Cette semaine sort en France le film très attendu BLACK SWAN qui après avoir triomphé aux Etats-Unis, s’apprête à électriser l’Europe.
Tout le monde parle de Natalie Portman, son actrice principale, révélée en 1995 par Léon de Luc Besson et devenue depuis, une star internationale de premier plan.
Rappelons que Natalie Portman est Israélienne ; née à Jérusalem en 1981 de parents Israélo-américains. Elle parle hébreu, entretient des relations très étroites avec sa famille habitant Israël, ne manquant jamais de soutenir son pays d’origine. Elle envisage même de porter elle-même à l’écran le roman de l’illustre auteur israélien Amos Oz, Une histoire d’amour et de ténèbres. (Signalons au passage que Darren Aronofsky, le réalisateur de Black Swan a passé une partie de sa jeunesse dans un kibboutz !).
A l’instar de sa compatriote, la célébrissime top-model Bar Rafaeli – compagne de Léonardo DiCaprio – Natalie Portman est une « bombe nucléaire » des relations publiques et internationales d’Israël – qui n’en demandait pas tant ! Infiniment plus influente sur les marchés et publics internationaux que les oranges et pamplemousses de Jaffa, les avocats Carmel, les crèmes Ahava ou les lingettes pour bébés que de pitoyables boycotteurs voudraient voir bannis des commerces français (sans succès, hélas pour eux).
Pourtant, il suffirait de défiler devant les gigantesques files d’attentes de tous les cinémas programmant Black Swan en aboyant «Boycott Natalie ! Boycott Israël !» pour provoquer un effet ô combien plus retentissant… Alors ? Què Pasa ?! Nos boycotteurs auraient-ils soudain la frousse de s’attaquer à une icône internationale ?
Trop timides ou peureux les boycotteurs face à l’une des plus belles étoiles d’Israël ?!