Depuis la proclamation de l’État islamique, les actes de brutalité, les viols, les exécutions de masse visant particulièrement les femmes et les enfants se sont multipliés, en Irak comme en Syrie. Une enquête du Haut-Commissariat aux droits de l’homme des Nations unies, rendue publique le 2 octobre, en fait un compte rendu terrifiant. Ce document de 26 pages recense 2 500 civils, pour la plupart des femmes et des enfants, faits prisonniers pour le seul mois d’août dans les régions de Sinjar, Tal Afar et Shirkhan. Une fois regroupées, les femmes ont été systématiquement violées par les djihadistes. Puis sommées de se convertir, la plupart étant chiites, chrétiennes ou yazidies. Celles qui refusaient étaient soit exécutées sur place, soit conduites sur les marchés de Mossoul ou de Raqqa. Avec autour du cou une étiquette mentionnant le prix auquel elles étaient mises en vente. Et comme dans une foire au bétail, les acheteurs marchandaient le prix de leur esclave.
« Repos du combattant »
Celles qui acceptaient de se convertir pour échapper à ce sort ont été données comme épouses à de jeunes combattants de l’organisation État islamique. Précision : selon la « loi » islamique, leur conversion annulait leur précédent mariage et elles étaient donc « libres » de prendre un nouveau mari.
C’est le sort qui attendait Assia, la jeune apprentie djihadiste de 15 ans originaire de Villefontaine dans l’Isère que ses parents ont réussi le week-end dernier à rattraper avant qu’elle ne s’embarque pour la Turquie. Car toutes celles qui ont réussi à revenir du pays du djihad le racontent : dès leur arrivée, qu’elles soient ou non mineures, ceux qui les prennent en main leur expliquent qu’elles doivent épouser un soldat. C’est leur façon d’aider « la cause ». Elles qui étaient parties avec l’idée qu’elles allaient faire de l’humanitaire et soigner les blessés se retrouvent dans une situation qu’elles n’imaginaient sans doute pas. Ou, en tout cas, pas de cette façon. Réduites au rôle de « repos du combattant ». Au fond, le djihad est par certains de ses aspects un véritable réseau de prostitution.
Michel Colomès
Ne cherchez pas du sang humain dans les veines des djihadistes, ce n’est que du venin teinté de haine.
ce qui serait génial est d’avoir le témoignage vidéo de plusieurs de ses fillettes
française qui ont été faire le jihad pour selon elle ** faire de l’humanitaire**
ou prendre soin des blessé….. mais en vérité elles était simplement des jouets
sexuel des jihadistes avec l’autorisation d’être totalement soumise…..
tu parle d’une connerie d’excuse pour violé des filles au nom d’une religion