Les commémorations de la fin de la Première Guerre mondiale sont une affaire très sérieuse en Grande-Bretagne. Tous les citoyens britanniques, sans exception, portent à leur boutonnière un petit coquelicot en papier rouge.
Ce « poppy », acheté au profit de l’association d’aide aux anciens combattants, est devenu le symbole du soutien indéfectible que les anglais portent à leurs forces armées, et aucun bon sujet de Sa Majesté n’ose paraître en public pendant les quelques jours qui précèdent l’Armistice sans arborer son petit coquelicot, au risque d’apparaître antipatriotique.
Pourtant, le 11 novembre 2010 dernier à Londres, un groupe d’islamistes radicaux a brûlé un coquelicot géant sur la place publique, dans le quartier de Kensington, déclenchant la colère nationale. Les individus ont scandés qu’ils continueraient à brûler des coquelicots et qu’ils ne cesseraient pas de faire campagne, jusqu’à ce que la charia soit appliquée au Royaume-Uni. Ils se sont identifiés comme les étudiants du prédicateur radical Omar Bakri.
Source : Daily Express
MUSLIM FANATICS: WE’D BURN MORE POPPIES (express.co.uk)
