«Libération» s’est procuré l’assignation envoyée à Dieudonné par les propriétaires du théâtre de la Main d’or, dans laquelle ils invoquent plusieurs motifs d’expulsion.
Le bras de fer continue autour du théâtre parisien de la Main d’or, quartier général de Dieudonné. Début janvier, on apprenait l’intention des propriétaires du lieu (hommes d’affaires juifs soucieux de discrétion) de casser le bail de leur encombrant locataire. Mardi, une première audience s’est tenue au tribunal de grande instance de Paris. L’affaire a aussitôt été renvoyée au 11 mars, sur demande de la défense de Dieudonné.
Cette audience a cependant permis d’en savoir plus sur les motifs invoqués par les propriétaires contre le polémiste. Si celui-ci s’est toujours acquitté rubis sur l’ongle de son loyer – une douzaine de milliers d’euros mensuels – l’assignation, que s’est procuréeLibération, mentionne plusieurs manquements de la part des occupants. Et en premier lieu une «occupation illicite» des lieux. C’est en effet au nom de la société Bonnie Production qu’a été renouvelé le bail, en 2010.
Or, cette société a été radiée du registre du commerce en 2013. C’est une nouvelle entreprise, les Productions de la Plume, gérée par la compagne de Dieudonné, qui a pris en charge les affaires de celui-ci depuis 2010. Et notamment le règlement des loyers du théâtre. Une substitution que les propriétaires jugent «suffisamment grave pour justifier, à elle seule, la résiliation du bail pour faute de la société Bonnie productions».
JURISPRUDENCE PRO-DIEUDONNÉ SELON SON AVOCAT
Second grief, l’absence d’assurance au titre de Bonnie Productions : les Productions de la Plume ont bien produit une attestation d’assurance à leur nom, mais les propriétaires le jugent sans valeur, la société n’étant selon eux «nullement titulaire d’un bail ni d’un quelconque droit sur les locaux». Enfin, est aussi invoquée la représentation dans le théâtre du spectacle le Mur, jusqu’à son interdiction par la justice début janvier.
L’avocat de Dieudonné, François Danglehant, se déclare confiant : «Une société radiée, comme Bonnie Productions, ne peut être assignée en justice. La jurisprudence de la Cour de cassation va dans ce sens. La procédure est donc, selon nous, entachée de nullité. De plus, ayant dépassé les deux ans d’occupation sans contestation de la part des propriétaires, les Productions de la Plume jouissent d’un bail commercial de fait.» Sollicitée par Libération, l’avocate des bailleurs n’a pas donné suite à nos demandes.
Dominique ALBERTINI Libé
hi
il seraieny bon de ce poser une autre question au regard de votre concours des juifs les plus antisioniste
1) pourquoi des juifs lout il un local a un antisemite notaoir ??
pourquoi ses proprietaire ont ils loué un local ou l’ont faisainet de la propagande antisemite ??
de qui ce moque t il , il s’avait ce qui ce passait dans ce local ;
et si il l’ignorait
l’ignorait il passe que il toucher le loué , et donc pour de l’argent ont fermle les yeux sur une entreprise antisemite
ou etaient ils ideologiquement des mauvais juifs antisemite , comme par rapport a votre concours
ils serait bon de ce poser aussi ses question sur ces juifs qui loué ce local a de tel personnages
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