S’adapter aux méthodes des adversaires.
Convient à la destruction ciblée d’aéronefs, de QGs militaires, de navires, de pétroliers, d’infrastructures critiques (centrales, data centers, bases aériennes…) etc. Pilotable à partir d’un centre de C&C situé à plusieurs milliers de km de distance. Le drone de combat initialement dédié à la suppression électronique de la défense aérienne ennemie (SEAD) devient drone-suicide à part entière. Produit à des centaines d’exemplaires sur les chaînes de montage d’IAI et vendu massivement à l’étranger dans sa version standard, pour financer l’amélioration et la progression technologique des modèles les plus sophistiqués.
Voilà le genre d’informations qui fait plaisir à lire.
La mise en oeuvre, sur le terrain, sera suivie avec un réel intérêt.
Ces drones sont à la base conçus pour neutraliser les stations S-300 fournies par les Russes à l’Iran et la Syrie, enfin ceux livrés en Syrie en explosés avant d’avoir été déballés dans le port de Latakié le 5 juillet 2013 par l’aviation sans qu’aucun des 4’000 radars russes déployés en Syrie par les russes ne détecte la moindre trace sur les écrans.
C’est aussi la raison pour le changement de politique de Poutine envers Israël, certaines versions de ces drones sont « dressés » pour repérer les missiles russes et spécialement les stations S-300 déployées en Iran pour éventuellement contrer une attaque de Tsahal contre les centres d’enrichissement d’uranium.
En fait, il s’agir de familles de drones dédiés à plusieurs types de missions et différentes types de cibles.
Ces « mini-drones » sont redoutable et ont fait échoué tout le programme de missiles de défense russe, un simple mini-drone fabriqué en série d’un coût de production de moins de 50’000 $ détruit sans faille des stations avec batteries de missiles facturés 100 millions $ aux iraniens , soit un système de radars transportable et 4 batteries de 4 missiles S-300 !
Le quotient est de 2’000 et le drone ne rate jamais sa cible, donc les combats deviennent très inégaux en matière de coûts, raison pour laquelle la Russie a tout fait pour que la guerre en Syrie permette aux russes de placés ses meilleurs systèmes de radars afin de percer les secrets des radars et dispositifs antiradars israéliens.
Lorsque les russes ont livrés les S-300 à la Syrie, ils ont provoqués les fuites permettant à Israël d’avoir assez d’intelligence pour provoquer une attaque israélienne, raison pour laquelle, lors de cette opération, les F16 et F15 n’ont pas utilisés leurs systèmes de brouillages et ont opté pour une approche en dessous du seuil d’altitude déclenchant les alertes dans les systèmes de détection des radars russes, soit en dessous de 50 mètres du sol et que les avions semblent avoir décollés de Chypre à ras les flots.
Plusieurs techniques de brouillages de radars sont connues, cependant lorsque que ces derniers sont identifiés, ils laissent des traces observables sur les enregistrements et permettent d’analyser des signatures avec les systèmes radars très performants, cependant les russes n’ont toujours pas détectés quoi que ce soit lors de chaque intrusion furtives menée par Heil-Ha-avir. Rien, wallouh, makench, quedale !
Ce secret, les russes seraient prêts à payer des milliards, mais qu’ils ne s’inquiètent pas, les systèmes utilisés jusqu’à maintenant par Tsahal ne sont que 2 ou 3 sur une dizaines de parades antiradars développées par les ingénieurs des industries israéliennes !
Ils ont 2’000 ans de retard !
Heil-Ha-avir. Rien, wallouh, makench, quedale ! KLOUM en Hebreu