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Pourquoi les arabes refusent-ils de reconnaître Israël comme état Juif ?


Pourquoi les arabes refusent-ils de reconnaître Israël comme état Juif ?

Et voilà la vraie question, la seule qui vaille et qui est en fait le coeur du problème !

 Par Ali Salim

Le cœur du problème est que la reconnaissance palestinienne d’Israël comme l’Etat du peuple juif ne serait pas seulement la fin du rêve du retour en « Palestine » des descendants des « réfugiés » palestiniens, mais aussi de la destruction d’Israël actuellement mis en œuvre par le biais de l’incitation à la haine et la campagne terroriste menée par l’Autorité palestinienne dans leurs institutions, les mosquées, les écoles, les organisations terroristes et les centres de propagande à l’étranger.

Leur intention stratégique est de perpétuer le conflit, mais surtout pas d’y mettre fin.

La vraie raison est que Mahmoud Abbas et son entité terroriste du Fatah veut le contrôle des ponts et des passages, et refuse de les laisser dans les mains des Israéliens, afin de dupliquer le terrorisme comme celui pratiqué dans la bande de Gaza – contrebande d’armes et formation de cellules terroristes.

Les passages laissés entre les mains d’Israël signifierait une plus grande sécurité pour Israël bien-sur et également pour la Jordanie qui le sait bien.

Le monde regarde tandis que l’Autorité palestinienne encourage activement des campagnes de boycott (dans les universités notamment) et pousse à des sanctions économiques à l’encontre d’Israël, évidemment soutenues par des menaces à peine voilées du secrétaire d’Etat américain John Kerry et d’une Ashton qui œuvre activement pour cela.

Tout d’abord, chaque musulman sait que les Juifs en Israël sont les descendants de l’ancien peuple hébreu connu sous le nom d’Israël.

NDLR- Certains et leur mauvaise foi légendaire veulent faire croire qu’il n’y a aucun lien entre Les Juifs/hébreux d’il y a plusieurs millénaires et les Juifs d’aujourd’hui en avançant toutes sortes de théories Khazars ou autres, seulement voilà les Juifs n’ont pas la capacité des arabes à inventer comme cela un peuple surgit de nulle part du jour au lendemain appelé Palestiniens. Je ne suis pas sure que la génération spontanée défendue par Darwin s’applique aux peuples !!! Pourtant sans que cela ne fasse sourciller personne on invente un peuple du jour au lendemain, et hop on va piquer la terre ancestrale et historique d’un peuple en le menaçant en plus destruction.

Nous reconnaissons aussi le fait que les Juifs ont été connectés à cette terre bénie de « Palestine » depuis des milliers d’années, avant même que les Romains aient conquis la Judée et  changé son nom en Palestinae, comme en témoigne l’histoire. Les liens des Juifs à la Terre Sainte ont été documentés dans tous les livres d’histoire et livres sacrés, y compris le Coran.

Aujourd’hui alors que les Juifs sont déterminés à ce que les arabes-palestiniens reconnaissent l’Etat d’Israël comme la patrie nationale du peuple juif, l’Autorité palestinienne [AP] rejette malheureusement cette demande.

Des personnalités de haut rang de l’AP prétendent que les Juifs n’ont droit à aucune  revendications religieuses ou historiques sur la Terre Sainte.

Les Juifs ont pris la terre par la force, disent-ils, et veulent que les arabes-palestiniens reconnaissent l’Etat d’Israël comme l’Etat national juif.

La vraie raison de leur refus de reconnaître Israël comme un pays juif, cependant, est que les dirigeants arabo-palestiniens tels Mahmoud Abbas, l’homme qui prétend être le leader du peuple palestinien, n’a jamais abandonné  l’idée du  retour des descendants des « réfugiés » en  » Palestine », qui est, tout l’État d’Israël, afin qu’il puisse être détruit.

Ces dirigeants interfèrent aussi personnellement dans les affaires de l’État souverain d’Israël, en particulier dans les questions concernant les Arabes israéliens.

Dans le cadre des négociations menées par le Secrétaire d’Etat américain John Kerry, Abbas a demandé la libération de terroristes sanguinaires palestiniens ayant la citoyenneté israélienne.

Il a également affirmé qu’il refusait de reconnaître l’Etat d’Israël comme un Etat juif parce qu’il se sentait responsable des droits de 20% des citoyens israéliens qui seraient en fait des Arabes palestiniens.

NDLR – Et c’est ce même Abbas qui veut faire un nettoyage ethnique de la Judée-Samarie, et la vider de ses Juifs !!!Les colonisateurs arabo-musulmans ne manquent franchement pas de toupet !

Il utilise cette revendication, cependant, pour cacher ses véritables intentions.

Si Mahmoud Abbas voulait vraiment fonder un « Etat palestinien » en bordure de l’État d’Israël, il aurait été trop heureux d’accepter la suggestion faite par le ministre des Affaires étrangères d’Israël, Avigdor Lieberman, et se serait précipité pour absorber les citoyens arabes d’Israël avec leurs terres et leurs biens dans le cadre d’un échange de territoires et de population exigés par un accord de paix.

De cette façon, il aurait augmenté la taille de sa « Palestine », « libéré » les Arabes israéliens du « régime israélien » que les Palestiniens appellent « régime d’occupation et d’apartheid », et apporté plus de territoire et de citoyens à son nouveau pays.

NDLR – Sauf la très grande majorité des arabes israéliens ne veulent même pas entendre parler de l’entité terroriste et corrompue de Ramallah et que pour rien au monde ils ne souhaitent se retrouver sous administration arabe, ils savent ce que ça donne !

La vérité, cependant, est que Mahmoud Abbas a vraiment l’intention de créer un « Etat palestinien » entre le Jourdain et la mer Méditerranée, en inondant l’Etat d’Israël avec des musulmans dans le cadre d’un soi-disant «retour de descendants de réfugiés palestiniens ». Il ne veut pas d’un Israël à coté de son « Etat palestinien » mais à la place, et refuse donc de le reconnaître comme le foyer national des Juifs.

En réalité, les juifs d’Israël n’ont pas besoin de la reconnaissance des arabes-palestiniens; lui-même ce « peuple palestinien » est nouveau, ayant été créé récemment, et répond à peine aux critères internationaux pour la définition de «peuple».

Très peu de ceux qui se prétendent aujourd’hui arabes-palestiniens ont été présents sur cette terre  depuis de nombreuses générations.

La plupart d’entre eux sont issus de diverses familles (pays avoisinants Syrie, Egypte, Jordanie, Caucase, Maghreb…), de tribus et de groupes sans histoire commune.

Soit ils sont venus avec les armées d’invasion, ou ont été importés comme main-d’œuvre peu chère par les Turcs et les Britanniques, ou voulaient profiter des progrès économiques réalisés par les Juifs revenus pour reconstruire leur patrie.

D’autres ont fui vers la Palestine mandataire en provenance des pays arabes voisins, car ils ont été impliqués dans des vendettas et craignaient pour leur vie.

Des vagues d’immigration successives sont arrivées de partout du  monde arabo-musulman, des personnes rassemblées sur la terre d’Israël, en particulier au cours des deux derniers siècles, et qui ont été gouvernées par différents occupants, principalement les Turcs ottomans.

Cette population en est venue à se considérer elle-même comme un groupe national qu’au début du 20 ème siècle.

Les Juifs, eux, ont eu une identité commune depuis plus de trois mille ans.

Contrairement aux Juifs, les arabes qui se font appelé « Palestiniens » ne sont aucunement référencés dans le Coran la Torah ou les Evangiles.

Il n’existe aucune documentation de leur présence en « Palestine », dans les livres d’histoire du monde ancien ou moderne ou dans les livres écrits par des voyageurs venus de l’étranger au cours des siècles, comme Mark Twain .

Les juifs en Israël ont un certain nombre de raisons d’exiger que leur pays soit reconnu comme leur patrie nationale.

Pour les Juifs, la reconnaissance arabe de l’Etat d’Israël comme la patrie nationale des Juifs signifie la fin du conflit avec les arabes.

Ils veulent être sûrs qu’un nouvel état arabe en bordure d’Israël soit la demande finale des arabes-palestiniens et qu’ils acceptent l’existence d’Israël.

Ils veulent être sûrs que les « Palestiniens » ne vont pas essayer d’utiliser la force ou des subterfuges pour changer la majorité juive en Israël.

Ils veulent être sûrs qu’aucune tentative ne sera faite pour forcer Israël à accepter le retour des petits-enfants et arrières petits-enfants de « réfugiés palestiniens » qui ont déjà été installés dans les pays voisins et devrait rester là-bas avec leurs frères arabes.

La fin du conflit israélo-palestinien signifie essentiellement la reconnaissance mutuelle.

Ce qu’à encore expliqué Netanyahu hier !

Ces arabes, en revanche, ont du mal à reconnaître Israël comme l’Etat du peuple juif et ils s’appuient sur le fait que cette demande n’a jamais été faite aux Egyptiens ou aux Jordaniens dans les traités de paix signés (traités avec ces deux pays qui concernait leurs ​​le territoire).

NDLR- là en l’occurrence il s’agit du territoire du peuple Juif, validé par le traité de San-Rémo 1922 et toujours valable, le seul qui vaille même en fait selon le droit international.

En ce qui les concerne, dès que les arabes-palestiniens reconnaitront Israël comme un Etat juif, leurs revendications et leur exigence d’occuper l’ensemble de la terre de « Palestine », du Jourdain à la mer Méditerranée ne sera plus considérée comme « légitime ».

Les arabes-palestiniens exigent un Etat pour eux-mêmes, et aussi se permettent de vouloir gérer celles des citoyens arabes d’Israël, de l’Etat juif souverain.

Cette hypocrisie augmente de façon exponentielle lorsque ces mêmes arabo-palestiniens affirment qu’Israël est un pays de  discrimination, d’occupation, d’apartheid et d’oppression.

NDLR -Et tout cela relayé, par toute une floppée d’inconséquents, d’ignorants soutenus en plus par des médias partisans, qui ne connaissent rien à l’historique du conflit mené par les arabes contre Israël, et la réalité du terrain

Ali poursuit

Si tel est le cas, pourquoi insistent-ils si fortement sur ​​le « droit au retour » et ne se précipitent pas pour accueillir leurs « réfugiés » à bras ouverts dans l’état nouvellement « libéré » de la « Palestine »?

Le cœur du problème est que la reconnaissance arabe d’Israël comme l’Etat du peuple juif ne serait pas seulement la fin du rêve du « retour » en « Palestine », mais aussi de la destruction d’Israël.

Depuis la Nakba en 1948, l ‘«expulsion», en fait l’incitation par les frères arabes de fuir les combats pour mieux génocider les Juifs les arabes tablent sur ce mythe et se sont construit ainsi leur héritage. Leur intention stratégique est de perpétuer le conflit, et surtout ne pas y mettre fin.

C’est aussi l’intention stratégique de certains arabes israéliens, qui insistent sur ​​la préservation de leur «identité nationale palestinienne » tout en vivant en Israël, et qui jouissent des droits et privilèges des personnes d’une société démocratique, et en entretenant en même temps l’espoir de sa destruction, et qui parfois participent activement à des activités terroristes contre elle.

La vraie raison est que Mahmoud Abbas veut le contrôle des ponts et des passages du Jourdain, et refuse de les laisser dans les mains des Israéliens, les arabes-palestiniens veulent reproduire le terrorisme de la bande de Gaza – la contrebande d’armes et l’établissement des cellules terroristes comme ils le faisaient dans les années 1970. Ils veulent ouvrir la voie à des vagues de moudjahidine pour inonder la Judée-Samarie et se faire sauter au milieu de civils israéliens le long de la frontière orientale du pays, dans le vain espoir qu’Israël soit finalement détruit et qu’un Etat palestinien, un énième pays arabe soit établi «de la rivière à la mer. »

Une nouvelle terre de jihad avec bain de sang en fait !

Au cours des première et deuxième intifidas [soulèvements], lorsque les « Palestiniens » ont boycotté les produits israéliens  et ont refusé de travailler pour les Israéliens, nous pensions que le boycott détruirait l’économie d’Israël, mais le résultat, c’est que c’est nous qui en avons payé le prix fort. 

Les produits fabriqués en Israël ont été introduits en contrebande dans les territoires et vendus à des prix exorbitants,  et lorsque les travailleurs du bâtiment sont restés à la maison, les Israéliens ont commencé à utiliser des méthodes de construction industrielles innovantes, et aujourd’hui les travailleurs sont encore à la maison.

Les arabes-palestiniens sont irresponsables et cela aura un impact sur le sort et l’avenir de leurs enfants.

Au lieu de reconnaître Israël comme Etat juif dans le cadre d’une reconnaissance mutuelle menant à une véritable paix, ils essaient de forcer le monde à reconnaître unilatéralement un « Etat palestinien. »

Le danger est que lorsque les Israéliens se rendront véritablement compte que les manipulateurs palestiniens n’ont pas de véritable intention de signer un accord de paix, Israël pourrait se retirer des territoires, comme il l’a fait dans la bande de Gaza.

Les arabes-palestiniens « recevront » beaucoup moins d’Israël que ce qu’ils auraient pu obtenir par le dialogue, et passeront le reste de leurs jours comme de mauvais voisins vivant dans un état de désespoir et d’éternel conflit.

Le boycott des universités israéliennes – avec les laboratoires dotés de tant de prix Nobel et d’innovations superbes pour le bien de toute l’humanité – ne réduira pas l’excellence académique israélienne.

Les personnes qui souffrent sont soutenues par des milliers de travailleurs arabes qui sont employées dans les usines et les champs d’Israël, à la fois en Israël même et en Judée-Samarie – encore un autre exemple de la duplicité de l’Occident qui fait semblant de se soucier des arabes-palestiniens mais en réalité, il ne s’en soucie pas d’un iota.

Le chômage ne peut produire que plus de troubles, en faire reculer d’autant plus la paix – Le boycott – une stratégie sans doute soutenue par bon nombre de ces faux-moralistes en Europe.

Si j’étais un Israélien, j’insisterais sur la reconnaissance arabe de l’Etat d’Israël comme patrie du peuple juif. Cette reconnaissance arabe devrait être acceptée comme un devoir religieux pour toute la nation islamique et faire la paix avec Israël, et ainsi  rendre possible leur « Etat palestinien » indépendant, florissant, prospère établi sur la frontière orientale d’Israël.

Merci, à Ali, universitaire arabe sis au Proche-Orient

Certains arabes éclairés comme le Cheick Adnan commencent à faire entendre leurs voix et c’est une bonne chose

Adapté et commenté par la rédaction d’Israël-flash d’après un texte d’Ali – gatestoneinstitute





Journaliste québécois, pro-atlantiste, pro-israélien,pro-occidental



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  • One thought on “Pourquoi les arabes refusent-ils de reconnaître Israël comme état Juif ?

    1. Alain

      c’est quoi au juste cette soi disant négociation ? Ces abrutis d’israéliens veulent finalement se faire pieger par ce kerry et par les palestiniens et vont signer il n’y a aucun doute leur propre suicide. Begin a été pieger lui aussi par carter à camp david en cédant tous les territoires du sinai aux egyptiens pour obtenir une paix bidon. Il l’a d’ailleurs regreter dans ses mémoires. Les israéliens sont nuls en diplomatie mais le pire c’est qu’ils mettent en danger le peuple juif des prochaines générations.

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