Dans un contexte politique suédois dominé par la gauche apparaissent des signes évidents que l’opposition est en train de se renforcer massivement. Certains des sites web parmi les plus populaires sont des sites ouvertement nationalistes.
Le comité constitutionnel du parlement suédois vient en conséquence de changer les lois sous lesquelles une personne peut être poursuivie pour diffamation. Désormais, un individu peut être arrêté et inculpé de délation criminelle pour des déclarations sur les effets négatifs de l’immigration du Tiers-Monde. Un délit régulièrement poursuivi en Suède.
Le parlementaire Andrew Norlén, membre de la Commission constitutionnelle, a souligné que cette loi deviendra rapidement un moyen de dissuasion efficace. « Je ne pense pas qu’il faudra de très nombreuses poursuites pour signaler à la communauté que l’Internet n’est pas un pays sans loi : le shérif est de retour en ville », a-t-il déclaré.
Attention au retour de flamme : c’est ce genre de lois qui fait prendre conscience des ravages du politiquement correct et de l’aveuglement volontaire.