Un nouveau scandale démontre les tentatives de l’Union Européenne de délégitimer et d’attaquer sur tous les fronts la stabilité politique d’Israël. Il s’agit bien d’ingérence de l’UE: Yesh Din, une ONG de plaidoyer politique israélien financée largement par des gouvernements étrangers, a publié aujourd’hui un rapport [report] appelant la législation israélienne à codifier les «crimes de guerre » dans la loi israélienne comme moyen de punir les soldats israéliens.
Le rapport de Yesh Din sur Israël et les crimes de guerre a été « commandé » par l’Union Européenne
Le Communiqué de presse de Yesh Din accuse également Israël de ce qu’il appelle » des peines légères » contre les soldats israéliens.
Yesh Din ne divulgue pas dans son communiqué de presse [press release] que le rapport a été effectivement » commandé » [commissioned] par l’Union européenne. L’UE a donné une contribution de 150,000 Euros à Yesh Din
Le but est de changer la politique d’Israël vis- à-vis de la responsabilité pénale du personnel des Forces de Sécurité Israéliennes dans les territoires palestiniens occupés, de telle sorte que soit reconnues et pris en compte la gravité et la nature différente des crimes de guerre, par opposition aux crimes ordinaires, domestiques.
En utilisant une ONG « pour changer la politique israélienne, » l’UE manifestement viole le processus démocratique d’Israël.
Le financement de l’UE s’élève à près des deux tiers du budget du projet de «guerre juridique»[ lawfare]. Pourtant, dans son rapport de 64 pages, Yesh Din écrit hypocritement : «Cette publication a été élaborée avec l’aide de l’Union européenne. Le contenu de cette publication relève de la seule responsabilité de Yesh Din et ne peut en aucun cas être considéré comme reflétant la position de l’Union européenne ».
«Yesh Din est un acteur majeur dans la promotion de la guerre juridique contre Israël », a déclaré Anne Herzberg conseiller juridique de l’ONG Monitor. «Dans le cadre de cette stratégie, la campagne financée par l’UE à hauteur de 150.000 euros vise à faire que les accusations de ‘crimes de guerre’ contre Tsahal deviennent une partie intégrante du discours sur Israël. »
Cette ONG reçoit des fonds importants [significant funding] provenant de gouvernements étrangers, y compris l’UE, la Belgique, la Norvège, les Pays-Bas, l’Irlande, le Royaume-Uni et l’Allemagne. Le New Israel Fund (NIF) et l’Open Society Institute de George Soros sont également des bailleurs de fonds .
«La publication du rapport de Yesh Din, » a conclu Anne Herzberg « coïncide également avec le renforcement de plaidoyers par d’autres ONG de guerre juridique, comme Al Haq et le Centre palestinien pour les droits de l’homme, qui ces derniers mois ont intensifié leur campagne pour obtenir que des responsables israéliens soient inculpés par le Cour pénale internationale. »
© Traduction Nancy Verdier pour www.europe-israel.org
Source NGO Monitor
Ces ong de la gauche israélienne sont de vrais criminels prêts à tout pour aider la gauche à revenir au pouvoir et se remplir les poches, nouvelle version du plat de lentilles! Quant à l’ue de toute évidence elle perd les pédales sachant que c’est la gauche européenne précisémment qui est en passe de disparaitre et s’imagine pouvoir amener un changement de pouvoir en Israel dans sa grande stupidité par de pareilles ingérences illégales. Pour une ong qui prétend attaquer Israel sur le plan légal, il n’y a pas dans ses prétentions ni ses actions la moindre once de légalité ni de crédibilité. Le MENSONGE,le cynisme,la lâcheté et la bêtise est TOUT ce dont la gauche est capable partout dans le monde.VIVEMENT QU ELLE DISPARAISSE DU PAYSAGE POLITIQUE en Europe,en Israel pour trés trés longtemps et partout ailleurs! Cette maudite gauche donne aux peuples les armes pour l’éliminer de la face de la terre!
ISRAEL est gangrene par cette gauche et consort,jusque dans l’armee et la police. Comment peut on tolerer ces O N G,qui vont jusqu a fair conmdamner nos soldats,comme criminel de guerre ! ! !,ils n’ont aucune pudeur, ni sentiments patriotiques.Chez leurs amis arabes,ils seraient decapites.
Ne peut on pas renvoyer en GOLA,C’EST LA LEUR PLACE.
Criminels doublés de traitres à leur pays. Difficile de comprendre qu’on laisse ces infectes nuisances en liberté. Y a-t-il pénurie de législateurs dignes de ce nom en Israël ? L’atteinte à la sureté de l’Etat est-elle une notion intelligible en hébreu ?
Plus le premier ministre courbera l’échine sous la pression, plus sa marge de manœuvre se rapprochera de zéro.
Certains israéliens et certaines ONG israéliennes devraient être jugés et condamnés pour collusion avec l’ennemi .
Au lieu de s’ingérer dans nos affaires , l’europe laputain devrait plutot nettoyer « ses merdes » et s’occuper de ses « quartiers défavorisés »
Ce n’est pas un ramassis de traitres et déshonnorés qui vont infléchir quoi que ce soit CHEZ NOUS !!!!
Entre ses ONG pro-islamistes et ses ministres INCOM-PETANTS , cette france a déjà perdu son ame !!!!!!!!!
honte a ceux qui attaque l’intégrité des soldats du stahal
honte a ceux qui collabore avec les islamistes ,les KAPO sont de retour
honte a l’union européenne de chercher a déstabiliser le seul pays du
moyen-orient qui est démocratique et qui respect ses minorités
l’europe ferait mieux de faire le ménage dans leur nid d’aigle, de dégraisser le mamouth, de réduire tous ces fonctionnaires , il y a du boulot et des économies à faire, cette europe marche sur la tête. Quelle laisse israël tranquille, qui a suffisament à faire et qui ne demande rien; cette O N G financée par l’europe est une façon de détourner l’attention des peuples, attiser ENCORE , l’antisémitisme, quelle fasse de même en corée du nord, en chine, en russie, pourquoi taper toujours sur un peuple qui travaille, invente, innove, à qui l’europe au travers de cette ONG, veut-elle faire plaisir, a-t-elle un intérêt, de quel esprit est-elle animé, par qui est-elle poussée cette EUROPE si généreuse avec le faschisme religieux, quelle est charitable avec l’argent des contribuables à soutenir les palestiniens , des voyous qui, au lieu de travailler, creuse des tunnels pour tuer des enfants innocents ou enlever des soldats, comment ose-t-elle s’occuper d’une ONG quand elle devrait mettre de l’ordre chez elle !
Pas que yech din, d’autres ONG sont largement payées par l’Internationale, avec nos propres impôts : pourquoi ces ONG via cette Internationale ne cherche pas à « punir » les différents tueurs de populations dans maints et maints pays au lieu de toujours s’attaquer à l’Humaniste Israël. Israël se laisse trop faire et il serait temps de promulguer des lois qui le protègera de ses nombreux ennemis !
Quand on pense que les khomeini et consors parlent du complot sioniste, il y a de quoi rire : on voit bien où réside the Complot, qui lui, est International ! Tamara
Histoire : les juifs n’ont jamais été persécutés en Algérie
par saidabiida @ 2010-06-25 – 12:50:31
A travers les siècles les juifs n’ont jamais été persécutés en Algérie . L’histoire de Algérie montre que les Juifs sont arrivés en Algérie après l’antiquité et ont construit des temples dans la région d’Adrar. Les Juifs ne se sont pas opposé à l’avènement de l’Islam au milieu du VIIe siècle en Algérie et beaucoup de juifs se sont convertis à l’Islam par conviction .
la communauté juive a été épargné par toutes les civilisations y compris celle des Béni Hillals
La ville de Tlemcen était habitée en grande partie par des Juifs sefardim.
Originaire de Tolède, le Rabbi Ephraïm Enkaoua est contraint de se réfugier à Marrakech, puis à.Tlemcen en Algérie, pour échapper à l’Inquisition française (notamment par le blocus de Carpentras) et espagnole. Né à Tolède en 1359, le rabbin a été bien accueilli à Tlemcen en 1391 fuyant l’intolérance qui avait accompagné la «Reconquista» espagnole.
Après la proscription d’Espagne, un des réfugiés juifs tel Jacob Berab, âgé de dix-huit ans (1474-1541), vint se réfugier àTlemcen, où il se trouva une grande convivialité entre juifs et musulman. Pour ne pas oublier la persécution de l’église, les juifs ont gravé la rose croix sur certains tapis algériens à coté des chandelles de David
Après que la France a envahi Algérie en 1830, la France s’est précipté après le harcèlement du capitaine juif Dreyfus à promulguer la loi Crémieux pour inciter à la ségrégation entre musulmans et juifs.
A saida comme un peu partout en Algérie les juifs disposait d’un quartier commercial appel Derb el Yahoud (ruelles des juifs)situé entre la Redoute et la Gare
Je me souviens au cours des années cinquante que les juifs faisant du commerce dans les quartiers et ghettos arabes sans jamais être inquiéts,beaucoup d’enseignant juifs ont occupés des postes importants dans la fonction publique après l’indépendance de l’Algérie je citerai Gabriel Obadia, Layani ,Karsenty à Saida ;un Karsenty était même expert comptable et économiste au Ministère de l’Agriculture entre 1963 et 1970
Ce sont les lobby sionsites qui ont incité ces innocents juifs à quitter l’Algérie après l’indépendance ainsi 120.000 Juifs ont été racolés en Algérie après l’indépendance par le sionsime internationnal pour être véhiculés en Palestine et spolier les terres des palestiniens
Des lois pour persécuter les juifs marocains ?
Par Y.Mérabet
Persécuter des juifs marocains, voilà une idée à priori, saugrenue dans notre temps. Qu’elle soit formulée sous forme d’interrogation ou de simple hypothèse, elle fait sursauter. Pire, elle constitue une insulte à la mémoire collective des Marocains et des Maghrébins en générale, une offense gravissime à leur culture. Toute notre histoire, fondée sur la tolérance et la coexistence en bonne intelligence entre Marocains musulmans et juifs, serait ainsi l’objet d’un révisionnisme honteux et provocateur.
Des députés marocains, de majorité comme de l’opposition viennent de rédiger deux propositions de loi interdisant tout rapprochement avec Israël. Entre 2 à 5 ans d’emprisonnement sont prévues contre les « normalisateurs » et des amendes pouvant atteindre le million de dirhams. Les milieux pan-arabistes et islamistes ont réussi à convaincre cinq formations politiques au parlement de bénir deux propositions de loi incriminant toute normalisation avec Israël. La première a reçu l’adhésion de quatre groupes à la Chambre des représentants : PJD, PPS (majorité), USFP et Istiqlal (opposition). Alors que la deuxième est une initiative propre du PAM.
Les deux textes, qui attendent d’être adoptés en commission et par la plénière, comptent renforcer l’arsenal juridique contre les « échanges commerciaux », « financiers », « bancaires » et « les opérations d’assurances » avec Israël, annonce le premier article du texte du quartette. Une restriction qui concerne, également, « la participation de Marocains ou de résidents au Maroc dans des activités », tenues dans l’Etat hébreu. Dans la ligne de mire des députés, la culture, la politique, le sport et l’économie (article 4). Et bien entendu, cette interdiction affecte, aussi, les rencontres organisées au Maroc. La présence des Israéliens, selon cette proposition de loi, y est strictement interdite.
Prisons et amendes contre les « normalisateurs » avec Israël
Une fois les interdits énoncés, place aux sanctions. Au menu, entre « deux et cinq ans » d’emprisonnement et des amendes oscillant entre « 100 milles et un million de dirhams ». Visiblement, nullement satisfait par ses sanctions les députés du PJD, PPS, USFP et Istiqlal, ont suggéré l’addition de peines dites « accessoires », en parfaite conformité avec l’article 36 du code pénal qui les définit comme « L’interdiction légale », « la dégradation civique », « la suspension de l’exercice de certains droits civiques, civils ou de famille », « la perte ou la suspension du droit aux pensions servies par l’Etat et les établissements publics », ou « la confiscation partielle des biens appartenant au condamné et la dissolution d’une personne juridique ». La proposition du PAM est quasiment identique à celle des quatre autres groupes parlementaires.
Que des juifs d’origine marocaine ?
Force est de constater que les rédacteurs des deux textes ont, savamment, évité de mentionner le million 900 milles israéliens, selon des estimations de Driss El Yazami, le président du CCME, d’origine marocaine vivant dans l’Etat hébreu. Les députés estiment que les personnes qui ont choisi la nationalité israélienne sont visées par ces lois restrictives.
Toutefois, ils ont oublié la double nationalité. Nombreux sont les Israéliens qui visitent le Maroc à cause, justement, de leurs origines. Le royaume mène, au plus haut niveau de l’Etat, depuis des années, une politique tendant à renforcer ses liens avec cette communauté, via la présence de représentants de l’administration territoriale (wali et gouverneur) dans les fêtes religieuses juives. Une politique qui commence à porter ses fruits. Les arrivées de touristes en provenance de Tel-Aviv sont en nette progression.
Par racisme religieux des signes distinctifs que les Juifs marocains ont été obligés de porter tout au long de leur histoire sont divers, mais ont toujours eu le même objectif.
En 1165 – Au Maroc, sous la dynastie des Almohades (où le Dayan de Fès est brûlé vif), les juifs doivent porter une gabardine (manteau bleu et large), et se couvrir la tête d’un châle jaune).
En 1492, Au Maroc, les Juifs étaient obligés de porter des habits ternes et de se déplacer â dos d’âne, les jambes pendantes d’un seul côté.
En 1918 Au Maroc, les juifs étaient obliges de marcher pied nus, dès qu’ils sortaient de leur quartier. On les voyait enlever leur babouches noires (en dehors du Mellah) par distinctions de celles des musulmans qui seuls avaient le privilège de les porter jaunes… »
Les signes distinctifs que les Juifs ont été obligés de porter tout au long de leur histoire sont divers, mais ont toujours eu le même objectif. Leur origine vient pour une part de marques d’infamie déjà existantes, comme par exemple la rouelle symbolisant les trente deniers de Judas, ou la couleur jaune, associée aussi à Judas (souvent habillé d’une robe jaune), cette couleur étant généralement associé au soufre, à Lucifer, aux faux-monnayeurs et aux traîtres. A travers le monde et les âges :
• VIe siècle avant notre ère
À Athènes, les Juifs sont obligés de porter un signe qui les différencie des autres humains.
• 201 avant notre ère
Ptolémée Philopator ordonne aux Juifs d’Égypte d’adorer les dieux grecs sous peine d’être marqués avec un fer chaud qui imprimerait sur leur front l’image d’une feuille de lierre, plante consacrée à Bacchus.
• 616 de notre ère
L’empereur Héraclius oblige les Juifs à porter des vêtements distinctifs, et leur interdit de posséder des armes.
• 634 Pacte d’Omar (douze ans après l’Hégire) : les Juifs doivent présenter sur leurs vêtements un signe distinctif afin qu’ils puissent être reconnus dans la rue (une rouelle ?).
Le signe distinctif devait être de couleur jaune pour le juif, bleu pour le chrétien et rouge pour le zoroastrien.
Dans certaine régions, ils doivent porter une cordelette avec un signe autour du cou.
Autres interdictions : passer à la gauche d’un musulman, sortir du quartier juif chaussé, souiller un musulman par un contact humide.
• 807
Haroun Al-Rachid ordonne que les juifs portent des ceintures blanches et les chrétiens des ceintures bleues.
Plus tard, c’est le port d’un chapeau jaune qui devient obligatoire.
• 849
En Egypte musulmane, juifs et chrétiens ne peuvent porter que des turbans et ceintures de couleur jaune, puis un insigne jaune sur leur poitrine »
• 1005
En Egypte, le calife El-Hakim décrète que les juifs doivent porter des cloches à leur ceinture, et arborer autour du cou une figurine en bois en forme de veau lorsqu’ils se baignent.
Les Juifs d’Irak sont obligés de porter un signe distinctif jaune sur leurs vêtements.
Dans d’autres pays musulmans, les juifs sont obligés de porter une ceinture appelée ‘Zonnar’.
• 1215
Le Concile de Latran oblige les Juifs à porter « un habit ou un signe distinctif » : la rouelle, symbolisant les 30 deniers de Judas, en tissu de couleur jaune.
En France il était jaune pistache, plus tard en rouge blanc.
En Angleterre, il a pris la forme de deux bandes ou raies, d’abord de blanc, puis de jaune.
Dans le règne d’Edward II, il a la forme des Tables de la loi.
Ces signes vestimentaires distinctifs ne sont pas uniformes dans le royaume : plus tard, le bonnet pointu, le « bonnet juif » s’impose.
• 1267
Le Concile de Vienne en 1267 ordonne le port d’un chapeau particulier, le Judenhut (bonnet pointu).
• 1222
En Angleterre, dès 1222, les juifs, par ordre de l’archevêque de Canterbury, étaient obligés de porter un signe.
Ce signe, qui était d’abord une bande d’étoffe blanche, puis jaune, fut plus tard, sous Edouard Ier, une bande de feutre de couleur safran.
En Allemagne le signe était, au XIIIe siècle, un chapeau rouge et pointu.
• 1232,
Raymond VII, comte de Toulouse, et le légat du pape imposent le port de la rouelle aux juifs de plusieurs villes méridionales.