Un sondage, commandé par « le Washington Institute for Near East Policy » (lié au département d’Etat américain), et réalisé à la mi-juin, montre que les 2/3 des Palestiniens rejettent l’idée de « 2 états pour 2 nations » et le reste ne la retient que comme solution provisoire jusqu’à l’élimination par étapes de l’état juif.
Par ailleurs, 55% des Palestiniens en Judée-Samarie et 68% à Gaza rejettent définitivement l’existence d’un état juif en Israël et souhaitent que leurs dirigeants luttent pour retrouver « la Palestine historique » du Jourdain à la mer.
Néanmoins, 80% sont favorables à de plus grandes opportunités d’emploi en Israël (ce qui explique leur opposition au boycott) et 70% des résidents de Gaza sont pour un cessez-le-feu avec Tsahal. L’Institut conclut que la politique américaine devrait revoir ses objectifs et abandonner l’idée d’un accord permanent entre les parties, en favorisant la quiétude à court terme.
Géopolitique au Moyen Orient
Depuis le déclenchement des révoltes arabes, à la fin 2010, aussi bien Ankara que Téhéran ont été déchirés par des intérêts vitaux contradictoires. Ces deux puissances ont toujours eu le même objectif final: affaiblir la montée en puissance du sunnisme traditionnel de Bilad al-Sham et al-Jazira, alimenté par l’Arabie. Pour faire barrage à cette renaissance de l’arabisme, ils ont divergé quant à la politique à adopter.
Ankara est déterminé à étendre son hégémonie régionale au détriment du pouvoir traditionnel, prenant sa source dans la Péninsule arabique, en instaurant un axe sunnite Nord-Sud, capable d’absorber l’oligarchie des Al-Saoud. Dans ce but, il finance et prête main forte à Isis (voir ci-dessous).
Téhéran répugne à renoncer à son Croissant shi’ite Est-Ouest, avec le Hezbollah au Liban et le gouvernement shi’ite irakien, qui offre à l’Iran un accès à la Méditerranée. Actuellement, l’intérêt commun à ces deux puissances se situe dans leur détermination à dominer rapidement le cœur du pays sunnite, entre la Syrie centrale et l’Irak occidental. Dans cette volonté de suprématie, la compétition irano-turque demeure la clé de la guerre fratricide, en pleine escalade, en Syrie et en Irak.
Organisation terroriste Isis
« Eiil » ou « Daesh » ou « Isis », est une organisation islamique qui regroupe près de 10/15 000 combattants bien entraînés et décidés à mourir pour leur cause. Elle sévit avec une très grande violence depuis 3 ans au Moyen Orient, sous la houlette de son chef Abou Baqr al Baghdadi. Cet homme s’est opposé à Ayman al Zawahiri, chef d’al Qaeda sur les méthodes pour parvenir au califat. La priorité de ce dernier, c’est l’Occident. Baghdadi a d’autres priorités. D’abord tous les infidèles musulmans, les shiites de Syrie (alawites) et d’Irak (liés à l’Iran), les kurdes et les druzes d’Irak et de Syrie, les ismaélites et les soufis, les chrétiens, et pratiquement tous ceux qui s’opposent à un Islam pur et dur, celui du début et des ancêtres. Pris d’une nostalgie de la fulgurante conquête du monde d’il y a 14 siècles, ces « Cavaliers arabes de l’Apocalypse », s’emparent de villes et villages de la Grande Syrie l’un après l’autre,pillant l’armée régulière et les banques, détruisant tout signe non-musulman, décapitant et crucifiant à tue-tête,massacrant les Infidèles. Isis est déjà à la porte de la Jordanie,et pour Baghdadi, même les Hashémites d’Amman sont des apostats. Et la Jordanie est un état tampon entre Israël et une guerre impitoyable qui s’amplifie.
Il semble que Baghdadi se contente de prendre des postes frontières entre l’Irak et la Jordanie et entre l’Irak et l’Arabie, intéressé dans l’immédiat par l’élargissement de ses conquêtes en Syrie et la consolidation de la province d’Anbar en Irak. Les postes frontières pris sont le symbole de la fin des frontières artificielles imposées par l’Occident après la 1ère guerre mondiale.
– Selon le site « Money Jihad », Isis est l’organisation terroriste la plus riche du monde, ayant dévalisé les banques sur son chemin, rapine des temps modernes, dépassant le Hezbollah qui n’aurait qu’un ½ milliard $ !
Irak
– L’armée régulière avait déjà été décapitée de ses cadres compétents par les Américains, du fait qu’ils appartenaient au parti Baath de Saddam Hussein. Le 1er ministre Nouri al Maliki a continué, les remplaçant par des hommes corrompus liés au pouvoir. D’où la rapide débandade des troupes de l’armée régulière.
5 divisions de l’armée sur 14 et 60 bataillons sur 243 sont aujourd’hui hors de combat, avec leur armement perdu.
La pacification du pays avait été obtenue par le général Petraeus grâce à des méthodes adaptées au pouvoir local tribal, agrémentées d’ »aides financières ». Maliki a défait ce travail en favorisant la majorité shiite au détriment des sunnites, des sectes et des tribus qui lui étaient favorables au détriment d’autres. Progressivement le désordre et l’anarchie se réinstallèrent et les groupes extrémistes liés à al Qaeda ou non en ont profité pour terroriser la population et occuper des territoires.
– L’Occident répugne à intervenir, ayant tout à perdre dans tous les cas de figure, et cherchant plutôt à encourager l’Iran à ne pas perdre l’Irak. Des Gardiens de la révolution d’Iran et des combattants du Hezbollah libanais sont déjà sur place pour aider l’armée régulière à se maintenir, au lieu de se volatiliser.
– Le Kurdistan avec Kirkouk est à la veille de son indépendance, grâce à ses 100 000 peshmergas que personne n’ose affronter. Avec la prise de Kirkouk, son potentiel pétrolier est multiplié par 3 et son pétrole est déjà arrivé à Ashqelon (visé par les missiles du Hamas) par le pipeline qui le mène au port turc de Ceyhan.
Syrie
Le nettoyage ethnique qui suit les désordres nés de l’antinomie « pouvoir shiite minoritaire- tribus sunnites majoritaires » concerne principalement les Palestiniens des camps. Sur une population estimée à 22 millions d’âmes, 3 millions de sunnites ont dû quitter le pays, allant vers la Turquie, le Liban et la Jordanie, 6 millions ont abandonné leur foyer et se sont déplacés. Les camps palestiniens ont été vidés et les sunnites sont incités massivement à se convertir à la shi’ah. Des centres religieux de type iranien « hawzat » sont créés partout et les « Moukhabarat » (services secrets) obligent les sheikhs à adopter la « véritable foi des imams ».
Liban
– Un million de réfugiés sunnites venant principalement de Syrie transforme la structure de la société qui passe de 3 à 4 millions d’âmes, avec une bonne majorité sunnite (passant de 30% à 50%) au détriment du Hezbollah (30%). De plus, des éléments salafistes infiltrés viennent réinstaller les prémisses d’une nouvelle guerre civile.
– Le sheikh shiite Soubhi Tufayli, premier secrétaire général du Hezbollah, va jusqu’à préconiser une alliance avec Israël contre les salafistes. Il est de même opposé à la suprématie de l’Iran et de ses juristes islamiques, lui préférant la shiah d’Irak, plus modérée.
Nations Unies
L’Unesco a placé un village arabe de Judée, Battir, comme site d’héritage mondial en danger, « risquant des dommages irréversibles », du fait que le tracé de la barrière de sécurité par Israël passe par des champs en terrasses, ayant un système d’irrigation notable, datant de l’époque romaine. Le parcours de la barrière est entre les mains de la Cour Suprême d’Israël.
Israël
– Un sondage réalisé par « Israel Democracy Institute » auprès de 477 adultes montre qu’une courte majorité (51% contre 43%) des Israéliens souhaite qu’en matière de conversion et de mariage, les mouvements Conservateurs et Réformés aient le même statut que le mouvement orthodoxe. La majorité est inversée (52% contre 40%) lorsqu’il s’agit d’allouer des fonds publics à ces mouvements.
En ce qui concerne les relations avec la Diaspora, une grande majorité souhaite que les décisions prises tiennent compte de leur incidence sur la Diaspora (71% contre 26%). Et 51% contre 47% souhaitent qu’on tienne compte du point de vue de la Diaspora. 62% contre 35% pensent qu’Israël et la Diaspora partagent le même destin, mais 60% contre 36% pensent qu’Israël est une nation différente que celle formée par la Diaspora. Quant au choix des facteurs qui définissent les liens entre les 2 communautés, apparaît en tête la culture et la tradition (40%), la religion (18%), la nationalité, l’antisémitisme (13%), la génétique et les relations de sang (6%). Quant aux défis prioritaires qui se présentent devant le judaïsme mondial, on trouve d’abord l’assimilation (29%), l’antisémitisme (24%), maintenir des liens forts avec Israël (13%), un puissant lobby pro-Israël (9%), neutraliser le boycott (6%), poursuite du soutien financier à Israël (5%).
– Par 74 voix et 68 abstentions, Israël a été élu à la vice-présidence de la Quatrième Commission de l’Assemblée générale de l’ONU, après un vote à bulletin secret, malgré la forte pression des nations arabes pour torpiller son élection. Cette Commission est chargée des questions politiques spéciales telles que la décolonisation, les réfugiés palestiniens et les droits de l’homme, le maintien de la paix, l’action anti-mines, les affaires spatiales, l’information, les rayonnements ionisants et l’Université pour la paix.
Canada
Basée sur des interviews de 3000 hommes de 40/75 ans à Montréal, une étude a montré que la circoncision amoindrit le risque du cancer de la prostate de 11% en moyenne et de 60% pour les hommes noirs.
http://www.jerusalemplus.com/55-des-palestiniens-en-judee-samarie-68-gaza-rejettent-definitivement-lexistence-dun-etat-juif/
et aussi se faire soigner en israel par des medecins israeliens juifs !
Depuis des siècles ils se grattent les c…. au soleil et à présent que les Juif EUX ONT CONSTRUIT UN PAYS ses rats voudrait se l’approprier Qu’ils crèvent dans leur désert ,déjà qu’ils touchent un tas de subside ,de L’Europe .suite à un tas d’éléments pro arabes infiltré dans les gouvernements stop à l’invasion de ses sauvages
pour moi c’est uniquement une perte de temp cette conversation……
pourquoi pas virer a grand coup de pied au cul tout les muzz en dehors d’israel
et si israel a vraiment un problème de maindoeuvre alors faite donc venir
des citoyens chinois ou vietnamien qui sont pas nuisible comme les palestiniens
je suis désolé mais c’est le fond de ma pensé