En cette période d’élections municipales la loi de 1905 de séparation des églises et de l’Etat est bien mise à mal pour courtiser le vote religieux. Le « vote musulman » commence à attirer les convoitises. Ainsi lors des présidentielles on a pu voir que les musulmans ont massivement voté (selon les consignes des mosquées) pour le candidat le « meilleur pour l’Islam ». Certains candidats aux municipales n’hésitent pas à financer des constructions de mosquées…
Avez-vous sans le savoir financé la Mosquée de votre municipalité qui a bénéficié des largesses de la Mairie (voir liste) ?
Rappel de la loi à ces élus qui l’ont violé:
Article 2 : « La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte […] » Cette loi se veut conforme à la devise républicaine. Par l’article 1er, l’État garantit la liberté de conscience, c’est-à-dire la liberté de culte et le droit de ne pas être croyant. Par l’article 2, l’État assure sa neutralité à l’égard des citoyens, en refusant d’accorder des avantages spécifiques à certains en raison de leurs pratiques cultuelles.
Les établissements publics du culte sont dissous (art. 2) et remplacés par des associations cultuelles ayant pour objet exclusif de « subvenir aux frais, à l’entretien et à l’exercice public d’un culte » (art. 18) ; ces dernières pourront recevoir le produit des quêtes et des collectes pour les frais du culte, mais elles ne devront en aucun cas percevoir de subventions de l’État, des départements ou des communes Réformes récentes En 2004, à la veille de la célébration du centenaire de la loi fondant la laïcité républicaine, Nicolas Sarkozy, alors ministre de l’Économie, et sortant de son poste de ministre de l’Intérieur et des Cultes, s’interroge, dans un livre intitulé La République, les religions, l’espérance, sur une possible modification de la loi, sans toutefois en remettre en cause les fondements. Il propose de donner à l’État les moyens de pouvoir contrôler efficacement le financement des cultes, de libérer le culte musulman français de la tutelle de pays étrangers et ainsi de pouvoir limiter l’influence de ces pays sur la communauté musulmane de France. Ce contrôle impliquerait comme effet secondaire des facilités accordées par l’État en matière de formation des agents des cultes, en mettant par exemple à disposition des enseignants pour les matières non religieuses pour la formation des prêtres, pasteurs ou imams.
En aucun cas il est question de financement public des mosquées, ni des synagogues, ni des églises ou des temples bouddhistes…
Conclusion ce sont des millions d’euros qui ont été alloués en totale violation de la loi par des élus.
On se souvient d’Ayrault, aujourd’hui 1er ministre, qui lorsqu’il était maire de Nantes avait fait voter une subvention de 200.000 euros au centre culturel islamique de Nantes (Mosquée comprise) ou du Maire de Créteil offrant généreusement un terrain d’une valeur de plusieurs millions d’Euro pour la construction d’une méga-mosquée financée également par l’Arabie Sadoudite…
France : Jean Marc Ayrault maire de Nantes, le héros des Frères musulmans.
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source islamisation – Wikipédia