L’infatigable John Kerry est de retour dans notre région, déterminé à aboutir à un règlement définitif entre Israël et les Palestiniens dans les mois à venir. Va-t-il réussir ? Pourra-t-il vraiment aplanir les profondes divergences ? A-t-il un plan magique dans sa valise ? A-t-il déchiffré le code secret de la solution du conflit qui dure et qu’on endure depuis plus d’un siècle ? On peut bien entendu sourire et fortement en douter, mais comment ne pas apprécier sa détermination et ses ambitions même s’il représente pour certains le nouveau Don Quichotte de la diplomatie moderne !
En réalité, l’Amérique, comme d’ailleurs l’Europe, est plongée dans une détresse économique et politique. Le président Obama se sent frustré et complexé d’avoir échoué à imposer son influence dans la région. L’invasion américaine en Irak a transformé ce pays en bastion du terrorisme international et où règne un conflit meurtrier quotidien entre sunnites et chiites. En Syrie, la guerre civile fait rage et Bachar el-Assad est toujours au pouvoir. En Egypte, le pouvoir militaire est déçu par l’attitude frileuse d’Obama et préfère se rapprocher de la Russie de Poutine. Le royaume saoudien est furieux contre le rapprochement des Etats-Unis avec l’Iran de Rohani en dépit des apaisements de Kerry lors de sa dernière visite à Riyad. Les dernières manifestations anti-américaines dans les rues de Téhéran leur donnent raison et prouvent notre juste et lucide politique. La Libye se désintègre en tribus rivales et demeure la plaque tournante des groupes djihadistes, renforçant ainsi la branche d’al-Qaïda au Maghreb et au Mali. L’assassinat de l’ambassadeur américain à Benghazi n’a pas ébranlé les piliers de l’administration à Washington tandis que le meurtre odieux et lâche des journalistes de RFI a rendu inefficace la dernière intervention française au Mali. Les temps ont bien changé depuis Ronald Reagan, George W. Bush ou Nicolas Sarkozy. Il n’existe donc plus de pays fidèles et pro-américains dans la région, à l’exception de l’Etat d’Israël, pour des pays occidentaux qui, comme la France, perdent tout rôle d’influence dans leurs anciennes colonies.
Le nouveau contexte géopolitique est très décevant et nous constatons une fois encore que l’Amérique n’est plus la superpuissance que nous avons connue naguère depuis la Seconde Guerre mondiale, ce « gendarme du monde respectable et dissuasif » qui n’hésitait pas à intervenir dans les conflits de la planète. Face à cette triste réalité, nous constatons qu’il existe pour Obama un seul dossier qu’il pourrait régler sans trop de risques : le conflit israélo-palestinien ! Il s’agit en fait d’un processus diplomatique qui n’engage pas à une intervention militaire et ne représente pas aux yeux des Américains une menace stratégique immédiate ni même un risque de déclenchement d’une guerre régionale comme pourrait le faire craindre une intervention dans le conflit syrien. Un règlement avec les Palestiniens pourrait selon Obama et Kerry n’apporter que des avantages. Mais voilà, cette vision et cette approche sont bien naïves. Une Pax Americana dans ces conditions n’aboutira jamais à une paix juste et viable ! Tant que les Palestiniens, Hamas et Fatah, ne reconnaîtront pas l’existence de l’Etat juif dans des frontières sures et défendables et ne renonceront pas à toutes leurs revendications sur « toute la Palestine », il ne pourra y avoir de paix stable dans cette région du monde. Nous refusons les règlements rapides et irresponsables comme ce fut le cas avec les Accords d’Oslo ou le désengagement à Gaza, mais nous demeurons pragmatiques et réalistes. Soyons clairs : il est impensable de revenir sur les lignes d’armistice de 1949 ! Il n’est pas question de diviser notre capitale Jérusalem ! Et il serait dangereux de confier notre sécurité à des forces étrangères comme le révèle la vidéo que nous diffusons sur ce site!
Ces principes ne sont pas des conditions préalables ! Ils sont vitaux pour notre existence face aux multiples menaces, proches et lointaines. Nous sommes sur notre terre millénaire pour y demeurer et pour y vivre en paix et en harmonie avec nos voisins arabes. Nous ne sommes pas un peuple guerrier mais nous sommes déterminés à nous défendre pour ces principes fondamentaux. La Pax Americana ou la Pax Europa devraient avant tout prendre en considération les revendications légitimes de l’Etat juif et non seulement et exclusivement celles des Palestiniens. Enfin, nous disons Oui à la négociation : Oui au compromis ! Oui à la paix ! Mais selon notre propre feuille de route et les réalités sur le terrain !
Freddy Eytan
ce Kerry est un con
The notion of justice in the West is not compatible with the notion of Islamic justice.
obamama est surtout frustré de ne pas réussir à détruire Israel! Une fausse paix sur la base des demandes des arabes soutenus par la gauche européenne et américaine n’ezt pas souhaitable car elle déboucherait sur une guerre mondiale car une fois un traité même extorqué en mains les arabes n’auraient plus de limites à leur hargne et leur désir de dominer lemonde. Actuellement malgré tous les mensonges dont ils nous abreuvent ils savent bien que ,le DROIT n’est PAS de leur côté et si une guerre juridique devait avoir lieu ils la perdraient ce qui ne serait pas le cas si Israel avait la sttise de signer une paix basée sur des concessions territoriales. A partir de là il n’y aurait plus l’avantage de son bon droit pour Israel. Les arabes pourraient dire « personne ne vous a obligé(sic) à signer ce traité,maintenant vous etes dans votre tort en vous protégeant!!!!!! Ilest déjà dur pour Israel de se protéger même dans son droit,qu’est-ce que ce serait après une signature créant un etat arabe. Ce serait mille fois pire que cette idiotie des accords de oslo! Alors au diable kerry et obamama et leurs tentatives de diktat!
Pourquoi Israël n’a-t-elle pas gardé la Cease-Fire Lines de 1967 ? Puis construit un mûr en demeurant de chaque côté ? Trop de tergiversations
… alors faut pas trop s’étonner du résultat.
Si les arabes reconnaissaient Israel des négociations ne seraient pas nécéssaires car logiquement ils accepteraient de prendre chez eux ipso facto les arabes d’Israel(Palestine Ocidentale) comme Israel a pris chez lui lkes Juifs des pays arabes sans négociations. Ils confirmeraient lareconnaissance du traité de sèvres et tout serait dit. S’il faut des négociations c’est parce que les arabves sont de mauvaise foi et après avoir pris l’actif soit les 21 etats donnés par le traité de sèvres ils en rejettent le passif à savoir La Palestine donnée aux Juifs. Dans ces conditions des négociations ne sont PAS acceptables et de toutes manières ne peuvent pas aboutir sauf si Israel se suicide ce qui n’est pas envosageable pour aucune Nation! Tout cela n’est que ENFUMAGE et le problème ne peut se résoudre que par l’expulsion de force des arabes.
La pseudo palestine arabe EST la Transjordanie (le père du roitelet actuel l’avait affirmé en son temps). Un statut de résident pourrait être accordé aux Arabes de Judée, Samarie et Jérusalem « Est » dès lors qu’ils accepteraient la Loi juive et n’exigeraient pas de droit de retour pour les « réfugiés » de pères en fils, cas unique dans le monde.
L’infatigable Kerry peut aller se reposer, nous n’avons pas besoin de lui ni des conseils ou pressions de son patron, le pro musulman Hussein Obama, celui qui tente d’islamiser les Etats-Unis pendant les trois ans qu’il lui reste en tant que président et qui se fiche pas mal d’aider ceux qui rêvent de détruire Israël, Iran en tête.
Shavoua Tov !
L’une des raisons, pas la seule certes, de la présente situation, ce sont les propos d’Israéliens comme Freddy EYTAN.
Il y a un temps pour chaque chose. Je ne crois pas que monsieur EYTAN parlerait de « paix véritable avec les nazis ».
Alors pourquoi parle-t-il de « paix véritable avec les déchets nazislamistes » ?
En croyant défendre Israël et les Juifs, monsieur EYTAN fait perdurer la cause profonde du mal. A savoir, le pire mensonge inventé par les antijuifs du monde entier, celui qu’un ramassis de déchets nazislamistes auraient le droit de s’approprier le coeur biblique d’Israël.
Avec des défenseurs dans la polémique, comme Freddy EYTAN, nos ennemis ont de beaux jours devant eux.