Obama soutient les extorsions du Hamas exigeant qu’Israël et l’Egypte ouvrent les frontières de Gaza afin de permettre au groupe terroriste de se réapprovisionner et reconstruire son infrastructure terroriste.
Le président Barack Obama a un plan.
Il veut utiliser les pourparlers de cessez-le-feu au Caire pour renforcer le Fatah.
Dans son allocution mercredi, Obama a dit: «Je n’ai aucune sympathie pour le Hamas. J’ai beaucoup de sympathie pour la part de travail faite par les responsables de l’Autorité palestinienne, en coopération avec Israël et la communauté internationale. Et ils se sont montrés responsables. Ils ont reconnu Israël. Ils sont prêts à aller de l’avant pour parvenir à une solution à deux Etats. Je pense que [le président de l’AP et chef du Fatah, Mahmoud Abbas, alias] Abou Mazen est sincère dans son désir de paix.»
Les plans d’Obama pour le cessez-le-feu ont été exposés en détail, la veille, dans une colonne du Washington Post, par le chroniqueur David Ignatius. Celui-ci a affirmé que le secrétaire d’État John Kerry a abandonné sa position antérieure sur le cessez-le-feu. Cette position avait été sévèrement critiquée pour son parti pris évident en faveur du Hamas, par les dirigeants israéliens et les poids lourds des médias américains, et par Ignatius lui-même.
Contrairement à l’adoption préalable par Kerry, de toutes les demandes du Hamas comme des positions officielles américaines, Ignatius a écrit que «la semaine dernière, [Kerry] s’est mis à concevoir un plan de cessez-le-feu, qui vise à stabiliser la bande de Gaza sous la direction de M. Abbas et des Palestiniens modérés de l’AP qui – avec le soutien de la communauté internationale – auraient la responsabilité globale de la réhabilitation de la bande de Gaza ».
Ignatius a poursuivi, « La dynamique du nouveau plan de Kerry est de tirer parti du pacte d’unité du Hamas avec le Fatah et son engagement de transférer le pouvoir de l’AP à Gaza. Dans un premier temps, l’Autorité palestinienne et son service de sécurité formé par les américains, assumeraient la responsabilité de la police du passage de Rafah entre Gaza et l’Egypte, ainsi que les passages vers Israël « .
Fatah, dit Ignatius, « pourrait commencer à payer les salaires des fonctionnaires palestiniens à Gaza, en supposant que les détails pourraient être élaborés. L’accord pourrait également se déplacer vers le désarmement de tous les groupes terroristes dans la bande de Gaza « .
En habilitant le Fatah de cette façon, explique Ignatius, Kerry – et Obama – vont « maintenant dans la bonne direction – loin du renforcement du Hamas et vers l’autonomisation des modérés sur lesquels repose l’espoir d’une plus grande stabilité et sécurité à Gaza »
Ignatius s’est ensuite tourné vers le Premier ministre Benyamin Netanyahu, le mettant au défi de se joindre à Kerry pour donner son accord «pour une véritable ouverture de la bande de Gaza à la libre circulation des personnes et des biens en échange du désarmement des groupes terroristes.»
Alors que le nouveau plan de l’administration sonne bien en théorie, il a un problème de base.
Hamas et le Fatah sont des partenaires. Les exigences du Hamas sont les exigences du Fatah. Les objectifs du Hamas sont les objectifs du Fatah. Donner au Fatah le contrôle des frontières signifie donner au Hamas le contrôle des frontières
Abbas a dit lui-même dans un discours diffusé sur la station officielle de l’Autorité palestinienne en Décembre 2009, alors qu’il tentait de former ce genre de gouvernement d’union Fatah-Hamas qu’il a créé en Avril [2014], « Il n’y a pas de désaccord entre nous [le Fatah et le Hamas]: À propos de croyance? Aucun! A propos de politique? Aucun! A propos de la résistance? Aucun! »
En début de semaine, Khaled Abu Toameh du Jérusalem Post a expliqué que presque dès le début de la guerre, le Hamas et le Fatah ont travaillé en parfaite harmonie.
Les responsables du Fatah ont servi de porte-parole au Hamas devant les médias occidentaux.
Tandis que le Hamas menait sa guerre terroriste contre Israël, Abbas menait sa guerre diplomatique contre Israël.
En outre, Abu Toameh a indiqué qu’au cours des hostilités, le Fatah a payé les salaires des membres du Hamas.
En raison de la désignation du Hamas comme organisation terroriste étrangère, la poursuite du financement de l’Autorité palestinienne est illégale en vertu des lois antiterroristes des États-Unis. Avant la guerre le Fatah avait refusé de payer les membres du Hamas, de crainte que le Congrès se décide à faire appliquer la loi et mette fin à l’aide de l’Amérique à l’Autorité palestinienne.
Pour une raison quelconque, Abbas et ses camarades ne sont plus inquiets que le financement de leurs partenaires terroristes sur des fonds de donation, puisse mettre en danger la dotation annuelle de 440 millions de dollars des Etats-Unis.
Dès le début de la campagne du Hamas contre Israël, les milices du Fatah dans la bande de Gaza ont participé à des tirs de mortiers et de roquettes contre Israël. Et loin de chercher à cacher ce fait, la direction du Fatah s’en est réjouie. Elle a affiché des informations d’attaques de mortier par le Fatah contre Israël sur son site officiel de médias sociaux.
Le Fatah a publié un Poster sur la page officielle Facebook du Fatah, le 9 Juillet sous le titre «Brothers in Arms.» L’affiche représentait des terroristes du Fatah, du Hamas et du Jihad islamique et on y lisait : «Un Dieu, Une patrie, Un ennemi, Un but.»
En ce qui concerne les négociations de cessez-le-feu, le mois dernier Abbas s’est rendu au Qatar où il a rencontré le maître terroriste du Hamas Khaled Mashaal. La réunion a abouti à une position palestinienne coordonnée en ce qui concerne les demandes de cessez-le-feu. Ces exigences, qui nécessitaient qu’Israël et l’Egypte ouvrent les frontières, sont muettes sur la question de la démilitarisation de la bande de Gaza. C’est la position unifiée de la délégation palestinienne aux pourparlers de cessez-le au Caire qu’Obama – avec bonheur- a signalé comme étant dirigée par le Fatah.
En d’autres termes, la nouvelle position d’Obama sur les termes du cessez-le-feu est sur la même base qu’il s’est fixée depuis le début. Il soutient les demandes d’extorsion du Hamas pour qu’Israël et l’Egypte ouvrent les frontières de Gaza afin de permettre au groupe terroriste de se réapprovisionner et de reconstruire son infrastructure terroriste.
La seule chose qui est nouvelle dans sa posture actuelle est que maintenant il s’appuie sur le partenariat du Fatah avec des membres soi-disant modérés du Hamas, en tant que poudre aux yeux.
Pour ceux qui ont prêté attention aux actions d’Abbas et à celles de ses camarades du Fatah, rien dans leur comportement pendant la guerre n’est à postériori surprenant.
Depuis que l’AP a été créé en 1994, le Fatah et le Hamas ont eu une relation de coopération. Les seules fois où le Fatah a combattu Hamas ce fut quand le Fatah s’est senti directement menacé par le Hamas. Et aussitôt que cette menace s’est estompée, le Fatah a cessé ses opérations et a rétabli sa coopération avec le Hamas.
Abu Toameh a indiqué que pendant la dernière guerre, Abbas a demandé à ses commandants de sécurité de suspendre leurs opérations contre le Hamas en Judée-Samarie. Après tout, ce sont ses partenaires, et non ses rivaux.
Au-delà, le Fatah soutient la contrebande d’armes à travers la frontière égyptienne. Avoir le Fatah en charge des points de passage frontaliers n’empêchera pas le Hamas et le Jihad islamique de reconstituer leurs arsenaux et la reconstruction de leurs tunnels de la mort. Il leur permettra de le faire.
Et de nouveau, nous le savons par la feuille de route de l’AP / Fatah.
Dès le début de la guerre terroriste palestinienne en Septembre 2000 jusqu’à ce que le Hamas éjecte le Fatah de Gaza en Juin 2007, le Fatah a contrôlé les frontières avec Israël et l’Egypte. Pendant cette période, il a conçu les opérations de trafic d’armes dans la bande de Gaza. Le navire d’armes iranien Karine-A que les commandos de la marine israélienne ont intercepté dans la mer Rouge et qui faisait route pour Gaza en Janvier 2003 était commandé par le chef adjoint de la force navale de l’Autorité palestinienne, membre du Fatah. Le contrat d’armes avait été négocié par le trésorier de Yasser Arafat, Fouad Shubaki.
Les constructions de tunnels ont commencé à l’époque du contrôle par le Fatah de la bande de Gaza. Quand donc le caporal Gilad Shalit a été enlevé d’Israël vers Gaza en Juin 2006 par des terroristes qui sont entrés dans sa base par un tunnel souterrain qui a traversé la frontière, le Fatah, dirigé par Abbas, contrôlait toujours la bande de Gaza.
Quant aux forces militaires du Fatah formées par l’armée américaine, elles ne valent pas mieux que celles de l’armée irakienne formées par les Américains.
Lorsque le Hamas a expulsé le Fatah de Gaza en 2007, les troupes du Fatah, formées par les officiers US, ont été les premières à fuir.
Les efforts des instructeurs militaires américains du contre-terrorisme n’ont eu aucun impact sur leur volonté de rester sur leur position contre le Hamas. Ils n’ont même pas essayé de se battre.
Et pourtant, le plan d’Obama est de ramener ces mêmes forces du Fatah à Gaza. Lui et Kerry (et Ignatius), veulent faire croire à Israël que ces forces du Fatah vont démilitariser le Hamas en échange de l’ouverture des frontières, qu’ils vont sécuriser et vont empêcher le Hamas de les utiliser comme moyen de réapprovisionner ses arsenaux et reconstituer son financement.
C’était pourtant clair avant, mais deux choses sont devenues d’une évidence aveuglante pendant la guerre.
Tout d’abord, le Hamas est très dangereux. Il est réellement et véritablement dédié à la destruction d’Israël. Il est prêt à s’engager dans les sacrifices d’enfants palestiniens dans le but de tuer des Juifs. Il a utilisé toute l’aide qu’il a reçu, tout l’argent, tout le béton pour construire une infrastructure terroriste et un arsenal de missiles destiné à tuer des Juifs.
Rien d’autre ne compte pour les dirigeants du Hamas, ni Gaza, ni la Palestine, ni leurs mères, ni leurs enfants.
Il n’existe aucun moyen pour Israël de parvenir à un pacte de non-agression à long terme avec le Hamas. Il ne peut être vaincu que par des opérations militaires directes et une guerre d’usure.
L’autre chose que nous avons apprise est qu’Israël ne peut tout simplement pas, en aucun cas, envisager l’abandon de la Judée, de la Samarie et de Jérusalem. Netanyahu a souligné ce point explicitement dans sa conférence de presse au début de la guerre. Il a expliqué: «Si nous devions sortir de la Judée et de la Samarie comme ils nous disent de le faire, il y aurait la possibilité pour des milliers de tunnels » d’être creusés pour attaquer Israël.
Netanyahu a souligné que les Palestiniens ont creusé 1200 tunnels sous les 14 kilomètres de long de la frontière de Gaza avec l’Egypte.
La Judée – Samarie, a-t-il ajouté, est 20 fois la taille de la bande de Gaza, et Israël n’est pas prêt « de créer 20 autres Gazas. »
Dès que le cessez-le-feu a commencé, la gauche israélienne s’est remise à taper. Les médias ont commencé à mettre Netanyahu au pilori, pour ne pas avoir considéré la perspective d’une guerre avec le Hamas comme l’opportunité d’une percée diplomatique avec Abbas et le Fatah.
Ils accusent Netanyahu de les avoir trompés. Il n’a pas voulu affaiblir le Hamas pour renforcer Abbas.
Il a tout simplement affaibli le Hamas pour qu’il cesse de nuire à Israël.
Netanyahou a commis une erreur pendant les combats quand il a fait de la démilitarisation de la bande de Gaza, un but de guerre déclarée. Ce faisant, il a ouvert la porte à la gauche, à la Maison Blanche et à l’Union européenne qui se sont mis à cracher leurs mensonges absurdes sur le Fatah comme une force fiable, modérée et crédible – qui avec l’argent de leurs contribuables en dollars et en euros – pourrait démilitariser la bande de Gaza.
Dans son allocution, M. Obama a indiqué que le monde – c’est – à dire, les Etats-Unis et l’Europe – doivent être impliqués dans tout accord de cessez-le-feu lié à Gaza. Et pour le privilège de les avoir à bord, Israël doit accepter la demande du Hamas-Fatah pour l’ouverture des frontières.
Mais la vérité est que les Etats-Unis et l’UE sont totalement inutiles. Israël et l’Egypte peuvent sécuriser les frontières. Et si les Américains et les Européens sont inquiets pour le bien-être de la population de Gaza, ils peuvent transférer leur aide à Israël, qui peut la redistribuer à ceux qui en ont besoin plutôt que de la remettre au Hamas.
La raison pour laquelle Netanyahu ne cherche pas à utiliser la guerre à Gaza pour promouvoir une paix plus large avec le Fatah est que le Fatah n’est pas intéressé à la paix avec Israël. Comme démontré au cours de la guerre, le Fatah est le partenaire du Hamas, pas d’Israël. Et tout accord avec le Fatah est un accord qui renforce le Hamas.
Ignatius a tort. L’administration continue de soutenir les exigences du Hamas contre Israël. Elle vient d’actualiser des points de discussion pour s’aligner avec les idées préconçues entièrement incorrectes d’Ignatius sur la nature du Fatah.
Caroline GLICK –
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Reprinted with author’s permission from The Jerusalem Post
Traduction Nancy VERDIER pour Europe Israël
© Copyright Europe Israël – reproduction autorisée avec mention de la source et lien actif
Pour QUI roulent Obama et Kerry. VOILA LA SEULE ET VRAIE QUESTION.
Comme d’habitude les journalistes ne parlent que des FAITS VERBEUX sans jamais remonter aux sources du Renseignement. Comme pour la crise financière: ils décrivent ce qui se passe mais sans expliquer rien dont il n’ont soit aucune idée soit l’Ordre Absolu de n’en rien évoquer jamais.
Vous me faites donc rire Europe Israel avec ces infos dénuées de tout vrai intérêt.
Etant donné que tous ces politicards de gauche hussein obama le pire d’entre eux,compris ne veulent pas comprendre que Israel est un VERROU contre l’invasion armée des arabes en europe et ailleurs après l’invasion des GUEUX arabes, il est heureux que ceux-ci à gaza se soient démasqués avec leurs tunnels ce que personne ne soupçonnait. Netanyahou a raison d’utiliser cet excellent argument pour refuser d’évacuer quoi que ce soit. De toutes manières PERSONNE N A DEMANDE A HUSSEIN OBAMA DE FAIRE LE MEDIATEUR ET ON NE VEUT PAS DE LUI NI DE SES IDEES. PLUS VITE IL CESSERA SES INGERENCES DANS LES AFFAIRES D ISRAEL PLUS VITE IL Y AURA DES CHANCES D AVOIR LA PAIX DANS CETTE REGION.CE SERA UNE PAX ISRAELIANA PUISQUE ISRAEL EST LE VAINQUEUR ET QUE C EST AINSI QUE CELA SE PASSE PARTOUT DANS LE MONDE. Si cela ne plait pas obamama cela n’a aucune importance,qu’il aille faire ses imbécilités AILLEURS. Lorsque le vainqueur est empêché de dominer chez IL NE PEUT PAS Y AVOIR DE PAIX et c’est ce que l’on constate au P.O. Evidemment Israel est aussi responsable car il pouvait et peut toujours AGIR A SA GUISE PAR LES FAITS ACCOMPLIS et il a grand tort de ne pas le faire. EN EXPULSANT LES ARABES ILMETTRA TOUT LE MONDE D ACCORD ET CE SERA LA PAIX. C’est ainsi que cela se passe sur cette planète.
Hussein Obama est un guignol nul qui n’a fait que des c.ies depuis qu’il est au pouvoir. Comme tous les idiots, il prétend avoir toujours raison. Il faut passer outre ce type, qui, de toute façon n’est que de passage au poste qu’il occupe.
Il faut REPRENDRE, REOCCUPER et RECONSTRUIRE par des implantations juives la Bande de Gaza, en expulser les guignols du Hamas et du Fatah, ainsi que les gazaouis.
C’est à ce prix qu’Israël aura la véritable paix, ni tunnels, ni terroristes arrivant par le bord de mer.
Il faut savoir taper du poing sur la table pour se faire respecter des pieds nickelés que sont Hussein, François le pédalo et autres parasites….
Robert,
Ce n’est pas que BHO et Kerry n’aient pas compris, c’est qu’ils ne veulent pas comprendre, ou font semblant de comprendre, mais à leur façon qui est exclusivement pro pal, et pro islam.
Laisser à Israël le soin de déterminer les conditions de sa sécurité , que Obama s’occupe de ses défaites du moyen orient et laisse les juifs régler leurs problèmes et tout ira beaucoup mieux !
Le Nouveau Plan d’Obama pour le Hamas. Par Caroline Glick
août 18, 20145
Faites attention: Cpl. en englais = caporal et non Capitaine!
Il ne faudrait pas oublier que Obama est de descendance musulmane ,et qu’un grand nombre de membre de sa famille vive toujours en Afrique donc ce président à surement un penchant pour les gens dont il à des gênes ,comme il est coutume de dire « un chien ne fait pas des chats »
Obama, Kerry, le Patron L’ONU. Israel ne peut faire confiance. Tout les trois savaient que le Hamas prenait les civils en otage.
Ce que les médias n’ont pas dit sur le Hamas
Blog de Tsahal | 18 Août 2014
Beaucoup de Journalistes non pas divulgués les informations exactes par peur d’être abattu par le Hamas mais le plus terrible ce sont que les représentants sur place de l’ONU savaient que le Hamas entreposait des missiles dans les locaux, écoles, hôpitaux, mais bouche cousus de la part de l’ONU ce qui veut bien dire que le Patron préfère défendre les terroristes que la démocratie. Israël serait du a de la pure haine du juif,
Les activités de l’armée israélienne, qui est entrée à Gaza le 17 juillet dernier, ont été fortement relayées dans la presse internationale. Cette couverture a t-elle permis de donner une image complète de la situation face au Hamas ? Retour sur ces informations qui sont passées inaperçues dans vos médias.
Le Hamas n’a pas de visage dans les médias
Tout au long de l’Opération Bordure Protectrice, les médias du monde ont relayé les informations du terrain sans jamais montrer le visage des terroristes du Hamas contre qui Tsahal se bat. L’armée israélienne a lancé l’opération contre cette organisation terroriste qui contrôle la bande de Gaza depuis 2007, et non contre les civils gazaouis.
L’objectif de Tsahal a été de frapper les terroristes du Hamas qui se cachent dans les zones densément peuplées. Ces frappes ont toujours été menées en cherchant à minimiser au maximum les pertes civiles, alors même jusqu’à en annuler certaines.
Dans sa stratégie de ne montrer que des civils victimes des combats à Gaza, le Hamas emploie plusieurs méthodes. Tout d’abord, beaucoup de terroristes du Hamas sont habillés en civils pour mener ses actions contre Israël. De ce fait, lorsqu’un terroriste est tué lors des combats, il est comptabilisé à tort comme victime collatérale.
D’autre part, le Hamas interdit aux Gazaouis de publier sur les réseaux sociaux des photos de terroristes en uniformes morts.
France 24 confirme l’utilisation des bâtiments de l’ONU par le Hamas
Le 5 août 2014, France 24 a publié un reportage dans lequel un de ses reporters à Gaza, Matthieu Mabin, s’exprime sur la situation. Dans cette vidéo, le journaliste montre un site de lancement de roquettes que le Hamas a placé juste à côté d’un bâtiment de l’ONU.
Cette capture d’écran confirme les accusations de Tsahal sur les violations du droit international par le Hamas : il place ses sites terroristes au cœur des zones civiles de Gaza et près des bâtiments de l’ONU pour tenter d’éviter les ripostes de l’armée israélienne.
Le Hamas prend en otage la population civile
Le Hamas, tirant ses roquettes depuis des zones civiles, prend de fait en otage la population de Gaza. Sur cette carte nous voyons que le Hamas a tiré depuis l’ensemble du quartier d’habitation de Shuja’iya faisant de cette zone une base terroriste et mettant en danger sa propre population.
Sur ces images, un terroristes habillé en civil tire des roquettes sur Israël à l’aide d‘un chariot et à proximité d’une poubelle de quartier au milieu de bâtiments civils.
Les pressions du Hamas sur les journalistes étrangers
De très nombreuses chaînes d’informations internationales sont présentes à Gaza. Les journalistes qui couvrent le conflit sur le terrain ont souvent beaucoup de mal à dire des vérités sur le Hamas qui contrôle par la terreur ce qui se dit sur lui. Il faut attendre que ces journalistes sortent de la bande de Gaza pour qu’ils puissent diffuser leurs informations sur le Hamas sans craindre pour leur vie.
C’est notamment le cas d’un journaliste indien et d’un journaliste italien qui ont chacun confirmé les accusations de Tsahal contre les méthodes du Hamas.
Enfin, il est arrivé à plusieurs reprises que des journalistes en plein direct soient mis en danger par le Hamas qui tire de roquettes à proximité de leur lieu de tournage.