Sur le grand écran et les deux télévisions rivées aux murs, d’insoutenables images de propagande mettent en scène un nourrisson ensanglanté ainsi qu’une fillette martyrisée qui vomit du sang. Puis, sur un fond de musique hypnotique, une vidéo diffuse des séquences-chocs des zones de combats en Syrie ou en Irak. L’auditoire est pétrifié. Réuni en comité restreint dans un modeste amphithéâtre au cinquième étage de centre de formation du ministère de l’Intérieur basé à Lognes (Seine-et-Marne), il est composé de soixante personnes, porteuses de badges et triées sur le volet.
Outre des policiers des services de renseignement et des gendarmes figurent des directeurs de cabinet de préfecture, des magistrats ou encore des agents de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), venus de toute la France pour un stage «professionnel» consacré à la prévention de la radicalisation. Sur cette génération perdue, sans père ni repère, qui s’égare sur les chemins de Damas pour faire le djihad.
Durant deux jours d’une immersion à huis clos, à laquelle Le Figaro a participé lundi et mardi dernier, géopolitiques de haut niveau, experts de l’antiterrorisme et de la manipulation mentale ont dévoilé sans fard ni tabou un univers glaçant où les processus d’endoctrinement précipitent par centaines de jeunes adolescents dans un voyage sans retour vers l’indicible. Premier constat, le spectre du fanatisme tenaille désormais sans distinction toutes les couches de la société. Au pupitre, le préfet Pierre N’Gahane, secrétaire général du comité interministériel de prévention de la délinquance, révèle d’emblée que les apprentis combattants volontaires «qui se radicalisent pour devenir extrémistes puis terroristes sont souvent issus de familles des classes moyennes et supérieures, sidérées qu’un tel problème puisse leur arriver… » Sur 585 djihadistes en puissance signalés depuis six mois sur le numéro vert mis en place par Beauvau, dont une centaine sont partis avant d’être interceptés à la frontière, 55 % ne sont pas de culture arabo-musulmane.
1089 jeunes concernés par la guerre en Syrie
À côté de ceux qui se laissent pousser la barbe pour assouvir une soif de reconnaissance dans leur quartier ou tenir leur revanche après un échec aux tests psychologiques d’entrée dans l’armée ou la police, des cas de plus en plus atypiques se font jour, à l’image de cette gamine de 14 ans, de confession juive et pétrie de musique classique, qui s’est convertie en trois mois, à la stupeur de ses parents. «Avant le plan antidjihad mis en place le 29 avril dernier, les familles désemparées étaient sans réponse quand un ou plusieurs de leurs enfants basculaient dans la radicalité, concède-t-on au ministère de l’Intérieur.
Policiers et gendarmes appelés à la rescousse en restaient aux grands principes de la laïcité, disant ne pas intervenir dans la sphère privée.» La réponse publique n’existait pas, alors que la gangrène du djihadisme gagne le territoire. «La France profonde est touchée, plus de 80 % des départements sont concernés, grince un commandant de l’unité de coordination de la lutte antiterroriste (Uclat). Nous avons par exemple identifié en zone de combat un gars originaire du Cantal qui s’est vanté d’avoir égorgé six soldats de Bachar au nom d’Allah avant de finir en martyr. Depuis la Martinique, un djihadiste a trouvé la mort en Irak, un autre est actuellement au front et un troisième en route…»
Le panorama que dresse cet officier est édifiant. Selon un bilan confidentiel remontant au 23 octobre dernier, la France a franchi un seuil fatidique avec 1089 personnes concernées par le djihad. Elle forme désormais le plus gros bataillon des 3000 volontaires européens. Tous les compteurs sont à l’écarlate: la progression de nos compatriotes et ressortissants impliqués dans le djihad a explosé de 96 % depuis janvier dernier, pendant que celle des combattants originaires de l’Hexagone engagés sur place a bondi de 75 % dans la même période… Lire la suite.
Comme toute la presse est entre les mains de la gauche et de l’extrême gauche il n’y a aucune chance d’entendre des voix intelligentes et CONSTRUCTIVES. Les djihadiste oh la la veulent oh la la partir oh la la en syrie oh la la : ON S EN FOUT QU ILS Y AILLENT ET SURTOUT QU ILS Y RESTENT dans tous les sens du terme. Ce n’est ,pas cela que je veux entendre mais COMMENT ON FAIT POUR EMPECHER QUE LA POIPULATION ARABE QUI EST PASSEE DE 50 MILLIONS A 350 MILLIONS EN UN SIECLE NE CESSE D ENFLER??? CAR LA EST LA CAUSE DTOUS LES PROBLEMES. Alors parlons CLAIR au lieu des oh lala: 1. On les tue à coup de nukes ou de virus 2.On les SOMME de ne plus faire d enfants s il ne veulent pas qu on les massacre puisque la simple demande gentiment ne suffit pas encore que l’occident ne l’essaye même pas se contentant de pleurer et se faire peur! Voila ce que je veux entendre et que je n’entends pratiquemlent jamais sinon de savants démographes que personne n’écoute car ils se contentent de dire les choses comme si tout le monde s’en fout sauf…moi!
Qu’ils y ailles là-bas jouer à la Kalashnikov et ils peuvent y rester, fallait qu’ils réfléchissent…. avant. Pas un peu même complètement idiot de suivre les discours de djihads. Ça va leurs permettre d’avoir du plomb dans la tête, mais trop tard. Shalom
on devrait les laisser tous partir faire le djihad mais les bloquer au retour ,les empecher de revenir dans un pays civilisé comme la france ,ca nous fera du nettoyage gratuit
Tout d’abord, on aurait dû déjà supprimer l’espace Shengen ! et laisser entrer seulement les personnes « désirables ». Pourquoi a-t-on laissé venir tant d’Africains du Nord ? Au début on en avait besoin pour des travaux que nos concitoyens répugnaient à faire. Lorsque nous avions des Italiens, des Polonais, avions-nous autant de problèmes ?????? NON. Ces gens, à part une petite minorité, travaillaient sans histoires.
Mais non, il a fallu accepter encore et encore ces musulmans, connaissant leur caractère…. Pardon, la politique ne connaît pas les gens d’ailleurs, déjà ils ne connaissent pas nos besoins, à nous Européens.
Le résultat a été très rapide….on le constate chaque jour. Les enfants de ces « gens » seront pareils, même s’ils vont à l’école, car leur vraie école est la religion musulmane qui n’a rien à faire dans nos pays démocratiques.
Nous ne pouvons pas faire autrement que devenir racistes. Au début, pas trop de soucis…. quoique ! Déjà nos prisons contenaient, dans les années 70, des musulmans…… Cela augurait déjà d’un beau futur pour nous. Mon amie a été agressée par un Marocain en 78… déjà ! pourtant il y avait peu de Marocains à Bruxelles. Elle en est morte…..
Décidément, « ils » n’ont vraiment rien fait pour se faire aimer ni respecter. Et depuis 60 les femmes, en grande majorité, sont encore toujours analphabètes et n’ont aucun sens d’une bonne éducation envers leurs enfants. Ces enfants sont toujours dans la rue (pas les filles !) et font ce qu’ils veulent avec la bénédiction de leurs chers parents même en cas de crime de leur part !
Vous trouvez cela normal ? On attaque les Juifs et JAMAIS nous n’avons eu à nous plaindre de leur comportement (peut-être quelques exceptions et encore). Alors pourquoi cet antisémitisme.Ils sont intelligents, bien qu’ils ont
une religion stricte, travaillent, ont des scientifiques fabuleux, s’occupent de sciences, d’art, et j’en passe.
Les musulmans ? Rien de tout cela. D’ailleurs WAFA SULTAN le dit dans ses nombreuses interviews. Elle est terriblement courageuse et…… menacée de mort par les musulmans…. Qui menace de mort lorsqu’on dit ce que l’on pense ?
Je ne veux pas faire peur mais notre avenir est assez sombre…. mais comment nous protéger de la masse « hystérique ». C’est bien le mot qui leur convient car on les voit, les entend dans la rue en les croisant.