En réponse au récent rapport parlementaire français concernant la situation de l’eau en Judée et Samarie, le ministère de la Diplomatie publique et des Affaires de Diaspora aimerait présenter les résultats d’une récente étude publiée par le Centre d’Etudes stratégiques Begin Sadate de l’Université Bar Ilan (BESA Studies), menée par le Prof. Haim Gvirtzman du département Hydrologie de l’Institut des Sciences de la Terre : « Le conflit israélo-palestinien de l’eau selon un point de vue israélien« .
Voici un bref résumé des principales conclusions de cette étude :
- Les toutes récentes données révélées par l’Autorité en charge de la répartition de l’eau sont en totale contradiction avec les conclusions sévères du rapport français, dirigées uniquement contre Israël.
- Conformément au droit international, les Palestiniens n’ont aucun fondement à leurs exigences.
- Aujourd’hui, il n’y a pratiquement plus aucune différence entre Israéliens et Palestiniens en matière de consommation d’eau potable par habitant. L’écart majeur qui a existé en 1967 a été réduit au cours des 40 dernières années et est devenu maintenant tout à fait négligeable.
La consommation d’eau par habitant palestinien dans le secteur domestique est significativement plus élevée que le minimum défini par l’Organisation mondiale de la Santé.
Israël a rempli toutes les obligations de l’accord intérimaire avec les Palestinians, notamment en prévision de futurs besoins définis pour l’accord permanent. En revanche, les Palestiniens violent l’accord en empêchant la construction d’usines de traitement des eaux usées (malgré le financement de pays donateurs), par le forage de « puits pirates » et par le raccord de pipelines au réseau Mekorot en charge de l’eau, sans aucune permission.

Points soulevés par le rapport :
- On ne relève aucune discrimination dans l’approvisionnement en eau entre Israéliens et Palestiniens.
- Les besoins humanitaires des Palestiniens sont pleinement comblés.
- Israël a respecté ses engagements en vertu des accords.
- Les Palestiniens agissent en violation des accords (pirate wells et raccordements de pipelines).
- Les Palestiniens refusent de construire des usines de traitement des eaux usées.
- Les Palestiniens ne répondent pas aux critères de développement durable.
- Israël a accès au réseau aquifère de montagne selon ses indications naturelles.
- Israël dispose de droits historiques concernant l’utilisation de l’aquifère de montagne.
- Les Palestiniens doivent utiliser des sources d’eau alternatives non-exploitées.
- Les accords signés sont contraignants au regard du droit international.
Pour contacter le Prof. Gvirtzman : [email protected]
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