Il y a un temps pour la manipulation et la calomnie d’Israël, et comme chaque chose ayant son heure, il y a aussi un temps pour l’émergence de la vérité, même si le retour aux faits réels prend du temps et survient tardivement alors que l’attention du public est déjà ailleurs et que le mal est fait et produit ses effets.
Nous observons ainsi comment l’adage goebbelsien « calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose » fonctionne presqu’à la perfection du fait des ennemis d’Israël.
De quoi s’agit-il ?
En ce mois de juillet 2014, nous sommes en pleine guerre à Gaza qui est sous le joug des forces armées islamistes du Hamas et du Jihad islamiste considérées, en théorie du moins, comme des mouvements terroristes par Israël, les Etats-Unis et certains pays européens.
Les combats sont intenses et Israël tente de neutraliser les forces armées terroristes islamistes qui bombardent par centaines de « projectiles » quotidiennement les agglomérations civiles israéliennes dans le but de tuer le maximum de civils.
Comme à leur obsession, les médias internationaux ne se focalisaient que sur le « pilonnage » quotidien de Gaza par Israël.
Puis, dans ce fatras de bombardements le mercredi 16 juillet 2014 surgit « la mort de quatre jeunes arabes-palestiniens. »
Une équipe de TF1, « opportunément » présente sur les lieux à l’instant supposé du bombardement, avait même pu, nous assurait-on, filmer les navires de l’armée israélienne bombardant une plage de Gaza non loin du port et diffusait le soir-même du 16 juillet des images du supposé bombardement.
Metronews(1) nous expliquait également que « c’était un pilonnage censé atteindre des responsables du Hamas, mais qui s’est transformé en véritable carnage puisque parmi les victimes, figuraient quatre enfants âgés de 9 à 11 ans … Des enfants qui couraient sur une plage en train de jouer au ballon près du port, et puis le chaos … » Fermez les guillemets.
Sans autre procès, les médias décrétèrent que ces quatre jeunes tués ne pouvaient l’être que par des « munitions israéliennes ».
Comme en pareil cas, Tsahal assurait qu’une enquête serait menée pour faire la lumière sur cet incident tragique. Car après tout, il n’existe pas de « guerre propre », et même si l’armée israélienne comme aucune autre armée au monde observe moult précautions pour éviter ce genre de méprise, cela aurait pu avoir lieu involontairement de son fait si l’on garde à l’esprit l’usage par les terroristes islamistes de « boucliers humains », ou plus exactement d’« otages humains » positionnés à leur corps défendant sur des sites stratégiques par le Hamas et autres nazislamistes.
Car on n’est pas dans le cas de figure des bombardements menés par cette coalition hétéroclite internationale avec le recours d’une armada dispensée de toute exigence de proportionnalité contre « l’État islamique » en Irak et en Syrie : Les jihadistes une fois éliminés n’ont pas le temps d’être comptabilisés ni par l’AFP, ni par Reuters, qu’ils disparaissent aussitôt dans l’éther, comme les victimes civiles collatérales. La très large coalition internationale a inventé la « guerre propre », sans mort visible.
Avec Israël il se produit l’inverse : « Abracadabra », des morts surgissent de nulle part et des médias corrompus sont là aux aguets pour les comptabiliser et mettre l’Etat juif au pilori.
L’expérience, côté israélien, incite autant à la méfiance qu’à la prudence face à ce type d’évènements. Rappelons-nous « l’affaire de Mohamed Al Dura » et depuis la production de toute une « filmographie pallywoodienne ».
Vous avez un média qui, apercevant la marine israélienne patrouiller à proximité de Gaza, affirme l’avoir vu canonner contre des civils, en l’occurrence des enfants arabes-palestiniens, en bord de mer à Gaza. Et dans une sorte d’expérience hallucinatoire visuelle partagée, chacun assure avoir vu la même chose que ce que son voisin affirme lui aussi avoir vu.
Les JT télévisés, les médias écrits relaient promptement l’information qu’on entend ensuite sur les radios, puis bien évidemment sur le Web qui amplifie cette dynamique, à la fois en terme d’accélération, de reprise, d’amplification et de déformation. Personne ne prend la peine de vérifier l’information à sa source.
P. Bourdieu (sociologue) avait nommé ce phénomène de « circulation circulaire de l’information » qui consiste en ce que des informations diffusées par les médias sont très souvent des informations produites par d’autres médias, puisées à la même source et souvent unique, non vérifiée, et où l’erreur forcée initiale fait « effet boule de neige ».
Cette sordide histoire a été rapportée au moment des faits avec tout le zèle journalistique dont sont capables l’ensemble des médias malveillants.
Autopsie d’une mise en scène
Un expert connu en armes aux États-Unis, Thomas Wictor [Lire ICI], a effectué une analyse médico-légale de ce qui s’est passé le jour de ce supposé drame imputé à l’armée israélienne.
S’appuyant sur les faits réels tels que rapportés par différents médias internationaux, Thomas Wictor s‘est appliqué à décrypter cette « affaire » en incluant toutes les déclarations contradictoires pour tenter de démontrer comment fonctionnent les médias corrompus en Occident et afin de mettre à jour la tromperie de la version officielle des faits imposée par le Hamas.
Il a procédé à une reconstitution méthodique en utilisant à la fois la propagande du Hamas, ses images, le film utilisé par divers réseaux de télévision sur le plan international, ainsi que des photographies.
Selon la démonstration qu’il dégage de son expertise, ces quatre garçons morts, membres d’une puissante famille de premier plan dans le soutien du Fatah et rivale du Hamas à Gaza n’ont pas été des victimes de missiles israéliens, mais ont été assassinés par le Hamas dans le cadre d’une mise en scène.
Il souligne un aspect curieux qui apparaît sur les photos des cadavres mutilés et libérés par le Hamas à des fins de propagande, c’est l’absence de saignement des blessures profondes et nombreuses sur le corps des garçons. Ceci est un des nombreux indices qui conduit Thomas Wictor à conclure que les corps étaient morts depuis un certain temps et que les cadavres ont ensuite été déplacés le lendemain pour une mise en scène.
Notons que cette histoire macabre a été rapportée par plusieurs médias internationaux sans qu’aucun d’eux ne remettent en cause la véracité des faits, rendant ainsi la tromperie du Hamas plus facile, et grâce à leur disponibilité à relayer des mensonges.
Il faut cependant reconnaitre au totalitarisme islamiste qui ne s’embarrasse pas des questions d’éthique et des conventions internationales, d’avoir appris des totalitarismes stalinien et nazi que dans l’art de la propagande et de la stratégie de communication, que les images n’ont pas pour vocation à faire réfléchir, mais d’être le chemin le plus court pour flatter les émotions les plus primaires du public pris à témoin.
C’est pourquoi dans chaque conflit qui oppose à cycle régulier les arabes-palestiniens aux israéliens, il faut servir au large public une dose d’enfants morts « victimes innocentes » pour alimenter la diabolisation de l’Etat juif.
C’est une arme de guerre bien rodée par les islamistes et qui fonctionne d’autant plus efficacement grâce à des « pallywoodisations » opérées par les cameramen palestiniens et des équipes de journalistes à leur solde, avec la connivence des agences occidentales pour relayer les « yeux fermés » la diffusion internationale de ces « vrais-faux » crimes commis par Israël. Car la plupart des médias qui font commerce du mensonge ne sont pas là pour douter ou réfléchir. Comme Lénine le préconisait à l’endroit du peuple : « Dites-leur ce qu’ils veulent entendre ! » (Aujourd’hui, montrez-leur ce qu’ils veulent « voir », c’est plus jouissif) car, disait-il, « dire la vérité est un préjugé bourgeois ». Aujourd’hui, dans notre époque perverse à laquelle contribuent la médiacratie, la leçon a été retenue et fonctionne à plein régime.
Soulignons encore que ce fait n’est pas marginal et que de nombreux autres ont été recensés à Gaza. Sans compter les dizaines d’exécutions sommaires d’opposants au Hamas dont la mort a été attribuée aux israéliens et sur lesquels les médias, encore, se montrés discrets.
Thomas Wictor souligne ainsi comment la détestation des Juifs partagée par le Hamas et certains médias ouvrent la porte à ces dérives perverses.
Claude Salomon LAGRANGE pour Europe-Israël.
http://www.thomaswictor.com/timeline-hamas-gaza-beach-operation/
c’est 4 cas mais en vérité combien de cas que Israel a été faussement accuser mais que nous avons pas de preuve
Si Hamas est prête à tuer d’enfants pour se servir de la presse Européenne et faire condamner Israël, ils sont des barbares.
Le même jour que la press a montré cette mensonge obama Hussein le grand antisémite na pas attendu une vérification, je me souviens qu’il était le premier à condamner l’état hébreu ..!!!