Les palestiniens n’auront pas d’ «Etat» mais plutôt une «autonomie», affirme le ministre israélien de la Défense Moshe Yaalon.
« Nos efforts pour créer des raccourcis pendant les deux dernières décennies – d’Oslo jusqu’à nos jours – ont tous échoué », a-t-il dit.
«Nous savons comment vivre avec. Ce n’est certainement pas nécessaire de les contrôler. Nous pouvons leur donner l’autonomie politique comme ils l’ont maintenant », a déclaré Yaalon à Israel HaYom, le principal quotidien israélien.
« Nous nous sommes retirés de Gaza. Les habitants de Gaza ont choisi le Hamas, qui à son tour a choisi de fabriquer des roquettes au lieu d’exporter des fraises, et pour cela ils paient un prix », a déclaré ministre. « Ce n’est probablement pas une solution permanente et stable, mais il est important de parler de « gestion de crise » à l’égard de la bande de Gaza ainsi que de la Judée et la Samarie, de manière qui servira nos intérêts.
Interrogé pour savoir si Mahmoud Abbas est toujours un partenaire pour la paix, Yaalon a répondu : « Abbas n’a jamais dit qu’il nous reconnaissait comme l’Etat-nation du peuple juif. Il a également dit que si jamais un compromis est trouvé. Il n’a jamais dit avoir renoncé au « droit au retour. »
« Alors, jusqu’où peut-on aller avec lui ? »
« Je ne suis pas à la recherche d’une solution, je suis à la recherche d’un moyen de gérer le conflit et de maintenir des relations d’une manière qui fonctionne pour nos intérêts. Nous devons nous libérer de l’idée que tout se résume à une seule option appelée un Etat [palestinien] », a déclaré le ministre de la Défense. « En ce qui me concerne, les laisser appeler ça l’Empire palestinien, ne m’inquiète pas. Il s’agit d’une autonomie que nous pouvons accordée si elle est sur un territoire démilitarisé. Ce n’est pas un statu quo, c’est l’établissement d’un modus vivendi qui est tolérable et sert nos intérêts. »
Quand le journaliste demain au Ministre s’il rejette la « solution à deux Etats », il répond : « Appelez ça comme vous voulez. La séparation politique a déjà eu lieu, et c’est une bonne chose. Nous ne sommes pas là pour contrôler la vie des habitants de Gaza ou de Judée et Samarie. Cette séparation est importante. »
« L’autre côté ne pense pas que les « frontières de 1967 » seront la fin de l’histoire et ils ne l’ont d’ailleurs jamais dit. Pour eux, il s’agit d’une étape. Il ne s’agit pas de créer un Etat, mais de détruire celui des juifs. Il y a un manque de symétrie qui est en notre défaveur. »
Source : Par Avi Retschild – JSSNews
ENFIN DES PAROLES INTELLIGENTS,BRAVO Y’AALON!!!!!!!!! Evidemment qu’avec un Etat la guerre sera pérpétuelle et en plus ON RISQUE DE LA PERDRE! Cependant le problème n’est même pas abbas qui n’est qu’un PION mais la ligue arabe, obamama,la france,tous les gauchistes d’europe qui vivent leur derniers jours d’ailleurs. Pour être franc tant qu’il y aura 3 m.d’arabes en Palestine Occidentale il n’y aura PAS de paix mais je comprends qu’un dirigeant d’Israel ne puisse pas dire cela et cherche une phraséologie différente. En parlant d’autonomie existant déjà dans les faites ON FERME LE BEC DE OBAPIPI et ses tentatives de forcer sa propre politique merdique dans la gorge d’Israel en prétendant que la situation actuelle « is not sustainable »!!! PRESENT SITUATION IS SUSTAINABLE AND WHEN IT WILL NOT BE ANY LONGER IT WILL HAVE TO CHANGE FOR THE WORSE FOR ARABS WHO WILL HAVE TO BE EXPELLED! Si cela ne lui cloue pas son bec,il faut attendre le DEPART de ce chien qui a violé les lois toute sa vie! Et c’est en cela que le PM n’a pas si mal manoeuvré encore qu’il aurait dû faire sembland d’accepter l’autonomie et non…un état ce qui enplus a encouragé le chien enragé négroide de la Maison Blanche!
Excusez les fautes de frappe : « il aurait dû faire semblant d’accepter ». Cela n’a pas grande importance. Cependant je voulais dire qu’un dirigeant d’Israel n’ a peut-être pas la possibilité de dire ACTUELLEMENT que les arabes DOIVENT ETRE EXPULSES pour que la paix soit possible. En fait il faudra que le moment venu ils le disent sinon dans 100 ans ils n’auront toujours pas la paix. Mais pour le moment Ya’allon ne peut pas le dire puisque son PM a été même jusqu’à accepter l’idée de l’état arabe! TOUJOURS LA SURENCHERE EN FAVEUR DES ARABES!!! C’est le maximum de ce qu’il peut dire ACTUELLEMENT.
Yaalon est clairvoyant l’autonomie politique existante suffit c’est clair …pas d’état falastinien le seul état de palestine c’est Israel il n’y en a aucun autre…le hamas et avec lui le camp arabe, inclus celui de mazen, a compris qu’ Israel ne se laissera pas détruire…il détruira quiconque se hasardera pour éviter la destruction…le choix est donc clair ou s’abstenir de velleité ou se faire détruire ….l’autonomie est préférable à la mort…cette perspêctive laisse entière la possibilité de vivre…c’est la situation dans laquelle la région se trouve pas besoin de la suede ou des britichs ils peuvent reconnaitre ce qu’il leur plait de reconnaitre cela ne nous émeut pas…l’europe n’est pas dans la me^me situation qu’Israel, UE elle est finie au dire des anglais quand aux suedois malmoë a déja démontré qu’ils etaient déja mortsdonc finis eux aussi… la france attend l’hallali islamiste…
Que le peuple juif puisse récupérer ses territoires occupés par les palestiniens ce qui serait normal et que les palestiniens partent chez les pays arabes autour d’Israël. Je souhaiterais ce voeu de tout mon coeur ce sera la volonté de Dieu et qu Israël ne puisse plus écouter le monde
Ya’alon ne fait qu’exprimer l’interrogation commune à tout le sommet de la classe politique israélienne ; jamais ouvertement exprimée mais omniprésente : « à quoi pourrait ressembler le jour d’après ? ».
Après quoi ? Mais, après la paix, pardi. La magnifique, la totale, la définitive ; comme entre la France et l’Allemagne ; sans discorde, tous les problèmes résolus, Jérusalem, territoires, frontières, refugiés….
Le nirvana céleste, croyez-vous ? Que nenni.
L’économie israélienne qui ne sait plus où donner de la tête, les investissements qui explosent, l’industrie qui suffoque par manque de main d’œuvre….
Alors qu’elle est pléthorique côté arabe (palestinien si on veut). Pas chère et, ma foi, pas trop mal qualifiée malgré ce que pensent certains.
Conséquence incontournable : frontières ouvertes, tsunami démographique, majorité arabe en Israël en dix ans, l’état juif disparait, la cause arabe (palestinienne) gagne par la paix ce qu’elle n’a jamais pu gagner par la guerre.
D’où le manque d’enthousiasme (pour rester poli) de tous les gouvernements d’Israël depuis Rabin pour les négociations dites « de paix ». D’où l’acceptation d’un état de belligérance à petit feu comme solution provisoire avec vocation à durer.
D’où la poursuite des constructions dans les « territoires » (dites « colonies »). Car, dans cette perspective, pourquoi s’en priver ?
Bravo et merci au Ministre Yaalon d’exprimer ouvertement et avec beaucoup de lucidité son opinion sur l’avenir des relations Israélo- Arabes; à savoir que l’Etat d’Israêl pourrait concéder, au maximum, une autonomie politique aux provinces de Judée-Samarie et Gaza, mais seulement à condition qu’elles soient démilitarisées et sous tutelle; mais pour sortir du conflit, je pense qu’il faudrait envisager une période probatoire de 20 ans au terme de laquelle et seulement si les conditions de sécurité sont réunies, on pourrait créer une sorte de confédération dans laquelle les Juifs et les Arabes pourraient circuler librement; ce temps pourrait servir à amener les Arabes à comprendre que leur intérêt serait de construire des provinces prospères capables de s’engager dans une voie de progrès économique et culturel; sinon ils en paieront le prix.
Je suis désolé mais pour moi ni état, ni autonomie. Le seul et unique moyen c’est de les renvoyer tous en Jordanie leur pays depuis l’accord de Riga