Le 1er juillet 2014, ont été enterrés au cimetière de Modi’in les trois adolescents israéliens magnifiques (z »l) – Naftali Frenkel, âgé de 16 ans, Gilad Shaer, âgé de 16 ans, et Eyal Yifrach, âgé de 19 ans – kidnappés le 12 juin 2014 et assassinés peu après leur rapt.
Deux poids, deux mesures !
Dès le 2 juillet 2014, la Une des médias internationaux se focalisait sur le cadavre de Mohammed Abu Khdeir, Arabe palestinien âgé de 16 ans, découvert dans une forêt de Jérusalem.
Et la plupart, reprenant les allégations des Palestiniens, et sans aucune preuve, désignaient des Israéliens Juifs comme auteurs présumés de ce crime. Parmi les médias communautaires, Michel Zerbib, rédacteur en chef de Radio J, a été l’un des rares à inviter sur Facebook à la prudence en évitant d’imputer sans fondement ce meurtre à des « vengeurs » israéliens.
Or, ce même 2 juillet 2014, on apprenait le meurtre de Omaima Jaradat âgée de 15 ans, poignardée par un de ses oncles à Kfar Sair, village au nord de Hébron.
Cet assassinat n’a suscité aucune réaction des dirigeants occidentaux ou arabes. Même pas un communiqué de presse des droits-de-l’hommistes ou des féministes. Seuls HNN, relayé par The Jewish Press, ont informé sur ce meurtre. Pourquoi ce silence politique et médiatique ? Est-ce parce qu’une fille, même palestinienne, assassinée par sa parentèle – « crime d’honneur » ? – n’intéresse personne ? Est-ce parce que nul Juif, pardon nul Israélien, ne peut être accusé de cet assassinat ? Selon un Tweet du journaliste Arabe israélien Khaled Abu Toameh, Omaima Jaradat « a apparemment surpris son oncle en train de voler ».
Cette attention sur le seul meurtre de Mohammed Abu Khdeir me parait suspecte : C’est un moyen pour l’Autorité palestinienne d’exiger du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu une condamnation déjà exprimée, de victimiser les Palestiniens – donc « Halte aux opérations israéliennes » -, de divertir l’attention loin du monstrueux assassinat des trois jeunes Israéliens, d’occulter sa responsabilité dans la haine et l’assassinat des Juifs – la « condamnation » de Mahmoud Abbas (Abou Mazen) n’est pas satisfaisante en raison du parallèle entre l’enlèvement des trois jeunes Israéliens et les opérations israéliennes – ainsi que son énième alliance avec le Hamas, de faire oublier la joie de la « rue palestinienne » apprenant ce rapt et ces trois assassinats, et de ternir l’image d’Israël et des Israéliens Juifs. En outre, condamner le Hamas ne coûtait guère à Abbas : C’était le minimum pour maintenir sa place à la direction de l’Autorité palestinienne et les avantages, notamment financiers, liés. Et c’était se démarquer d’un rival puisant dans les territoires disputés. Et, il y a la volonté évidente de montrer que les Juifs, pardon, les Israéliens, eux aussi commettraient des actes criminels …
Ce meurtre sert aussi de prétexte aux Palestiniens pour déclencher « spontanément » des violences contre les Israéliens.
Pour certains politiciens israéliens c’est une instrumentalisation visant à discréditer des opposants Juifs religieux alors que l’enquête policière n’est pas encore achevée.
Publié par Véronique CHEMLA
Ce meurtre est tout simplement un refus de paix , pour faire condamner Israel etfaire oublier que les vrais assassins hamas sont des anges auprés d’un public stupid !!!!!!!!!!
ABBAS n’a rien à exiger d’Israël sauf a préparer ses bagages lui et ses sbires et à quitter la Cisjordanie qu’ils occupent depuis trop longtemps maintenant ! !