Je me suis toujours demandé pourquoi des juifs, et surtout des intellectuels juifs défendaient avec autant d’acharnement les thèses les plus antisionistes.
Pourquoi des Ronny Brauman, des Edgard Morin de tous poils s’acharnent sur Israël, et soutiennent les BDS ( Boycott- Désinvestissement-Sanctions ) à l’encontre de notre pays.
Pourquoi des pseudos intellectuels prennent de telles positions idéologiques.
On trouve leur signature sur toutes les pétitions à conditions que l’objet de la pétition soit la condamnation d’Israël
Ainsi Brauman, Morin et bien d’autres encore, qu’ils soient journalistes, artistes, écrivains, bref des intellectuels juifs « bien –pensants », ont apposé leur paraphe sur des pétitions condamnant Israël ou appelant à son boycott, quand ils ne les ont pas eux même suscités ?
Prenons par exemple le cas Brauman. Cet ancien président de « Medecins sans frontières » est juif, il est même né à Jérusalem, de parents venus se réfugier en Israël
Ses parents, ses grands-parents et arrières grands-parents ont souffert jusque dans leur chair d’être juifs
Médecin, il est aussi aujourd’hui professeur à l’Institut des Sciences Politiques, où il véhicule dans ses cours sa pensée antisioniste.
Il a été également le coréalisateur avec le gauchiste israélien Eyal Sivan, d’un documentaire sur Adolf Eichmann qui décrit le bourreau nazi comme un simple exécutant l’absolvant quelque peu de toute responsabilité.
Eh oui !! Comme disait Audiard – je modifie un peu – « un intellectuel de gauche, c’est un pléonasme que de le dire, ça ose tout c’est d’ailleurs à ça qu’on le reconnait »
Moi je me reconnais bien plus dans la gauche du cœur que dans celle du cerveau.
Alors on est alors en droit de se poser la question pourquoi des humanistes juifs, sont –ils humanistes à l’égard de tous les opprimés de la terre sauf si ces derniers sont juifs ou israéliens
Elémentaire mon cher Watson, parce que ces juifs ont un rapport adultéré au judaïsme.
Et ce rapport au judaïsme constitue le socle concret des positions antisionistes défendues par le brave médecin.
« Adolescent, je subissais comme une corvée les fêtes religieuses que mes parents célébraient »
Lorsqu’on lui demande de définir son identité, Brauman se voit comme un « être composite »
Sa judeïté est juste une partie de son identité. Est-il juif français ou français juif, ou plus simplement français né de parents juifs, Il ne le sait pas.
Et comme ses congénères, qui se posent inlassablement la question de cette indétermination identitaire, la question de ce qu’ils sont véritablement, les amènent à se renier, à ne pas assumer leur véritable identité, voire même à la rejeter.
Et bien entendu, je ne parle pas de la pratique de la religion juive, mais d’une appartenance à un peuple dont l’identité a été façonnée autour d’une histoire commune et trimillénaire.
C’est parce qu’ils se renient comme juifs, qu’ils sont radicalement antisionistes.
Mais comme ils ne peuvent pas contester la réalité du fait national israélien, alors ils le combattent.
Israël ne peut pas être un état juif au mieux c’est un état laïc et comme tel Israël ne peut plus être le foyer national des juifs.
Pour Brauman et ses amis, telle est la contradiction constitutive d’Israël. Ce pays devient un état multi -ethnique, les juifs n’ayant plus aucun droit spécifique ni historique sur la terre de leurs ancêtres.
Une telle pensée escamote fatalement le fait sioniste, et l’Etat d’Israël devient une entité usurpatrice, et belligérante, voire même parfois criminelle.
De là à exiger des sanctions, il n’y a qu’un pas que franchissent allègrement les Brauman, les Morin de tous poils.
La conclusion évidente que l’on tirer de tout cela, c’est que pour être sioniste, il faut obligatoirement se considérer comme juif. Il faut ressentir ce sentiment d’appartenance à un peuple dont le destin est hors du commun.
Et réciproquement on peut aussi dire qu’être Juif c’est donc être sioniste.
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C’est le mécanisme œudipien du meurtre du père.
« » »Mais comme ils ne peuvent pas contester la réalité du fait national israélien, alors ils le combattent.
Israël ne peut pas être un état juif au mieux c’est un état laïc et comme tel Israël ne peut plus être le foyer national des juifs.
Pour Brauman et ses amis, telle est la contradiction constitutive d’Israël. Ce pays devient un état multi -ethnique, les juifs n’ayant plus aucun droit spécifique ni historique sur la terre de leurs ancêtres.
Une telle pensée escamote fatalement le fait sioniste, et l’Etat d’Israël devient une entité usurpatrice, et belligérante, voire même parfois criminelle. » »
Je ne crois pas que ça soit cela l’explication !
Ce n’est pas parce qu’un état est multi ethnique au lieu d’être juif que l’on doit combattre cet état à tout prix.
Et si c’était vraiment un état juif il le combattrais pas ?
Un type comme ça, a peur d’être juif dans un milieu non-juif, et pour sa promotion personelle vaut mieux se désolidariser d’un état qui se dit juif.
Alors ils joue le jeu des ennemis de cet état, ça porte mieux, c’est mieux considéré, et ça doit surement lui rapporter plus.
hi
il y a un autre piont qu’il prendre en compte que bruno betleim a identifier
dans son fameux livre » survivre »
freud , bethleim ont tous deux identifier un lien direct entre niveau sociale haute d’un individu dans un societe en paix et le niveau de décheanche humaine de ce meme individu en situation extreme ( exemple dans une sociteté totalitaire , en guerre etc )
bethleim ses rendu compte dans les camp d’internement en 1929 – 35 – 37
donc dans les ses camp nazie qui n’etaient pas des camp d’extermination mais ou l’ont mourraient de faim de maladie
doc,n bethleim c’est rendu compte que ceux qui rester le mieux a ce genre d’environnment extreme etaient les clocheard , ouvrier de basse classe etc
ils etatient les plus debouillard , les plus humain , etc..
par contre ceux qui dans un socitete en paix etaient dans les haut niveau sociale universitaire , policier , juge etc…
etaient ceux qui mourrer de faim , ceux qui voler un cignon de pain rasie a des enfant , ceux qui etaient les plus i nhumain avec les aytres etc..
or en ses temps de dhimmitude civlisationel occidentale , en ses temps de totalitarisme de gauche
en ses temps de 3e guerre mondiale islamofaschisme contre civlisation occidnetale dhimmiphié
donc dans une situation extreme nous constatons que ceux les memes qui cédent les 1er , ce sont les memes qui sont les plus inhumain , ce sont les meme qui s’applatissent le plus face a meur ennemi mortel etc..
les universitaire , les personnes de haute societé en temps de paix
qui s’applatissment le plus , quiui sont les plus inhumain , qui ce convertissement a la religion de leurs ennemi
by
manifestement etre de haut societe en temps de paix
rediut votre capacité a resister a un ennemi mortel , ou a une situation extreme
ci jiont le livre en question en psychanalyse
http://www.amazon.fr/Survivre-Bruno-Bettelheim/dp/2010099591
by
Être juif, c’est se reconnaître membre d’un peuple et/ou d’une religion.
Le sionisme, c’est une idéologie politique.
Il est donc tout à fait possible d’être juif, et anti-sioniste. De même qu’il existe des français, musulmans, et pro-FN…
Ceux qui sèment le doute, sèment la peur, l’incompréhension, la haine et la violence… et l’antisémitisme.
Le sionisme fait partie intégrante de l’histoire et de la culture du peuple Juif.
Chaque année nous répétons à Pessah, depuis 2000 ans d’exil : l’an prochain à Jérusalem.
Merci de s’informer un minimum.
Etre juif et antisioniste c’est comme être une belle black et perdre son temps à essayer de se blanchir la figure avec des produits toxiques qui abiment la peau …
je suis triste de pensée que de tels homme puise haïr les juif et l’état d’Israël nous avons tellement d’ennemie autour de nous tellement antisémite c’est triste les juif anti juif nazi les aurait prie aussi !
Quand on pense que le gang des barbares, avant d’enlever Ilan Halimi, avait raté celui de Rony Braumann! Quel manque de discernement! Ils pensaient racketter la communauté juive pour le libérer. Mort de rire.
« La conclusion évidente que l’on tirer de tout cela, c’est que pour être sioniste, il faut obligatoirement se considérer comme juif. Il faut ressentir ce sentiment d’appartenance à un peuple dont le destin est hors du commun.
Et réciproquement on peut aussi dire qu’être Juif c’est donc être sioniste »
Je ne suis pas d’accord sur cette conclusion qui impose une vision d’ensemble comme une règle immuable, et je prends quelques exemples personnels pour illustrer le contraire (au passage, j’en connais suffisamment et personnellement pour qu’ils pèsent dans une balance, inutile donc de me sortir d’avance le fameux « ce sont des exceptions » ).
D’abord je ne vois pas ce que le destin du peuple à d’hors du commun. C’est un peuple vivant sur terre comme plein d’autres, avec des droits et des devoirs comme tous les autres. Alors déjà ce sentiment d’avoir un « destin » supérieur à celui d’autres peuples à tendance à m’agacer. C’est le début de ce que j’appelle un complexe de supériorité.
Ensuite, mon père n’est pas juif, pourtant il est radicalement et clairement sioniste (et j’en connais d’autres dans ce cas, non juifs et pourtant sionistes).
De plus, j’ai beaucoup d’amis juifs non-sionistes, voire anti-sionistes.
Donc : la judaïté et le sionisme sont 2 notions totalement différentes (l’une ethno-religieuse, l’autre politique), et inter-combinables.
Oser prétendre le contraire est le début d’amalgames et de confusions extrêmement dangereuses (principalement pour les juifs eux-mêmes) !
« Etre juif et antisioniste c’est comme être une belle black et perdre son temps à essayer de se blanchir la figure avec des produits toxiques qui abiment la peau »
Tiens, je croyais dans un autre discours que les juifs antisionistes étaient des exceptions oedipiennes refoulées, maintenant on commence à admettre qu’ils existent réellement ?
Ceci dit, l’image de la belle black qui se décolore n’est pas si mal trouvée. Et je la pousse plus loin : c’est sa peau, à la black, qu’on la prévienne une fois qu’elle va s’abîmer et que c’est dommage, et puis enfin qu’on la considère comme « une grande fille », et qu’on la laisse donc en faire ce qu’elle veut, de SA peau ;).
« »Ensuite, mon père n’est pas juif, pourtant il est radicalement et clairement sioniste (et j’en connais d’autres dans ce cas, non juifs et pourtant sionistes). » »
Votre papa a raison. C’est la sagesse même.
Un p’tit problème oedipien avec votre papa ? 😉
Aucun problème avec mon père, on s’adore, et nous on est capables de discuter sans se jeter des écrans de fumée au visage (mmm ?). Et ce n’est pas UN sujet de désaccord qui va changer la vision globale que nous avons l’un de l’autre. Nous sommes bien au dessus de ça. D’autant que je le répète, je suis globalement pour que le peuple juif aie une terre, a la condition de ne pas faire ch**r le monde autour ! Je serai donc un sioniste modéré (et pourtant pas juif non plus)
Bref, autre chose, cher poisson, seriez vous le Juge Suprême pour juger qui à tort et qui à raison ? Mon père pour moi, n’à ni raison ni tort, de même qu’il n’est pas la voie de la sagesse. Mon père à un AVIS DIFFÉRENT et plus radical que le mien, grosse nuance. Ceci dit, c’est aussi le premier à clamer « Israël à complètement tort, mais je les soutiendrai quand même »
Vous voyez la différence avec vos propres propos ? Si il n’à pas mon acception totale et aussi radicale que lui (sur ce sujet), il à au moins le respect de la ligne de ses convictions, lui, et donc mon respect avec. Nous ne cherchons pas à nous justifier ni à nous cacher sous des écrans de fumée, nous… ni à faire des amalgames à la noix genre antisioniste=antisémite, pour cacher du politiquement incorrect… il connait la différence, et s’en fout totalement.
Prenez en donc une leçon…
Enfin, et encore une fois (ça commence à faire), dans un discours qui pourrait être intéressant et continuer un vrai débat, vous ne prenez que 2 lignes totalement anodines (mais qui vont dans votre sens) pour les extrapoler et vous planquer derrière…
Toujours jouer de tout ce qui vous arrange, même d’un détail, au mépris du reste, et tout extrapoler et tourner de la manière qui vous arrangera le mieux, si possible pour essayer d’enfumer ou de noyer l’autre dans un nouveau flot d’inepties (faudrait surtout pas louper l’occasion) au mépris des évidences…
Méprisable.
Celui qui essaie en vain d’enfumer les lecteurs ici, nous avons parfaitement compris qui il est.
« Nous », pluriel de majesté ?
Ou « nous » comme vous, Nemo et Nemo seul ? 😉
Assumez, et dites « JE »… moi aussi j’ai très bien compris qui c’est 😉
Un ptit café ?
Je ne vois pas l’intérêt de se qualifier de juif, si on ne croit pas à l’histoire du peuple juif ; depuis le départ d’Avram de son pays, la Chaldée,avec sa famille, et la promesse d’une Terre fertile où tous ceux qui l’accompagnent pourraient se « multiplier », s »épanouir et vivre heureux. Cette histoire passe par un grand nombre d’épreuves, la famine, l’Egypte, Moïse, la Mer Rouge, le Sinaï, etc.etc.,pour aboutir à cette fameuse Terre promise qu’est la « Palestine ». Et puis d’autres séries d’épreuves, la 1ère et 2ème « diaspora » ou dispersion, et puis à nouveau ce désir intense et profond de retrouver la Terre des ancêtres après avoir été encore durement éprouvés. C’est l’histoire des Hébreux qui peut se résumer en quelques mots finalement : « Partir pour trouver mieux, s’installer, être chassé, se souvenir, souffrir, rêver, repartir, retrouver, résister. Etre Juif, c’est être forcément sioniste ; se dire Juif sans être sioniste est une aberration.