La pression de l’immigration clandestine devient intenable à la frontière entre la France et l’Italie. C’est ce que révèle un document confidentiel dont Le Figaro a eu connaissance. Il émane de la direction zonale sud de la Police aux frontières (PAF). Il s’agit du «compte rendu» d’une «réunion exceptionnelle» qui s’est tenue, le 9 juillet dernier, à la préfecture des Alpes-Maritimes, «provoquée», est-il précisé, par le «phénomène migratoire érythréen».
Leur constat se veut clinique. Tout part d’un «état statistique des migrants par voie maritime en Italie»: «Entre le 1er janvier et le 30 juin 2014, 61.591 migrants irréguliers ont débarqué en Italie, ils n’étaient que 7913 pour la même période en 2013, et seulement 4301 pour les six premiers mois de l’année 2012. Les Érythréens représentent 31 % de ces migrants (18.282). Les Syriens arrivent en seconde position, avec 10.371 (17 %).»
La suite? «Ce sont les répercussions en France, et nous les vivons maintenant», explique un agent de la Police aux frontière de la zone sud.
Du jamais-vu depuis les vagues du printemps arabe de 2010. Il y a bien une explosion de passages d’illégaux en France. Selon un agent en poste dans la région niçoise, «les clandestins arrivent principalement par TGV, avec des billets en règle, par dizaines désormais dans certaines rames de train». Cette source confie que «pour le seul site de la gare de Menton, 3462 interpellations» ont été effectuées par la PAF «depuis le début de l’année». «Les forces de l’ordre constatent depuis plusieurs jours la présence plus marquée de femmes et enfants érythréens», ajoute un officier de police de cette direction spécialisée. Et les forces de l’ordre ne voient pas tout…
C’est en France que l’essentiel des interpellés est relâché dans la nature. Car le document issu de la réunion de crise à la préfecture des Alpes-Maritimes révèle l’incroyable dénuement de l’administration face à ce phénomène d’ampleur inédite.
La loi socialiste de 2012 interdit notamment de poursuivre ceux qui aident les clandestins de façon ponctuelle, achève de ruiner l’efficacité policière.
La Police aux frontières du Grand Sud réclame dans cette note d’alerte des renforts, qui commencent à arriver. Mais pour quels résultats sans moyens légaux adaptés?
Pour lire l’article complet : lefigaro.fr
La France est une terre d’accueil tellement accueillante que les Français se lèvent pour vous laisser leur place.
Erev tov,
Shalom, voici un article lut sur un site chrétien messianique très fort, il explique pourquoi l’Europe a baissé sa culotte pour se faire voiler par les muslims.
Ce mariage entre européens et arabes représente essentiellement un intérêt économique pour les européens et un intérêt spirituels pour les musulmans. Les uns voient le moyen d’obtenir le pétrole et de vendre des armes, les autres voient en l’Europe une immense région, puissante et riche, qui s’offre comme champ d’islamisation.
Nous savons que ces pourparlers sont très avancés et portent le nom d’EURABIA ou EURABIE. Nous conseillons à ce sujet la lecture du livre : Eurabia, L’axe euro-arabe. (Par Bat Ye’or. Editions Jean-Cyrille Godefroy. 348 pages). Voici un extrait d’article écrit par Michel GURFINKIEL :
« Eurabia, L’axe euro-arabe décrit cette nouvelle étape. Ou plus précisément, la mise en place, sous couvert de partenariat entre les pays européens et les pays arabes, de structures favorisant l’islamisation de l’Union européenne. » Il faut distinguer l’Europe de ses dirigeants « , dit Bat Ye’or. » Les peuples européens n’ont jamais accepté ou ratifié l’axe euro-arabe ou euro-islamique. Mais les milieux dirigeants ont passé outre. Avec des motivations multiples et variées : les intérêts économiques, les souvenirs de l’époque coloniale ou les sentiments de culpabilité liés à cette époque, l’espoir de créer une Europe indépendante des Etats-Unis, l’illusion d’un dialogue interreligieux, la peur du terrorisme « .
L’axe euro-arabe est né en 1975, lors du premier choc pétrolier. Diverses associations pro-arabes (faut-il parler de » lobbies » ?) militent alors pour un » Dialogue euro-arabe » . Elles se regroupent au sein d’un Comité européen dont le siège est à Paris et qui publie un journal appelé Eurabia. Deux thèmes immédiats : le soutien à la cause palestinienne et l’hostilité envers les Etats-Unis, principal allié d’Israël. Mais à l’arrière-plan, il s’agit aussi de mettre en valeur » des liens de voisinage et un héritage culturel commun » entre les peuples des deux rives de la Méditerranée.
Cela implique d’abord, selon un responsable belge du Comité, Tilj Declercq, » une politique à moyen et à long terme… afin de réaliser une coopération économique par la conjugaison des réserves de main d’œuvre et de matières premières arabes, d’une part, de la technologie et du management européens, d’autre part « .
En d’autres termes : l’Europe doit faire venir des immigrants arabes pour avoir accès au pétrole.
En outre, toujours, selon Declercq, l’Europe doit conditionner ses opinions publiques en faveur des Arabes et de l’islam : » S’ils veulent coopérer avec le monde arabe, les gouvernements européens et les dirigeants politiques ont l’obligation de s’élever contre le dénigrement des Arabes dans leurs organes d’information. Ils doivent réaffirmer… leur respect envers la contribution millénaire des Arabes à la civilisation universelle « .
Cette thématique – que Bat Ye’or appelle désormais » projet Eurabia » ou » Eurabia » tout court – est reprise presque mécaniquement, au cours des années suivantes, par de nombreuses institutions bilatérales ou ONG, mais aussi par les Etats membres de la Communauté européenne, et enfin par la Communauté elle-même. Elle survit, dans les années 1980, au reflux des prix du pétrole. Elle se retrouve, à partir des années 1990, dans le corpus de l’Union européenne. Mieux, elle se transforme peu à peu en » stratégie » : » Dans un discours prononcé au Caire en 1996, le président français Jacques Chirac définit le dialogue euro-arabe comme la construction d’une communauté méditerranéenne « , note Bat Ye’or. Quatre ans plus tard, le 19 juin 2000, le Conseil européen scelle ces choix géopolitiques dans un document intitulé, en effet, Stratégie commune pour la région méditerranéenne.
Mais surtout cette thématique est suivie d’effet. Difficile de ne pas établir un lien avec des initiatives culturelles telles que la création de l’Institut du monde arabe à Paris ou la transformation du vieux Musée des Arts et Traditions populaires de Paris en un Musée de la civilisation méditerranéenne situé à Marseille. Difficile, en sens inverse, de ne pas lier le projet Eurabia avec l’occultation des problèmes de l’immigration ou de la montée de l’islamisme en Europe dans le discours politique. Bat Ye’or cite un journaliste espagnol qui, lors de l’inauguration d’une nouvelle grande mosquée à Grenade, le 10 juillet 2003, observait : » Tout le monde y est opposé, mais tout le monde sait aussi qu’il est politiquement impossible d’élever des objections « . Tout se passe comme si les Européens avaient adopté un comportement de dhimmis sans même avoir été conquis militairement… »
Cette alliance contractée entre l’Europe et le monde Arabe sous entend toujours qu’il y ait un accord politique commun concernant Israël. Il est entendu que les gouvernements Européens doivent avoir la même position que les peuples arabes au sujet d’Israël. Par conséquent l’Europe soutient systématiquement la Palestine et considère qu’Israël doit retourner dans les frontières indéfendables de 1948. Tout est fait en Europe pour faire passer dans l’opinion publique le point de vue du monde arabe et faire passer Israël pour une nation belliqueuse, puissance occupante d’un territoire qu’elle doit rendre.
Cette position du monde politique européen est canalisée soigneusement par l’Islam extrémiste. Celui-ci ne provoque pas d’attentat en Europe tant que celle-ci prend les bonnes positions. C’est la paix contre la soumission. Le mot utilisé par Bat Ye’or est « dhimmitude ». C’est à dire que la peur provoque l’auto soumission et l’auto censure des peuples européens. Ainsi, ils seront conduits progressivement à prendre de plus en plus position contre Israël et un jour se battre contre lui.
Le pasteur Jean-Marc Thobois a écrit dans le journal « Keren Israël » (n°70 de décembre 2006 page 14) : « On sait que le Quai d’Orsay a programmé pour 2020 la disparition d’Israël en tant qu’état ».
En résumé, après de nombreux contacts qui débutèrent en 1970, un dialogue Euro-Arabe (DEA) a été inauguré en 1973 : les pays de la CE (communauté européenne) s’engageaient à soutenir la politique arabe contre Israël et ils obtenaient en échange des accords économiques des pays de la Ligue Arabe. En 1978, après de nombreuses autres réunions de coordination, les Arabes obtenaient l’institution d’une politique d’immigration garantissant l’égalité totale avec les citoyens des pays occidentaux. Ainsi est née l’entité Eurabia, ayant notamment pour but «la création d’un mouvement d’opinion favorable aux Arabes», le développement économique des pays arabes par la coopération dans les domaines scientifique (nucléaire inclus), technique, financier…
Tout ceci explique :
l’invasion de l’Europe par les Arabes (probablement existe-t-il une Agence arabe, sur le modèle de l’Agence Juive, qui finance l’émigration des Arabes en Europe, avec la différence que l’Agence juive ramène les Juifs dans leur pays alors que l’Agence arabe extrade ses ressortissants pour en faire un instrument d’invasion et d’islamisation) ;
la politique anti-israélienne de l’Europe, qui admet le retour des envahisseurs arabes en «Palestine», et la disparition d’Israël ;
la désinformation qui est orchestrée dans toute l’Europe contre toutes les actions d’Israël ;
le transfert des techniques dans les domaines guerriers nucléaires, de gaz chimiques, biologiques (à l’Iraq, à l’Iran…) ;
l’expansion de la culture arabe en Europe et la sauvegarde des musulmans contre toute tentative d’assimilation : la culture des immigrants est exportée dans les pays d’accueil, les Européens proclament la grandeur de la civilisation islamique, les Arabes fustigent les Européens pour leur ancienne politique colonialiste et exigent «l’enseignement dans les universités de la supériorité de la civilisation islamique… on ne parle plus de la civilisation judéo-chrétienne mais de la civilisation abrahamique…»…
Ainsi s’explique l’incompréhensible, comme par exemple l’abandon des chrétiens arabes au Liban, et des chrétiens en général en pays arabe (la réciprocité des droits n’est pas appliquée), l’encouragement à l’islamisation de l’Europe, l’opposition absolue de considérer Jérusalem même dans sa partie juive comme capitale d’Israël, et mille autres éléments surprenants…L’Eurabia est devenue une réalité et… un danger !
le grand remplacement , c’est maintenant !