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J-Street, démasqué ! Soros revealed as funder of liberal Jewish-American lobby


J-Street, démasqué ! Soros revealed as funder of liberal Jewish-American lobby

Adaptation française par Hanna de l’article : Soros revealed as funder of liberal Jewish-American lobby,by Eli Lake et version originale

Il y a deux ans, quand j’ai d’abord condamné l’ordre du jour anti-israélien de J-Street, j’ai étiqueté George Soros, le hongrois  milliardaire et spéculateur né, comme étant un de ses importants sponsors. Pourtant le fondateur de J Street et directeur exécutif, Jeremy Ben Ami, à diverses occasions, l’a nié catégoriquement. Il a même dit qu’il regrettait que Soros ne soit pas un bailleur de fonds en ajoutant que «nous avons été étiquetés comme ayant son soutien sans l’avantage en fait, d’être effectivement financés. »
Il a été maintenant révélé qu’environ un tiers des 750,000 $ des revenus de l’américain  J-Street en 2008-2009, a été fourni par Soros.
Après avoir été exposé comme un menteur invétéré absolu, Ben-Ami a essayé, de s’en sortir avec ambiguïté, au sujet de son comportement honteux «en acceptant la responsabilité, de façon peu claire  »  du financement de J-Street.

En fait Soros et J-Street font une adéquation parfaite. Soros a fièrement proclamé « je ne suis pas un Sioniste, je ne suis pas  un Juif pratiquant. »  Il croit que, Israël est en grande partie responsable de l’antisémitisme. Beaucoup de son venin est concentré sur l’AIPAC et il a successivement attaqué toutes les institutions pro israéliennes. Il appelle aussi à la reconnaissance du Hamas. Son  «Open Society Institute» verse des sommes énormes dans des organisations dont l’objectif principal est de saper les gouvernements élus d’Israël. Seulement le mois dernier, il a contribué de manière significative, pour 100 millions de $ à Human Rights Watch (Observatoire des droits de l’Homme), soi-disant le chien de garde, (l’observateur) des droits de l’Homme, qui ne se donne plus la peine de déguiser sa partialité flagrante et son hostilité envers Israël.

Pour sa part, J-Street a condamné Israël pour son offensive à Gaza contre le Hamas, la décrivant comme «une réaction disproportionnée». Il a refusé d’identifier «qui avait raison et qui avait tort», en proclamant que «nous reconnaissons que ni les Israéliens, ni les Palestiniens ont le monopole du bien et du mal.»  Il a non seulement refusé de condamner le rapport Goldstone, mais, il a facilité les rencontres entre les membres du Congrès et le juge Golstone. Il a même ressuscité l’accusation antisémite de la double loyauté, avertissant les Juifs que par «un soutien unilatéral à Israël,» ils «risquaient de s’aliéner l’opinion publique américaine et seraient condamnés pour afficher une plus grande loyauté envers Israël au détriment des Etats-Unis.» Il a calomnié à plusieurs reprises l’AIPAC, le dépeignant comme un organe d’extrême-droite, et en ignorant le fait qu’il avait soutenu les politiques de tous les gouvernements israéliens. Y compris les administrations pacifistes précédant Netanyahu.


Plus récemment, J-Street a appelé ses partisans à bombarder l’IRS (le fisc) avec des plaintes, comme quoi des contributeurs faisaient la promotion de causes sociales au-dessus de la ligne verte, y compris des principaux blocs d’implantations et de Jérusalem, constituant une violation du droit des Etats-Unis et que cela devait être examiné.
Il y a des groupes d’extrême gauche comme le Meretz et la Paix Maintenant qui s’opposent aux politiques israéliennes de peuplement, avec pas moins de vigueur que J-Street. Mais ce qui surtout les différencie de J-Street, ne sont pas leurs points de vue, mais leurs actions. J-Street insiste sur le fait qu’il sait mieux que les Israéliens ce qui est bon pour eux, et emploie l’analogie obscène de parents exigeants, imposant  le «tough love» (expression utilisée quand quelqu’un traite une autre personne durement ou sévèrement avec l’intention de les aider dans le long terme), sur des enfants toxicomanes, pour justifier le lobbying de l’administration Obama pour forcer Israël à faire des concessions unilatérales aux Palestiniens qui sapent sa sécurité. Il finance aussi des candidats du Congrès avec des antécédents d’hostilité à la politique d’Israël. Il est certainement digne des paroles trompeuses de l’univers Orwellien, le double langage d’une organisation qui milite en faveur des législateurs étrangers pour s’opposer aux politiques d’Israël, et en même temps il se définie comme «pro-israélien».


Pour couronner le tout, J-Street a également été exposé pour avoir reçu des dons et le soutien de personnes et organisations arabes et pro-arabes. Les donateurs incluent Geneviève Lynch,  une ancienne participante du Conseil national iranien américain, qui est également au Comité du financement de J-Street.  Judith Barnett, enregistrée comme ancien agent pour l’Arabie Saoudite, et qui siège également au Conseil consultatif de J-Street, et Nancy Dutton, une ancienne avocate de l’Ambassade d’Arabie Saoudite, qui fait des dons au comité d’action politique de J-Street, et qui finance des candidats anti-israéliens au Congrès.


Il a été aussi divulgué qu’un mystérieux donateur de Hong-Kong, « Consolacion Esdicul,» dont l’identité a été dissimulée, a fourni 800,000 $ (environ la moitié du revenu total annuel de J-Street ). Quand on a demandé à Ben Ami d’identifier le donateur de Hong-Kong,  il a refusé de dire que « Bill Bester l’avait sollicitée. » Bester n’est pas juif et vue la réticence de Ben Ami à donner des détails, il y a la réprobation générale pour cette contribution. Les rumeurs non confirmées, suggèrent que ce soit de l’argent clandestin de l’Arabie Saoudite ou bien un canal dissimulant des fonds supplémentaires de Soros. Si l’on combine cette contribution extraordinaire à partir d’une source chinoise ombragée et celle de Soros, il est difficile pour J-Street de nier que la majeure partie de leur budget provient de sources contaminées anti-israéliennes ou autres.


Comment le manque de transparence, le mensonge éhonté et la divulgation que J-Street a été clandestinement financé par un Juif pathologiquement anti-israélien comme Soros, aura comme impact sur l’organisation ?
Il est susceptible de subir, mais son financement de base continuera probablement, à le soutenir. Le véritable test sera de savoir si l’établissement juif américain se réveillera et marginalisera cette organisation du courant dominant au lieu de l’intégrer dans la «toile».


Le support de base de J-Street aujourd’hui est fondé sur deux groupes. Le plus fiable est issu d’éléments de la ligne dure anti-israélienne, qui cyniquement promeuvent l’étiquette de «pro-Israliens » afin de maximiser leur campagne contre le gouvernement israélien. Ils incluent un élément important de la virulence anti-sioniste, ils sont prêts à collaborer avec un groupe d’utilisateurs y compris les Arabes et l’extrême gauche antisioniste pour porter atteinte à l’Etat juif. Ils viennent généralement du privé et sont identifiés aux conférences de J-Street. Pour des raisons évidentes, les dirigeants cherchent à détourner l’attention des médias à partir de ces éléments qui cherchent à diaboliser et à délégitimer l’État juif.


L’autre groupe représente la majorité des adeptes de base. Beaucoup sont de confus libéraux d’origine juive que Ben Ami a décrit un jour dans le New York Times comme étant avant tout des jeunes qui fréquentent les «Seders bouddhistes». Certains sont vraiment en colère quand on les accuse de fournir un soutien à ceux qui cherchent à détruire l’Etat juif et soutiennent qu’ils participent à des activités dissidentes constructives qui, selon eux reste dans le cadre de l’activité pro israélienne. Ils sont à bien des égards, évocateurs des compagnons de voyage juifs, lors de la guerre froide. Eux aussi, sont de confus libéraux, étant manipulés par des communistes purs et durs dans le soutien aux festivals de paix bidon, et se livrant aux activités pro soviétiques qui ont incontestablement favorisé les intérêts de «l’empire du Mal.»


Pendant un certain temps, ces groupes ont également été tolérés par l’établissement juif. Mais lorsque la preuve de duplicité soviétique et d’antisémitisme est devenue écrasante, ils ont été isolés du courant dominant.
Aujourd’hui, il est tout à fait absurde de définir un groupe comme J-Street, qui se décrit comme Obama, «préservant ses arrières», comme pro israélien au Congrès,  et cherche à saper le soutien pour le gouvernement israélien. Personne ne cherche à nier le droit à la liberté d’expression de J-Street. Les médias de la gauche libérale, sauront sans doute continuer à promouvoir l’organisation qui vise à fournir un pseudo label de qualité juif à l’administration d’Obama, une pression unilatérale contre Israël.


Adapté par Hanna sur sionisme.xooit.com

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Soros revealed as funder of liberal Jewish-American lobby,by Eli Lake

The Jewish-American advocacy group J Street, which bills itself as the dovish alternative to the influential American Israel Public Affairs Committee (AIPAC) lobby, has secretly received funding from billionaire George Soros despite previous denials that it accepted funds from the Hungarian-born financier and liberal political activist.

Tax forms obtained by The Washington Times reveal that Mr. Soros and his two children, Jonathan and Andrea Soros, contributed a total $245,000 to J Street from one Manhattan address in New York during the fiscal year from July 1, 2008 to June 30, 2009.

The contributions represent a third of the group’s revenue from U.S. sources during the period. Nearly half of J Street‘s revenue during the timeframe — a total of $811,697 — however, came from a single donor in Happy Valley, Hong Kong, named Consolacion Esdicul.

Jeremy Ben Ami, J Street‘s executive director, said in an interview that the $245,000 was part of a $750,000 gift from the Soros family to his organization made over three years. Mr. Ben Ami also said that in this same period he had raised $11 million for J Street and its political action committee.

Mr. Soros made billions as a hedge fund manager and currency speculator, founding the Quantum hedge fund that, until the early 1980s, was based in an offshore tax haven in the Dutch Antilles Islands. Both his business success and his subsequent charitable giving in support of favored political and social causes have made him a figure of immense controversy both in the United States and around the world.

One of the world’s wealthiest philanthropists, Mr. Soros gave initially gave money to support Eastern European dissidents at the end of the Cold War, particularly in his native Hungary, through the Open Society Institute.

But during the George W. Bush administration, Mr. Soros stepped up his funding of more partisan liberal organizations in the United States, including MoveOn.org and Media Matters for America. He has also strongly criticized U.S. policies regarding the Israeli-Palestinian conflict, including the Bush administration‘ decision in 2007 not to recognize a Palestinian unity government that included the militant Islamist Hamas movement.

He specifically criticized AIPAC at the time in a New York Review of Books article, saying the group had « overreached itself » in trying to ensure a hawkish, pro-Israeli policy in the U.S. government.

AIPAC « became closely allied with the neocons and was an enthusiastic supporter of the invasion of Iraq, » Mr. Soros wrote.

Mr. Ben Ami in past interviews has described J Street as President Obama‘s « blocking back » in Congress, with the group billing itself as the lead Jewish-American group supporting elements in the Israeli political spectrum who favor negotiating a lasting two-state peace deal with the Palestinians.


J Street has clashed repeatedly with AIPAC and other longstanding Jewish-American groups over U.S.-Israeli policy, coming out in 2009 against Israel‘s war against Hamas in Gaza.

More recently J Street has changed some of its earlier positions. The group now supports U.S. sanctions against Iran, but opposes the use of force against Tehran’s nuclear infrastructure.

David Harris, executive director of the American Jewish Committee, said in an interview, « I can only assume [J Street officials] have concluded that associating George Soros with an allegedly quote-unquote ‘pro-Israel organization’ may not be convincing to many who have followed George Soros and his views on the Middle East. »

Mr. Ben Ami said his group had no qualms about getting money from Mr. Soros.

« I am very, very proud that our movement and what we are trying to do is aligned with the values and principles of George Soros and we are proud to have his support, » he said.

Mr. Ben Ami said Mr. Soros « made the public decision not to support us once we launched. Once we got started, he provided us with some money. »

Mr. Ben Ami‘s words on Thursday contrasted sharply with statements on the J Street website concerning the group’s receipt of funding from Mr. Soros.

In a section of the website called « myths and facts, » the group includes a passage that reads: « George Soros very publicly stated his decision not to be engaged in J Street when it was launched — precisely out of fear that his involvement would be used against the organization. »

After Mr. Ben Ami spoke with The Times, the website was abruptly amended Thursday night with an addition that stated: « J Street has said it doesn’t receive money from George Soros, but now news reports indicate that he has in fact contributed. »

Michael Vachon, a spokesman for Mr. Soros, said the billionaire « has made no secret of his support for » J Street.

« Mr. Soros believes that J Street makes an important contribution to the debate on Mideast policy. While he is a financial supporter, he does not play an operational role in the organization nor influence its policy positions, » Mr. Vachon said.

The J Street website also says Mr. Ben Ami « has stated many times that he would in fact be very pleased to have funding from Mr. Soros and the offer remains open to him to be a funder should he wish to support the effort. »

When asked about Ms. Esdicul, the Happy Valley, Hong Kong based donor of nearly half the group’s revenue for the 2008 to 2009 fiscal year, Mr. Ben Ami said she gave J Street the money in multiple wire transfers at the urging of William Benter, a Pittsburgh-based philanthropist and the chief executive officer of Acusis, a medical services firm.

« She is trying to make the Middle East a Happy Valley, » Mr. Ben Ami said. « She is a business associate of Bill Benter and Bill solicited her for the contribution. » Happy Valley is a Hong Kong suburb.

President Obama and the White House have expressed concerns about untraced foreign influence on the U.S. political system through donations to tax-exempt « 501(c)(4) » nonprofit organizations in recent months.

J Street is a 501(c)(4) organization that is allowed to remain tax-exempt as long its political activities are not the primary purpose of the group. J Street also has established a political action committee, or PAC, the standard way for interest groups, corporations and labor unions to contribute directly to political candidates and parties.

Mr. Ben Ami said he agreed with Mr. Obama « about the need for overall reform of the influence of money in our system. But 501(c)(4)s are allowed to accept money from foreign nationals. »

For now, J Street may come under scrutiny in the Jewish community for its connections towhose sharp criticisms of certain Israeli policies and of U.S. foreign policy under President Bush have led even some groups and candidates he supports to distance themselves from his activities. When Mr. Obama, then a senator from Illinois, was running for president in 2008, his campaign was quick to disown some of Mr. SorosMr. Soros‘ more outspoken criticisms of the Israeli government.

« Mr. Soros is entitled to his opinions, » Jen Psaki, a campaign spokeswoman told the New York Sun at the time. « But on this issue he and Sen. Obama disagree. »


The Washington Times







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