La Cour pénale internationale (CPI) de la Haye a déclaré ce jeudi qu’elle n’était pas compétente pour mener une enquête concernant l’intervention israélienne opérée le 31 mai 2010 sur une flottille du Mavi Marmara nommée pompeusement « Gaza Freedom Flotilla ». Une manière indirecte de reconnaître la non-culpabilité d’Israël. Cette « flottille » était conduite par des centaines de « militants-activistes » et de terroristes islamistes avec le soutien de leurs sponsors qui prétendaient acheminer une soi-disant « aide humanitaire » pour la population de Gaza.
Les gogos pervers habituels dont l’opinion se fait à partir d’informations parcellaires et frelatées que leur distillent les médias corrompus se forçaient à croire au caractère de cette expédition qui n’avait d’« humanitaire » que le nom [Lire ICI].
Les organisateurs de cette expédition avaient annoncé, dès le départ, que là n’était pas leur but principal. Et dans les faits, nous avions en effet assisté à une extrême sauvagerie de la part de cet équipage terroriste qui s’en prit aux soldats israéliens.
La machine à clouer Israël au pilori si bien huilée avait cette fois encore tourné à plein régime : Conclusions automatiques des médias en défaveur d’Israël avant enquêtes, condamnations générales, gesticulations diplomatiques, etc.
Car dans l’hypocrisie générale qui prévaut, hier comme aujourd’hui, les supporters de cette expédition feignait de négliger la nature fasciste et barbare du Hamas – ce pourquoi ce blocus est mis en place par Israël (comme par l’Egypte) -, et fermaient les yeux sur les milliers de roquettes Quassam et autres projectiles tirés sur les populations civiles israéliennes pendant des années (déjà en 2010 !) dans le silence des « fausses belles âmes » ; ils refusaient de voir les massacres commis par ce même Hamas contre ses propres populations civiles et ses opposants politiques !
C’est ainsi que le 14 mai 2013, le Bureau de la Procureur avait reçu un renvoi de l’Union des Comores, Etat partie au Statut de Rome, et avait annoncé le jour même, l’amorce d’un examen préliminaire concernant cette opération de police israélienne.
Subséquemment, « après avoir effectué une analyse approfondie en fait et en droit des renseignements disponibles, j’en ai conclu que l’on pouvait raisonnablement penser que des crimes de guerre relevant de la compétence de la Cour pénale internationale avaient été commis sur l’un des navires en cause, le Mavi Marmara, lorsque les forces de défense israéliennes ont intercepté la flottille, la « Gaza Freedom Flotilla », le 31 mai 2010 », a déclaré la Procureur de la Cour pénale internationale (CPI), Fatou Bensouda, dans un communiqué de presse.
« Cependant, après avoir minutieusement pris en compte tous les facteurs pertinents, je suis parvenue à la conclusion que les affaires éventuelles qui pourraient découler d’une enquête sur cet événement ne seraient pas « suffisamment graves » pour que la Cour y donne suite. Le critère de gravité est un critère juridique bien défini par le Statut de Rome », a-t-elle indiqué.
« Sans minimiser de quelque manière que ce soit l’impact de ces crimes présumés sur les victimes et leurs familles, je dois m’en remettre au Statut de Rome, selon lequel la CPI doit avant tout se concentrer sur les crimes de guerre commis à grande échelle ou dans la poursuite d’un plan ou d’une politique », a poursuivi la Procureur.
« Par conséquent, en dernière analyse, j’en conclus que les critères juridiques posés par le Statut de Rome pour ouvrir une enquête ne sont pas remplis et c’est pourquoi je déclare l’examen préliminaire clos », a-t-elle conclu.
L’équilibre et l’ordre fragiles du monde sont censés reposer sur l’équité, la vérité et la justice. Hélas, par les temps pervers que nous vivons, cet équilibre et cet ordre sont gravement ébranlés.
Comme je l’écrivais déjà, , Il y a un temps pour la manipulation et la calomnie d’Israël, et comme chaque chose ayant son heure, il y a aussi un temps pour l’émergence de la vérité, même si le retour aux faits réels prend du temps et survient tardivement et que l’attention du public est déjà ailleurs. Le mal est fait et produit ses effets, alors que les ennemis d’Israël sont déjà compulsivement afférés à d’autres sinistres besognes.
Claude Salomon LAGRANGE, pour Europe-Israël.
© Copyright Europe Israël – reproduction autorisée avec mention de la source et lien actif.
C’est une trés bonne nouvelle que le CPI n’ai pas condamner Israel, alors qu’il ne faisait que se déffendre contre ces terroristes turcs
La Turquie ?
Pays de sauvages à bannir à tout jamais.
La Turquie a crier de nouveau au crimes de guerre qu’a fait Israel
Il peuvent aller devant le CPI , il y a des centaines de preuves que le hamas s’est servie de sa population civile
Si les Turcs continuent à souffler dans les bronches des Israëliens, que ces derniers appuient les kurdes au maximum….. Rira bien qui rira le dernier !
Israel aurait du envoyer une bombe sur ce bateau, pour nous débarrasser définitivement, de cette vermine !