toute l'information et l'actualité sur Israel, sur l'Europe, les news sur Israël et le Moyen Orient

.

François Hollande veut reconnaître « la Palestine »


François Hollande veut reconnaître « la Palestine »

Voici le texte voulu par François Hollande ce grand ami d’Israël, qui avait déjà proposé ce texte alors qu’il était dans l’opposition. Aujourd’hui, Monsieur 15% comme tous les dirigeants en perte de vitesse appelle au sursaut national en portant le fer à l’international, on se souvient encore de la Guerre des Malouines déclenchée par la Junte argentine aux prises à une situation économique catastrophique, cette guerre avait précipité la chute de la Junte.

François Hollande

François Hollande

Aujourd’hui, François Hollande suit le même chemin, après ses interventions en Afrique et ses frasques en Syrie, où il soutient l’opposition à Assad en lui envoyant de armes pour ensuite la bombarder dans le cadre de la coalition voulue par un autre illuminé Barak Hussein Obama, ces deux hommes qui joignent également leur incompréhension des dossiers, à leur incompétence, mus uniquement par leur dogme qui a fait la preuve de sa nocivité pendant 70 ans au siècle dernier en URSS.

Voir les commentaires sur cette proposition de résolution en pied d’article. 

PROPOSITION DE RÉSOLUTION
 
Portant sur la reconnaissance de l’
État de Palestine
 
EXPOSÉ DES MOTIFS
 
Mesdames, Messieurs,
 
Les signataires invitent la France à reconnaître l’État de Palestine, aux côtés de l’État d’Israël.
 
Le Président de la République, le 28 août 2014, a rappelé l’objectif de notre diplomatie : « Un État palestinien démocratique et viable, vivant aux côtés de l’État d’Israël en sécurité ».
Notre proposition de résolution est soucieuse de renforcer l’action diplomatique de notre pays, de mettre partout en échec les discours de haine, et de contribuer à l’instauration de la paix au Proche-Orient.
 
Au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. En 1947, la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations Unies stipulait que « Les États indépendants arabe et juif (…) commenceront d’exister (…) le 1er octobre 1948 au plus tard ». Or la guerre qui a suivi, puis les conflits successifs, n’ont fait que retarder la reconnaissance de l’État palestinien.
 
Après les affrontements armés de 1948, 1956, 1967 et 1973, les deux parties avaient négocié, à partir de 1991, un compromis salué par la communauté internationale. Les accords d’Oslo, signés en 1993, ouvraient la voie à une reconnaissance mutuelle de deux États, acceptant leur coexistence organisée dans la paix, la sécurité et le dialogue.
 
Ces accords n’ont pas été appliqués. Depuis l’assassinat d’Itzhak Rabin en novembre 1995, le cycle infernal de la violence s’est exacerbé. La colonisation israélienne, notamment autour de Jérusalem, s’est intensifiée au point de compromettre l’existence même d’un État palestinien viable. Des attaques ont été menées contre le territoire d’Israël et sa population civile. La signature, le 26 août 2014, d’un énième cessez-le-feu entre Israéliens et Palestiniens n’a pas empêché une dangereuse recrudescence des violences. Ceux qui les attisent, et les instrumentalisent, prolongent les souffrances de leurs peuples. La reconnaissance réciproque des États d’Israël et de Palestine contribuera à les atténuer. Elle conditionne la paix et la démocratie dans cette partie du monde.
 
L’impasse des négociations entretient un foyer d’instabilité et affecte dangereusement la paix dans toute la région. La reconnaissance de l’État palestinien doit s’accompagner d’un retour salutaire et immédiat à la négociation. Le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Laurent Fabius a proposé un opportun changement de méthode avec la perspective d’une conférence internationale. Nous apportons notre soutien à cette démarche qui devrait s’accompagner de la définition d’une date butoir des négociations et associer les États arabes de la région. Cette reconnaissance, qui doit être assortie de garanties de sécurité pour Israël, n’a de sens que si elle conforte le droit et la paix.
 
Fort de son engagement en faveur du droit international et de l’amitié profonde qui lie la France aux peuples israélien et palestinien, notre pays doit reprendre l’initiative et entrainer nos partenaires du Quartet – dont l’Union européenne – dans une nouvelle dynamique. Les voix appelant au déblocage du processus de paix, en particulier en Israël et en Palestine, ne doivent pas rester sans réponse.
 
La France, depuis la présidence de François Mitterrand, tient un langage franc et sincère à ses amis israéliens comme palestiniens. Elle s’est honorée en votant en 2011 en faveur de l’adhésion des Palestiniens comme membres à part entière de l’UNESCO, puis en disant « oui » à l’accession de la Palestine au statut d’État non-membre de l’ONU en novembre 2012. Fidèles à cette position historique et équilibrée, les signataires manifestent, par la présente résolution, leur attachement à une reprise sans délai des négociations devant aboutir à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien.
 
PROPOSITION DE RÉSOLUTION
 
Article unique
 
L’Assemblée nationale,
 
Vu l’article 34-1 de la Constitution
 
Vu l’article 136 du règlement
 
Affirme sa volonté de concourir à l’effort international de paix au Proche-Orient.
 
Constatant la volonté des peuples israélien et palestinien de vivre en paix et en sécurité.
 
Constatant l’échec des tentatives de relance du processus de paix engagées depuis 1991 entre Israéliens et Palestiniens par la communauté internationale.
 
Constatant les menaces pesant sur la solution des deux États, et notamment la poursuite illégale de la colonisation dans les territoires palestiniens qui mine la viabilité même d’un État palestinien, malgré les capacités institutionnelles dont s’est dotée l’Autorité palestinienne et la reconnaissance que lui a accordée l’Assemblée générale des Nations-Unies.
 
Constatant la montée des tensions à Jérusalem et en Cisjordanie qui menace d’engendrer un nouveau cycle de violence néfaste pour l’ensemble des populations de la région.
 
Souligne que le statu quo est intenable et dangereux car il nourrit les frustrations et la défiance croissante entre les deux parties.
 
Souligne l’impératif d’une reprise rapide des négociations entre les parties selon des paramètres clairs et un calendrier déterminé. Affirme l’urgente nécessité d’aboutir à un règlement définitif du conflit permettant l’établissement d’un État démocratique et souverain de Palestine aux côtés d’Israël, les deux pays vivant en paix et en sécurité, sur la base des lignes de 1967 avec Jérusalem pour capitale de ces deux États, réciproquement reconnus.
 
Affirme que la solution des deux États, promue avec constance par la France et l’Union européenne, suppose la reconnaissance de l’État de Palestine aux côtés de celui d’Israël.
 
Invite le Gouvernement français à reconnaître l’État de Palestine en vue d’obtenir un règlement définitif du conflit.

Commentaires point par point:

Le Président de la République, le 28 août 2014, a rappelé l’objectif de notre diplomatie : « Un État palestinien démocratique et viable, vivant aux côtés de l’État d’Israël en sécurité ».

La France n’a pas encore compris que la démocratie est incompatible avec l’Islam!!! Pour qu’il y ait un état de sécurité pour Israël, il faut que le nouvel État reconnaisse Israël comme État Juif, et non revendiquer un État qui sera terroriste et Judenrein comme une plateforme pour récupérer la totalité du territoire d’Israël.

Notre proposition de résolution est soucieuse de renforcer l’action diplomatique de notre pays, de mettre partout en échec les discours de haine, et de contribuer à l’instauration de la paix au Proche-Orient.

Tout est dit dès le premier mot du paragraphe, il s’agit de renforcer l’action diplomatique de la France, cette action qui a consisté à découper artificiellement l’Afrique, et le Moyen-Orient selon des frontières de partage entre la Grande Bretagne et la France, sans tenir compte des populations qui se retrouvent à cheval sur plusieurs pays, tels que les Kurdes 40 millions de descendants des Mèdes éparpillés entre l’Iran, l’Irak, la Syrie, et la Turquie. Ces partages sont la source de tous les conflits actuels, refuser des réajustements de frontières qui règleraient les conflits, c’est s’enferrer dans sa bien pensance colonialiste ou post colonialiste. La France est friande de cet exercice.

Au nom du droit inaliénable à l’autodétermination, le peuple palestinien est fondé à se doter d’un État. En 1947, la résolution 181 de l’Assemblée générale des Nations Unies stipulait que « Les États indépendants arabe et juif (…) commenceront d’exister (…) le 1er octobre 1948 au plus tard ». Or la guerre qui a suivi, puis les conflits successifs, n’ont fait que retarder la reconnaissance de l’État palestinien.

Dès 1947, les Arabes ont refusé le partage proposé par l’Assemblée Générale de l’ONU qui n’a valeur que de proposition, partage qui venait en contradiction avec la Conférence de San Rémo qui a force de loi car validée par le Conseil de Sécurité de l’ONU. Les Juifs ont pris le territoire, les Arabes ont refusé. 7 armées arabes ont voulu jeter les Juifs à la mer, elles ont perdu la partie.

Dès 1949, la Jordanie en dépit de toutes les règles internationales a incité des Arabes du Yémen, d’Irak, de Syrie, du Liban, de Jordanie, d’Arabie entre autres à s’implanter en Judée, en Samarie et à Jérusalem vidée de ses Juifs, par la suite elle a annexé la Judée et la Samarie sans réaction de l’opinion internationale bien bruyante aujourd’hui.  Les Arabes se sont entêtés, ils ont déclaré de nombreuses autres guerres qu’ils ont toutes perdues, à la suite de la guerre des 6 jours, la Résolution de Khartoum avec le triple NON des Arabes:

  1. pas de paix avec Israël,

  2. pas de reconnaissance d’Israël,

  3. pas de négociation avec Israël.

Cette Résolution n’a jamais été abrogée, vouloir forcer Israël à négocier avec un autre interlocuteur que les pays signataires de cette Résolution reviendrait à ce qu’Israël force la France à négocier avec les musulmans de France, afin de régler la demande d’indépendance du Pays Basque par exemple.

Après les affrontements armés de 1948, 1956, 1967 et 1973, les deux parties avaient négocié, à partir de 1991, un compromis salué par la communauté internationale. Les accords d’Oslo, signés en 1993, ouvraient la voie à une reconnaissance mutuelle de deux États, acceptant leur coexistence organisée dans la paix, la sécurité et le dialogue.

Itzhak Rabin pensait qu’en échangeant des territoires contre la paix, on résoudrait ce conflit, Yasser Arafat l’a roulé dans la farine en demandant alors que les accords étaient validés de rajouter le retour de 5 millions de réfugiés, reconnus par l’UNWRA, (qui a innové pour ce conflit, c’est le seul où les réfugiés sont reconnus d’une manière intergénérationnelle, les descendants de toutes les générations à vie des réfugiés de 1947 sont reconnus comme réfugiés eux mêmes.)

Cette demande a été en son temps jugée inacceptable par l’ensemble des Occidentaux, car on ne peut réclamer la création d’un pays, et laisser à la charge d’un autre pays les réfugiés issus de ce conflit. C’était vouloir noyer sous la masse de ces musulmans le seul État Juif au Monde, c’était signer l’arrêt de mort de tous les Israéliens.

Aujourd’hui, Abou Mazen s’arc-boute sur cette demande irrationnelle, et le gouvernement qu’il a mis en place avec le Hamas valide la Charte du Hamas qui ne reconnait pas Israël et ne parle que de l’éradiquer pour prendre sa place.

Ces accords n’ont pas été appliqués. Depuis l’assassinat d’Itzhak Rabin en novembre 1995, le cycle infernal de la violence s’est exacerbé. La colonisation israélienne, notamment autour de Jérusalem, s’est intensifiée au point de compromettre l’existence même d’un État palestinien viable. Des attaques ont été menées contre le territoire d’Israël et sa population civile. La signature, le 26 août 2014, d’un énième cessez-le-feu entre Israéliens et Palestiniens n’a pas empêché une dangereuse recrudescence des violences. Ceux qui les attisent, et les instrumentalisent, prolongent les souffrances de leurs peuples. La reconnaissance réciproque des États d’Israël et de Palestine contribuera à les atténuer. Elle conditionne la paix et la démocratie dans cette partie du monde.

Les accords n’ont pas été appliqués en raison de la demande de Yasser Arafat de réinsertion des réfugiés précisée plus haut. Ceux qui attisent la violence sont ceux qui ne connaissant rien au dossier ou qui le connaissant le nient pour des raison de dogme et de politique pro- Arabe de la France et de l’Europe, et incitent à la création à tout prix d’un État qui n’a jamais existé pour un peuple inventé.

L’impasse des négociations entretient un foyer d’instabilité et affecte dangereusement la paix dans toute la région. La reconnaissance de l’État palestinien doit s’accompagner d’un retour salutaire et immédiat à la négociation. Le ministre des Affaires étrangères et du Développement international Laurent Fabius a proposé un opportun changement de méthode avec la perspective d’une conférence internationale. Nous apportons notre soutien à cette démarche qui devrait s’accompagner de la définition d’une date butoir des négociations et associer les États arabes de la région. Cette reconnaissance, qui doit être assortie de garanties de sécurité pour Israël, n’a de sens que si elle conforte le droit et la paix.

Quelle garantie internationale? La Finul qui devait empêcher le réarmement du Hezbollah a fait la preuve de son inutilité. quand à la force d’interposition entre la Syrie et Israël, sous les coups de boutoirs de l’E.I, elle s’est réfugiée en Israël. Ne parlons surtout pas de garanties de la France ce pays qui promet un jour pour faire le contraire le lendemain, ce pays signataire des accords de San Remo, et qui ne les respecte pas, ce pays garantissant les accords d’Oslo et voulant imposer à Israël un partenaire ayant jeté aux orties ces dits accords.

Fort de son engagement en faveur du droit international et de l’amitié profonde qui lie la France aux peuples israélien et palestinien, notre pays doit reprendre l’initiative et entrainer nos partenaires du Quartet – dont l’Union européenne – dans une nouvelle dynamique. Les voix appelant au déblocage du processus de paix, en particulier en Israël et en Palestine, ne doivent pas rester sans réponse.

Un conflit centenaire ne peut être résolu dans la précipitation, l’environnement d’Israël en ébullition n’est pas propice à un règlement intempestif voulu par des dirigeants en fin de mandat qui rêvent d’accrocher un trophée au mur de leur salon.

La France, depuis la présidence de François Mitterrand, tient un langage franc et sincère à ses amis israéliens comme palestiniens. Elle s’est honorée en votant en 2011 en faveur de l’adhésion des Palestiniens comme membres à part entière de l’UNESCO, puis en disant « oui » à l’accession de la Palestine au statut d’État non-membre de l’ONU en novembre 2012. Fidèles à cette position historique et équilibrée, les signataires manifestent, par la présente résolution, leur attachement à une reprise sans délai des négociations devant aboutir à un règlement définitif du conflit israélo-palestinien.

La France s’est déshonorée en votant l’adhésion à l’UNESCO et à L’ONU en opposition formelle avec les accords de San Remo et d’Oslo dont elle est cosignataire. La France devrait se reprendre car elle va se trouver en butte à un non retentissant de la part d’Israël à toutes ses demandes quelles qu’elles soient.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Eli d’Ashdod pour Europe Israël





Féru de politique, l'auteur est fortement engagé dans la lutte contre la désinformation et la délégitimation d'Israël par les médias.



Avertissement de modération: Nous vous rappelons que vos commentaires sont soumis à notre charte et qu'il n'est pas permis de tenir de propos violents, discriminatoires ou diffamatoires. Tous les commentaires contraires à cette charte seront retirés et leurs auteurs risquent de voir leur compte clos. Merci d'avance pour votre compréhension.

Signalez un commentaire abusif en cliquant ici


Merci de nous signaler les commentaires qui vous semblent abusifs et qui contiendraient des propos:
  • * Antisémites
  • * Racistes
  • * Homophobes
  • * Injurieux
  • * Grossiers
  • * Diffamatoires envers une personne physique ou morale

  • 15 thoughts on “François Hollande veut reconnaître « la Palestine »

    1. andre

      Apres avoir vivement reproche a Sharon, il y a quelques annees, son desengagement unilateral de Gaza sous le pretexte qu’il l’avait effectue « sans concertation », les Européens s’apprêtent sans doute a pousser Israel a liquider tous les gages qu’il detient sans rien demander en echange, pas meme une simple promesse.

      Quant a savoir si l’histoire a montre ou non que Sharon avait eu tort, n’oublions pas que les choses ne se seraient pas passees de cette facon a Gaza sans les encouragements constants de l’Europe, envers le Hamas, a continuer sa guerre totale quoique sournoise. Ceci était en outre accompagne de la garantie, qui a joue plusieurs fois, que l’Europe reparerait financièrement tous les dégâts a Gaza consécutifs a cette guerre.

      Européens, tout en exprimant votre amour de la paix, vous etes en realite des fauteurs de guerre. Est-ce l’ignorance ou le bonheur de nuire qui dicte votre conduite ?

    2. Laurence

      C’etait dans le programme d’election de Hollande il préfère foutre malheureusement le why en Israel que de s’occuper des problèmes intrinsèque à la FRance !

    3. Levray Dufault

      Voila qui permettra aux palestiniens d’accroitre les violences et tueries dans les rues d’Israel……Et ce au sujet du poignarde au tournevis de dimanche 16 nov, 2014 qui b’est pas une raison valable pour arreter les pourparlers de paix, car ce qui gene la paix, c’est la construction a Jerusalem-Est et non pas les meurtres dans les rues d’Israel……Il apparait donc clairement que:

      Le plus important est surtout de ne pas faire de victimes innocentes chez les palestiniens!…..et même pas des victimes coupables!
      Les palestiniens ont le droit de faire des victimes innocentes chez les juifs même si ce sont des bébés de 3 mois….au cas ou on les attrape, ils intégreront la prison dorée Israélienne AÉRÉE et SPACIEUSE avec Jakusi, piscine chauffée, internet, visites a gogo, soins gratuits au frais de leurs victimes, et cursus d’études supérieures gratuites. Au cas ou ils sont blessés après avoir tué un juif, une hospitalisation en Israel les attend ou les docteurs feront l’impossible pour les sauver, même si ces meurtriers ont assassiné leurs propres fils!
      Par contre un juif qui tuerait un palestinien, NON PAS INNOCENT, mais qui brandit un couteau ou qui jette une pierre sur la tête des juifs intégrera une prison plus insalubre que le château d’If: Pain sec et eau au menu, et surtout ni piscine ni Jakusi et des visites a raison d’une par semaine, pas de soins et surement pas d’études même pas primaires!
      De plus le juif qui se sera défendu restera en prison israélienne A VIE!
      Par contre le palestinien qui aura poignardé un enfant juif dans le dos pourra sortir bien engraissé après l’obtention de son diplôme avec une grève de la faim ou par échange contre un corps de juif assassiné ou un otage encore vivant 1000 fois sodomisé et torturé!
      C’est ce qui s’appelle l’equitabilite de la justice: si vous décidez de tuer quelqu’un voyez si vous êtes bien palestinien, auquel cas les meilleurs traitements pénitenciers seront octroyés d’une qualité supérieure a un séjour dans un palace GRATUIT; si, par contre, vous êtes juif et en plus religieux (on vous traitera alors de membre d’extrême droite ou d’ultra orthodoxe a la seule vue d’une kippa sur la tête) alors la c’est la perpétuité et le gouvernement sera même peiné de ne pas vous fusiller ou vous faire passer sur une chaise électrique « made in USA »!!! On ne parlera pas du palestinien qui vous a balancé une pierre a la tête ou un couteau dans le dos, le coupable évident sera le juif qui, en se défendant sous les pierres, lui a tiré dessus…..Cela vous convient-il comme justice? De toute manière on ne demande jamais l’avis des juifs même quand ils crèvent comme des chiens……
      Finalement il valait mieux être a Dachau, Treblinka, ou Aushwitch car la-bas les juifs se faisaient frapper par des étrangers, tandis qu’en Israel non seulement les juifs sont frappés par des étrangers, mais en plus ils sont condamnés par leurs propres frères juifs qui innocentent leurs assassins!
      Devons-nous poser la question a nos gouvernants: « ou est le pain qu’on mangeait dans les camps de la mort en Allemagne? »… pour qu’ils comprennent enfin le désarroi dans lequel ils nous placent, lorsque dans leur politique,ils fléchissent devant la pression internationale INJUSTE???

    4. marie

      Je répète : ce texte vient des députés socialistes de l’Assemblée Nationale.. C’est sur les députés qu’il faut taper. Le pouvoir parlementaire (députés) et le pouvoir de l’exécutif ne s’interpénètrent pas en France.
      Les députés proposent ce texte au Président et au gouvernement et ensuite le Président et le gouvernement prennent une décision ou préfèrent attendre dans un but d’apaisement des communautés car la France est divisée, morcelée aujourd’hui comme jamais.. Attendons.

      Je pose juste une question à ces députés : Est-ce que le fait d’avoir reconnu la Palestine comme Etat observateur à l’ONU en Novembre 2012 a changé la situation au Proche-Orient ?:NON, le conflit israëlo-palestinien s’est aggravé depuis. Et pourtant, à l’époque, les femmes et hommes politiques pro-palestiniens nous sortaient le même discours, c’est-à-dire que le fait de donner le nom d’Etat observateur à la Palestine allait tout arranger et ils se sont trompés lourdement et, pire;, ils recommencent aujourd’hui. C’est vrai que ces gens vivent dans l’instant présent comme les chaînes d’info continues. Ils ne peuvent même pas analyser deux ans en arrière. Lamentable. Et comme les mêmes causes produisent les mêmes effets : cette reconnaissance amènera plus de tensions et plus de guerre.
      Et Israël rappellera son ambassadeur comme pour la Suède. Pas sûr qu’ainsi, on fasse avancer le dialogue.

      Et puis je pense que les députés socialistes veulent emmerder Hollande et Valls à chaque fois et ce, depuis que le premier Ministre a été nommé.

    5. capucine

      Comment peut-il reconnaître un pays imaginaire qui n’existe pas !
      sauf dans la tête de nos ennemis …
      Pourquoi faut-il que Hollande s’acharne à faire la même chose que son copain Obama ? quand Hollande est parti en Israël il a dit hypocritement
      qu’il était l’ami d’ Israël !! mon œil … c’est un gros baratineur , une girouette qui à retourné sa veste pour faire plaisir au vieux terroriste Abu Mazen
      je suis dégoûtée de sa politique de m°°°° pro-arabe

    6. Simonai ongué

      L’on dit souvent que, le Coq ne meurt sans toute fois bouger ses ailes!!
      M. 15% crois avoir le vote musulmane sur le dos d’Israël..Non Dieu n’acceptera pas cette petite politique de l’homme mal’heureux qu’est Hollande , pauvre lui ? il s’enfonce de plus en plus dans son trou de 15% La France est devenue un pays à plusieurs frontières à l’intérieur même de la France.GOUVERNER PAR L’HOMME ARABE ET REPRÉSENTER PAR L,HOMME FRANÇAIS .
      L’ARABE DÉCIDE , LA FRANCE FAIT DES COMMISSIONS .
      CROYEZ-MOI CE PAYS N’A PLUS DE TÊTE QUE ÇA SOIT LA DROITE FRANÇAISE ,,JE NE VOIS PAS LA FRANCE DEVENIR LE PAYS QU’ELLE SOUHAITE ÊTRE..L’homme Arabe a bien construit son identité en France,ça demande bien des années pour voir la France gouverner son Pays actuellement Mahomet a acheté le pays .JE NE SAIS PAS ,SI , IL Y AURA DU RACHAT PAR LA FRANCE? QUAND? ET COMMENT? JE NE LE SAIS PAS .MAIS À CE QUE JE SACHE , LA FRANCE EST PRÉSENTEMENT CONTRÔLÉE DIRECTEMENT PAR MAHOMET SANS CONTRADICTION!
      M. 15% NE RÉUSSIRA PAS MÊME AVEC LE VOTE DES ARABES À GARDER LE POUVOIR , MIROITER UNE TELLE SITUATION SI GRAVE ET COMPLIQUÉE À ABBAS JE NE SAIS PAS OU ILS VONT PLACER CET ÉTAT FICTIF ,EN AJOUTANT LA FOLIE EN PARLANT DE JÉRUSALEM ..QUOI ? CAPITALE ?? DE QUI ?? NON IL N ‘Y PAS UN TEL REMÈDE CAPABLE SOIGNER UNE TELLE DÉRIVE POUR LE CONTINENT EUROPÉEN?
      MERCI LE TEMPS NOUS DIRA SI LEUR PROJET VERRAS UNE COURSE À LONGUE DISTANCE.

    7. TRUDELLE

      Ne vous leurrez pas : ce texte du P.S. a été téléguidé de l’Elysée car on rappelle qu’ici, en France, c’est le gouvernement qui a la maîtrise de l’ordre du jour des sessions de l’Assemblée nationale…
      Rappelez-vous une déclaration de notre équipe de bras cassés qui croit gouverner la France,par la voix de ce vieux cheval de retour qu’est FABIUS : on ne bombardera pas la Syrie de peur de tuer des combattants djihadistes français et, ainsi, soulever nos banlieues qu’on ne saurait mieux reconnaître tombées aux mains des Arabos-musulmans !
      Et voilà l’indépendance de la France ! Dotée de l’arme nucléaire matamore tombé à genoux et ramant devant la menace des voyous de banlieue…

    8. Albert

      Le pire à prévoir dans cette sinistre comédie de reconnaissance d’un Etat de Palestine sans assise constitutionnelle, administrative et démocratique, dirigée par des escrocs et des criminels, et que cela va encore renforcer leur conviction qu’il ont avancé d’un pas affaiblissant Israël, et ainsi se réjouir d’enfoncer leurs clous sans rien laisser à Israël, ni paix, ni territoire. Ces gens sont issus de groupes terroristes et se nourrissent de haine anti juive ouvertement et sans crainte. L’Europe, l’Occident n’aura pas le pouvoir de les contraindre à quoi que ce soit, c’est-à-dire à une paix et une reconnaissance d’Israël, puisque on consent à leurs demandes sans rien offrir à Israël en retour. C’est ainsi que l’histoire de ce conflit perdure, sur la base d’une falsification et distorsion de l’histoire, sur la base de non-respect des accords passés en 1920 et 1947, sur une infâme collusion contre Israël .L’Europe se couvre de honte d’occulter ces accords qu’elle a elle-même signés. A quoi serviraient donc d’autres accords s’ils ne sont pas respectés ? C’est une situation douloureuse pour Israël, accentuant son isolement dans la diplomatie mondiale. Il faut cependant se réjouir qu’Israël, depuis sa naissance en 1948, a parcouru un chemin brillant sur le plan démographique, prés de 850.000 habitants aujourd’hui, technique et scientifique incomparable avec toute autre nation moderne. Des prix Nobel en série, et des inventions sans nombre en technologie militaire, spatiale et médicale. Israël est sans aucun doute un pays qui se modernise, qui va de l’avant pendant que la sénile Europe se fragilise considérablement et s’enfonce dans une crise économique profonde. Nul doute, l’alibi palestinien, le bouc émissaire Israël sont là pour détourner l’attention des pauvres lambda qui peinent à vivre dignement leur quotidien. L’Europe brûle sous un incendie progressif qui bientôt fera effondrer son toit. Son idéologie socialiste suicidaire prépare sa sépulture imminente. La violence du monde islamique est déjà en route pour l’abattre sans pitié. Je ne donne pas cher à sa volonté d’en rescaper. Israël doit se montrer fort et résilient, et dire aux nations iniques, la phrase célèbre de Golda Meir « je préfère vos remontrances à vos télégrammes de condoléances » AM ISRAEL HAÏ.

    9. Saraiol

      Tous les gens de bonne foi savent que si un état arabe à côté de l’état juif n’a pas été créé à l’Ouest du Jourdain en 1948 comme prévu par l’ONU, c’est par la seule volonté des dirigeants arabes de Palestine et des pays voisins dont le seul objectif a toujours été l’opposition à tout foyer national juif.
      Certains pourraient évoquer l’ignorance de l’histoire. Mais une telle complaisance à cette ignorance là, surtout de la part de gouvernants, peut légitimement être suspectée de n’être qu’un signe de l’antisémitisme qu’elle cache et qui en est l’origine.

    10. martin

      la politique française est de plus en plus au service des islamistes, l’Elisée est déjà « esclave-dhimmy ».

    Laisser un commentaire

    Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

    0 Shares
    • Facebook
    • Twitter
    • LinkedIn
    • More Networks
    Copy link
    Powered by Social Snap