La vie n’a pas de prix. Et pourtant, il arrive que l’on dise qu’elle ne tient qu’à un fil. C’est le cas lorsqu’on est vieux, très malade, jugé incurable par le monde médical. Cette situation de grande souffrance, physique et morale, souvent intolérable pour le malade et son entourage, est apparue, suffisamment préoccupante pour qu’une société, dite civilisée , avec des valeurs morales, accepte que le débat, sur le fin de vie, reprenne de la vigueur.
Ainsi, on attend de nouvelles dispositions législatives pour le mois de mars.
Ainsi, le casse-tête douloureux de l’euthanasie pourrait être résolu avec un texte permettant à un tiers, sous certaines conditions, d’administrer à un malade une substance, dans le but de lui donner la mort. Avec une foule de précautions, indispensables, la volonté de mourir du malade serait consignée, de son vivant et s’imposerait au corps médical.
Mais pour d’autres, comme les Palestiniens, la vie ne tient pas à un fil, mais au déclenchement horrible d’une ceinture d’explosifs. Ces Kamikazes, généralement, très jeunes, femmes et hommes, parfois de nationalité franco-palestinienne qui avaient toute la vie devant eux, décident de se comporter en martyre, pour leur cause.
Tout le monde a, peut-être, le droit de décider de sa vie. Mais on ne peut manquer de comparer le « suicide assisté » d’un malade, au grand âge qui souffre, accompagné d’un respect absolu et la décision, d’en finir, après un bourrage de crâne répugnant, quand on a 15 ans et qu’on est en bonne santé, en se laisssant persuader que l’on va peser sur un conflit qui les dépasse, sans aucun doute…
© Marc Guedj pour Europe Israël
Il n’y a aucune comparaison à faire ou à penser entre les Kamikazes Japonais et les assassins terroristes musulmans qui se font « sauter » à coté des enfants Juifs.
Les premiers donnaient leur vie pour défendre leur pays en fonçant sur des objectifs militaires et donc une armée ennemie. Ce qui semble plutot courageux.
Tandis que pour les seconds, leur seul but est de tuer des civils sans aucun discernement qu’ils soient hommes, femmes, ou enfants. Ce qui dénote d’une
lâcheté et d’une inhumanité écoeurante.