourage pas aussi l’OLP de Mahmoud Abbas.
Comme partout à leur habitude, les arabo-musulmans s’estiment être « naturellement » des ayants droit, légitimés à faire valoir un droit de créance sur tous, et sur les Juifs en particulier.
Interrogé par la presse le 11 novembre, le chef du bureau politique du Hamas Khaled Mechaal a confirmé que le groupe terroriste « cherche à riposter contre les plans d’Israël à Jérusalem et à Al-Aqsa, en résistant et en poussant la population à se soulever contre les forces ‘’d’occupation’’ ». Selon lui, le problème n’était pas le fait que le ‘’peuple palestinien’ n’était pas prêt à résister, mais la faiblesse des politiques et des décisions officielles du côté arabe-palestinien.
Ces déclarations et ces faits sont à mettre en corrélation avec l’interpellation de deux douzaines de membres des Frères musulmans en Jordanie qui ont été arrêté il y a dix jours en relation avec des accusations de contrebande d’armes et d’argent vers la Judée et en Samarie [LIRE ICI].
Selon un article publié récemment par le Jordanien Al-Hayat journal, les « Frères musulmans » jordaniens ont également été chargé de la création d’une organisation armée secrète.
Deux membres ont également été accusé de mener à bien la formation à Gaza – et de tenter de former des agents pour mener des attaques en Israël, en Judée et Samarie.
Des sources en Jordanie ont quant à elles révélé que le nom du chef du Hamas de haut rang basé en Turquie, Saleh al-Arouri, continue à réapparaître au cours des enquêtes sur les activités liées au terrorisme.
Le nom de Al-Arouri est venu plusieurs fois au cours de l’année écoulée, et particulièrement dans le cadre de l’enlèvement et l’assassinat des trois jeunes garçons (Eyal Yifrach, Gilad Shaar et Naftali Frenkel), de la yeshiva au Gush Etzion par des terroristes du Hamas, en juin l’été dernier.
Un rapport d’Aljazeera (Réseau de nouvelles) a confirmé que ces membres des « Frères musulmans » en Jordanie ont été arrêté, dont plusieurs ont été pris en flagrant délit de contrebande d’armes au sein de l’Autorité Palestinienne.
De même, interrogée par Al-Monitor, Mona Mansour, membre du Conseil législatif palestinien en Judée et Samarie (veuve de Jamal Mansour, dirigeant politique du Hamas éliminé par les Israéliens en 200)1 a déclaré que « les dernières opérations en Judée et Samarie ont été menées par des individus isolés. Qu’il n’y aurait pas d’actions armées organisées, puisque les forces de sécurité à la fois israéliennes et arabes palestiniennes traquent toute forme suspecte d’opération de commandos. »
Selon elle, « les discussions sur l’exportation en Judée et Samarie des actions armées déjà menées à Gaza ne sont pas chose aisée, dans la mesure où les Israéliens (avec la coopération relative de « l’Autorité palestinienne ») contrôle toute action armée menée sur le terrain ». C’est ce qui contraindrait les groupes terroristes islamistes à recourir à des méthodes « primitives » que sont les attaques au couteau, voire des attaques à la voiture, a encore déclaré Mona Mansour.
« L’Autorité palestinienne » tient à son habitude un double langage : Elle feint de dénoncer d’un côté la succession de tensions en Judée et Samarie qui se traduisent par des confrontations avec l’armée et des attaques contre les civils israéliens, et de l’autre appelle à la révolte.
Après la fin de la guerre à Gaza, en août, les services de renseignements généraux et de sécurité préventive de « l’Autorité palestinienne » avait arrêté plusieurs dizaines de membres du Hamas de tous rangs quand elle s’est rendue compte que le Hamas complotait et prévoyait de défaire la dite « Autorité palestinienne »
Au cours d’une séance d’ouverture, le 15 novembre à Khan Younis (sud de la bande de Gaza), à laquelle Al-Monitor a assisté, le dirigeant du Hamas Mahmoud al-Zahar a déclaré que son mouvement mise sur ce qu’il appelle la « résistance en Judée et Samarie » (Bien évidemment il cite la « Cisjordanie » !). Selon lui, les capacités de la « résistance » ne se limitent pas seulement à Haïfa, puisque celles-ci vont se développer pour cibler tous les « territoires occupés » selon lui, comme cela a été le cas dans les tunnels de Gaza.
Un rapport publié le 5 novembre par le centre al-Zaytuna pour la recherche et la consultation montre que les territoires administrés par les arabes-palestiniens en Judée et Samarie, sont « entourés » par Israël sur trois côtés et par la Jordanie sur le quatrième, et de ce fait se retrouvent presque totalement isolés géographiquement.
Israël et la Jordanie, comme nous l’avons vu plus haut, s’entendent pour empêcher l’émergence d’une « résistance » armée en Judée et Samarie depuis la Jordanie et s’efforcent de bloquer les livraisons d’armes. Le royaume jordanien joue aussi sa sauvegarde. Son équilibre instable il le doit en partie à Israël.
Ainsi, toutes les chances de définir une zone sécurisée pour les terroristes pour leur entraînement militaire et l’acheminement d’armement sont de ce fait pratiquement extrêmement réduites.
Un responsable de la sécurité de « l’Autorité palestinienne » en Judée et Samarie, sous couvert d’anonymat, a déclaré à Al-Monitor : « Malgré les ‘’violations’’ commises – selon lui et Mahmoud Abbas – par Israël à Jérusalem (et qui sont exploitées par « l’Autorité palestinienne »), nous pouvons être assurés du fait qu’aucune opération armée n’éclatera en Judée et Samarie ; un tel évènement aurait des conséquences catastrophiques pour le statu quo politique en « Palestine », c’est-à-dire surtout pour la survie de « l’Autorité palestinienne ». Nous avons l’ordre strict d’étouffer toute possibilité de construire une structure militaire. »
« Les informations exactes en matière de sécurité dont nous disposons », a-t-il poursuivi, « confirment que la direction du Hamas à Gaza cherche à troubler la sécurité en Judée et Samarie en faisant l’apologie des opérations armées et en tentant de créer des cellules armées, chose qui ne serait pas approuvée par les dirigeants politiques du Hamas en Judée et Samarie. Toutefois, il existe une coordination grâce à des membres sur le terrain qui communiquent avec leurs supérieurs du Hamas à Gaza ».
Le 12 novembre, dans un communiqué de presse, le vice-président du Conseil législatif Hassan Khreisheh a déclaré que « l’Autorité palestinienne » est incapable d’empêcher le déclenchement d’une nouvelle intifada en Judée et Samarie. Il a appelé « l’Autorité palestinienne » à mettre fin à la coopération avec Israël en matière de sécurité, sans doute pour avoir les mains libres.
Hossam Badran, porte-parole du Hamas résidant au Qatar, a déclaré dans une interview donnée à Al-Monitor : « Les dernières opérations à Jérusalem et en Judée et Samarie résultent » de ce qu’il estime être « du droit ‘’naturel’’ des arabes-palestiniens d’exercer des représailles » contre Israël et en appelle à « l’innovation et à la créativité de la ‘’résistance’’, à travers des opérations organisées ou des initiatives individuelles. »
À la lumière de la situation difficile en Judée et Samarie en termes de sécurité pour les terroristes empêché d’agir à leur guise, le Hamas a appelé à intensifier les « opérations populaires », c’est-à-dire des opérations terroristes contre l’armée israélienne et contre les civils israéliens, « en mettant le feu à des points de contrôle et à des tours militaires, en sabotant les barbelés autour des implantations, en détruisant le mur de séparation et les équipements de surveillance et en attaquant les colons et les véhicules militaires à l’aide de cocktails Molotov, d’engins explosifs rudimentaires et primitifs improvisés ainsi que d’armes à feu fabriquées localement. »
C’est ce que nous avons déjà constaté.
Sur son site officiel, le Hamas déclare encore que « ces opérations nuisent plus efficacement aux forces armées israéliennes que les manifestations traditionnelles. Ces dernières ne nécessitent pas d’organisation, ni de budget conséquent. »
C’est ainsi que le Hamas déploie des efforts considérables pour enflammer la Judée et Samarie et Jérusalem et pour ouvrir la voie à une « troisième intifada ». Le Hamas souhaite « terminer » la dernière guerre à Gaza et détourner l’attention de la situation catastrophique observable dans la bande de Gaza du fait de son incurie et des risques potentiels de révoltes populaires.
Les efforts du Hamas sont cependant contrariés par des problèmes au sein du mouvement en soi et de son affaiblissement consécutif à la guerre de cet été, en plus du contrôle strict de la Judée et Samarie par Israël.
Soulignons enfin que les agissements terroristes des fascislamistes en Israël se trouvent dopés et légitimés, comme le sont les actes antisémites commis sur le sol français, par les soutiens insensés apportés par une majorité parlementaire en France qui ressuscite de vieux démons antisémites.
En Israël, la population ne s’y trompe pas et apprécie à leur juste nature ces manifestations politiques répugnantes et immorales qui apportent plus de guerre et de malheurs, quand bien même ces parlementaires et leurs partis politiques invoquent hypocritement « le droit et la justice » pour passer en fraude des sentiments inavouables à l’encontre de l’Etat juif.
D’Israël, Claude Salomon LAGRANGE pour Europe-Israël.
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L’islam, la religion de l’apocalypse http://www.islam-bible-prophecy.com/apocalypse/
Maintenant que Netanyahou est débarassé de ses ennemis de l’intérieur du gouvernement, qu’attend-il pour faire un maximum de morts chez les attaquants arabes en donnant l’ordre de tirer pour tuer un mamimum de crapules et de saisir des maisons arabes en masse à la moindre ccasion en gonflant les actions arabes? ceserait une mesure desécurté efficace et une excellente contre-propagande pour montrer qu’il ne se laisse PAS manipuler par le gouvernement français et sa reconnaissance illégale. Ce serait mieux que de tourner autour du pot à la …netanyahou!
Pour la sécurité d’Israël, la Vallée du Jourdain doit être annexée, et si ce n’est pas possible de le faire officiellement, le faire de facto sans rien dire.