Humour?
Point du tout. Le fait que l’ex-ambassadeur de France en Israël soit promu à la direction de la DGSE en ferait un agent israélien selon le magicien et janissaire Alain Soral. Oui magicien, car il a le pouvoir de faire disparaître des millions d’euros (voir polémique : »Où sont passés les trois millions d’euros ?« ).
Christophe Bigot a passé cinq années en Israel au service de la France, en tant qu’ambassadeur, en défendant les positions que furent celles du Quai d’Orsay, pan-arabe et pro palestinienne. Aujourd’hui, il passe à la direction de la DGSE. Le fait que Christophe Bigot ait été sur certains dossiers un partenaire respectueux et de bonne volonté n’en fait pas un allié indéfectible d’Israel ni un agent du mossad.
C’est du bon sens, mais les complotistes détraqués de l’âme adorent judaiser leur réalité. On se demande pourquoi ils ne se convertissent pas au judaisme. En bon religieux ils seraient comblés.
Thierry Meyssan, le journaliste fantoche, promoteur au service de l’Iran des thèses accusant Israel et les Etats Unis de la catastrophe du 11 septembre met lui aussi la main à la patte. Meyssan, vit au Liban, couvert et soutenu financièrement par le Hezbollah, continue de diffuser désinformations sur désinformations, afin de protéger « sa gamelle » : le compte en banque dEl Assad.
Hier Meyssan n’était rien d’autres qu’une icône du mouvement chrétien charismatique, pour leader d’un mouvement gay, puis ultra laicard, féministe et enfin agent iranien et pro russe.
Soral et Meyssan demeurent les sources d’analyses les plus sérieuses pour certains adeptes de « l’information libre » d’internet. Leur réplique favorite est: « retourne regardez TF1, te faire laver le cerveau ! ».
Même un journal de lycée est plus crédible que l’information alternative propagandiste du web. Heureusement qu’Europe-Israel est là ! (entre autres).
Axel Rehouv’ pour Europe-israel.org
Quel homme avisé et sensé se plaindra du départ du Quai d’Orsay d’un homme de grandes qualités et intègre comme Mr. Bigot ?
Voilà la meilleure promotion qui puisse lui arriver : il doit se sentir libre.
Puisse cette brise de changement en matière de politique étrangère continuer à rafraîchir l’air trop longtemps vicié par la politique proislamique et proarabe de la République Française.
Espérons que son départ soit le début d’une prise de conscience de la part du Quai d’Orsay et de bien d’autres : leur politique étrangère n’a eu que des répercussions délétères et sur la réputation de la France et sur sa situation intérieure, et donc sur son devenir et son avenir.
Simon Néhmé