La nourriture Halal qui se répand partout sous la pression des musulmans semble à priori bien anodine. Après tout pourquoi faire tant d’histoire avec le Halal ?
Seulement, en dehors du débat sur la question publique d’une minorité qui tente d’imposer ses habitudes alimentaires à la majorité des français se cache une réalité bien plus sournoise: celle du financement du terrorisme islamique.
Vous entendez presque quotidiennement autour de vous ces informations :
- telle compagnie aérienne fait manger tout le monde halal, pour respecter les choix alimentaires des clients musulmans présents ou potentiels.
- Telle commune ou agglomération urbaine ne sert plus que de la restauration scolaire halal
- Telle chaîne de restauration rapide ne sert plus que du halal certifié et exclut le non halal pour être vraiment halal certifié par telle ou tel mosquée… Vous apprendrez aussi que cette chaîne de restauration rapide est largement capitalisée par de l’argent public !
- L’équipe de France de Foot au grand complet, musulmans et non musulmans, tous ont dû manger halal pendant le championnat du monde si calamiteux, et que le nouvel entraineur a, quant à lui, prohibé le porc, pour tous. Aucun membre de l’équipe ne pouvant en consommer pendant les entrainements et les déplacements !
- De plus en plus d’abattoirs sont rachetés par des capitaux islamiques. Ces capitaux mettent en œuvre un abattage rituel et certifié. Le hic, c’est que cette frénésie d’acquisitions d’abattoirs produit désormais plus d’offre de viande halal qu’il n’y a de demande chez les musulmans. De ce fait, ces abattoirs sont amenés à mettre sur le marché général de la viande de boucherie, des viandes halal mais non attestées comme telle. Les distributeurs ne se trouvant pas toujours en mesure de fournir suffisamment de produits de boucherie non halal ils participent de fait de cette délaïcisation d’un secteur économique se retrouvant formaté par des normes religieuses. Les consommateurs se retrouvent donc à manger halal sans le savoir. Anodin ?
La certification hallal est attribuée par des imams, et ce n’est pas gratuit leur certification.
En d’autres termes, c’est un impôt religieux payé par tous, musulmans et non musulmans, croyants et non croyants. Est-on en démocratie, est-on en démocratie laïque, séparant le religieux et le non religieux, en particulier l’état et ses attributions (taxes, impôts…) si l’on paye involontairement un impôt religieux ?
Dés lors que des religieux, à l’insu de notre plein gré, nous font payer un impôt destiné à des intérêts privés religieux, est-on encore régi par les grandes lois laïques réalisées par les combats démocratiques de la troisième république ?
Une parenthèse pour conclure : Ces abattoirs -qui ont été acquis par des capitaux imposant le financement déguisé d’une religion-, sont les fils de ce qu’on appelle la finance islamique qui donne à certains l’assise financière pour faire ces acquisitions. Disons un mot sur ce mariage de la carpe et du lapin.
La finance islamique, que d’aucuns jugent vertueuse ou ne voient pas en quoi elle est un cheval de Troyes de la dérégulation et de la déréglementation des échanges mondiaux, la finance islamique n’est pas née dans une rose d’Ispahan, ni même dans un chou des anciens champs d’épandage d’Argenteuil épargnés par l’urbanisation.
La finance islamique est née des pétro dollars.
Elle est la transformation de la rente pétrolière en gigantesques capitaux nomades et parasites, allant et venant d’une place boursière à une autre pendant la décennie soixante dix. On se souvient des angoisses des autorités monétaires. Alors, pour fixer les nomades financiers et les masses devenues gigantesques de capitaux flottant, produits par la rente pétrolière, on a sophistiqué la bourse. On a inventé la longue caravane des produits dérivés. Ce n’était pas une transformation intrinsèque du capital financier. Pour qu’elle se produise certains phénomènes furent nécessaires.
La finance islamique est le premier pourvoyeur de fond du terrorisme islamique.
Cet argent sert notamment à faire des attentats en Occident mais aussi à alimenter les caisses du Hamas et du Hezbollah. Plus encore, cet argent islamique finance les associations pro-palestiniennes afin de développer en Europe un sentiment anti-israélien. Et ça marche !!!
A voir le nombre de communiste français recyclé dans le « Palestinisme » militant on peut s’interroger sur les salaires que verse la finance islamique…