Un manifestant brandit un drapeau palestinien, lors de la manifestation interdite du 19 juillet 2014, dans le quartier Barbès de Paris. (CITIZENSIDE / PHILIPPE MALO / AFP)
Cette confirmation vient d’être communiquée par un avocat des organisateurs.
Le Conseil d’Etat a confirmé l’interdiction de la manifestation pro-palestinienne à Paris, samedi 26 juillet. L’audience en appel en référé – une procédure d’urgence – s’est ouverte à 11h30. Les organisateurs de la manifestation avait saisi la plus haute juridiction administrative du pays après la confirmation de l’interdiction par le tribunal administratif de Paris, la veille au soir.
Pour autant, nombre de manifestants comptent braver l’interdiction. Quelque 2000 policiers sont déployés pour prévenir d’éventuels débordements. Mais le Nouveau parti anticapitaliste (NPA), un des organisateurs de la manifestation, appelle à braver l’interdiction et estime que « le gouvernement (…) sera comptable de tout éventuel incident ».
La préfecture de police estime que la rassemblement, prévu à 15h place de la République, présente les même risques de violences que celles ayant marqué uneprécédente manifestation interdite le 19 juillet dans le quartier populaire de Barbès.
Une trés bonne chose cette interdiction , si ils l’enfreignent ….
Ne devrait on pas demander pour chaque manifestations un dépôt de garantie de plusieurs millions d’euros qui servirait à dédommager les victimes, réparer les équipements publiques en cas de casse , de débordements ?